Kikourou.net

tia² a écrit:
Fait suer, le retrait du dossard le samedi est à Louviers. C'est pas tout près pour moi. Tant pis, je serai dans la foule qui fait la queue le dimanche matin.

Ça reste supportable... Donc, pas de panique, on ne sera pas à la bourrre.

Dossard 4184 de mon côté : cette année, ils sont par ordre alphabétique et pas par ordre d'inscription, pffff...

Le 4008 est un excellent dossard les années impaires..

Sinon, je suis encore en mode "est-ce que je tente le coup de la ceinture porte-bidon et voyager léger" ?

Dossard 4112 pour ma pomme.

Retrait du dossard prévu dimanche aussi.
J'hésite aussi sur le porte bidon. Mais vu la "chaleur" prévue j'ai peur d'être un peu court côté hydratation, surtout que j'ai pour habitude de pas mal picoler en course
Je pense que je vais plutôt opter pour le sac (vide) et mes 2 flasques ça restera léger d'autant que je risque de traîner ma carcasse assez longtemps vu ma forme pas olympique.

A demain

Jam a écrit:Dossard 4112 pour ma pomme.

Retrait du dossard prévu dimanche aussi.
J'hésite aussi sur le porte bidon. Mais vu la "chaleur" prévue j'ai peur d'être un peu court côté hydratation, surtout que j'ai pour habitude de pas mal picoler en course
Je pense que je vais plutôt opter pour le sac (vide) et mes 2 flasques ça restera léger d'autant que je risque de traîner ma carcasse assez longtemps vu ma forme pas olympique.

A demain

Il y a un point d'eau prévu au km 10,3, après la deuxième grosse descente (avant Vatteport). On retrouve ce point d'eau au km 34, sur la partie "retour". L'an dernier (c'était une nouveauté), c'était juste un gars avec des bouteilles, mais ça avait bien dépanné du monde sur le retour.

Donc, au final, ça te fait un ravito liquide au 10,2, un complet au 22, un liquide au 34 et un complet au 43....d'où possibilité de n'avoir que 700-800ml à mon avis.

bubulle a écrit:

Jam a écrit:Dossard 4112 pour ma pomme.

Retrait du dossard prévu dimanche aussi.
J'hésite aussi sur le porte bidon. Mais vu la "chaleur" prévue j'ai peur d'être un peu court côté hydratation, surtout que j'ai pour habitude de pas mal picoler en course
Je pense que je vais plutôt opter pour le sac (vide) et mes 2 flasques ça restera léger d'autant que je risque de traîner ma carcasse assez longtemps vu ma forme pas olympique.

A demain

Il y a un point d'eau prévu au km 10,3, après la deuxième grosse descente (avant Vatteport). On retrouve ce point d'eau au km 34, sur la partie "retour". L'an dernier (c'était une nouveauté), c'était juste un gars avec des bouteilles, mais ça avait bien dépanné du monde sur le retour.

Donc, au final, ça te fait un ravito liquide au 10,2, un complet au 22, un liquide au 34 et un complet au 43....d'où possibilité de n'avoir que 700-800ml à mon avis.

Hum...vu comme ça effectivement je pense que ça se tente.

De retour du TDA......mâtin quelle chaleur de mammouth !

J'ai tenu ma promesse d'un départ lent : je devais être dans les 60-80 derniers après le deuxième plat (km .
Quelques "piques", quand même dans les descentes et montées du 8 au 16 (sauf que les descentes en single, ça bouchonne un peu sur les falaises).

Du 16 au 25, sur ces long faux plats interminables, pas de panique : on se fait lentement dépasser par plein de monde....qui se tue à petit feu.

Au 22 je récupère Jam (qui m'avais déposé au km 10 sur un ènième (putain de) plat. On fait 3 bornes ensemble, puis il m'indique qu'il est un peu cuit : du coup, près de Daubeuf je passe devant et je démarre un PacMan énorme (j'ai oublié de compter, dommage), notamment dans les énormes côtes/descentes du retour (celle d'Amfreville, une tuerie, j'y passe une dizaine de coureurs d'un coup).

A partir du ravitou de Flipou (km 44), plus grand monde devant ou derrière....et le dernier pacmanisé sera Overnight avec qui je fais quand même tout le "chemin du Hobbit", quand même à la limite des crampes.

Et, comme d'habitude, une fin au mental sur ces 5 interminables kilomètres de plat en logn de Seine.

6h38 à l'arrivée, soit 40' de plus que l'an dernier. Un parcours un peu plus difficile (changement mineur après Daubeuf, qui doit rajouter un peu de dénivelé et surtout une dernière côte au milieu des falaises à l'aller alors que précédemment, c'était une montée bien plus roulante).

J'estime le temps supplémentaire à 5-10 minutes. Le reste...eh bien, la chaleur a pris son tribut (je pense qu'il y a eu du dégât, d'ailleurs), j'ai fini couvert de croûtes de sel.

Overnight termine en 6h45 environ. Jam, en 7h30, je crois. Laila a maheureusement abandonné au km30 pour éviter de réveiller une ancienne blessure. Pas de nouvelles de boucanier (qu'on a vu au départ, cependant).

boucanier qui s'est fait aussi un petit 400m de rab en ma compagnie...pas revu ensuite...
Sinon la grosse claque... J'ai tenté j'ai perdu... Départ rapide, petite erreur de parcours donc j'ai rien lâché pour reprendre tout ceux passés. Je sentais déjà au km22 que j'étais en suregime mais plutôt que de me raisonner, j'ai continué.
Résultat : crampes au 33ème kms, séché dans la double bosse au 37... Un poil mieux ensuite jusqu'à retrouver le balaste où j'étais revenu dans le dur. Dernière grosse bosse en mode on va essayer de basculer avec bubulle qui montait fort . Illusion sur la section du chemin du hobbit puis les cuisses dans des etaux ensuite.
Le cardio donne du 158 (1 pulse de + que l'an passé mais 54min de + que l'an passé...). Bref pas trop de regret... Tenté un chrono en partant vite par un jour chaud c'était sûrement pas la meilleure idée que j'ai eu:)
Je voulais voir... J'ai vu et bim... 1ère fois que je finis aussi loin par rapport à l'objectif . Content d'avoir tenu jusqu'au bout quand même.

Hello,
Bravo à vous les kikous.

Avec un entraînement très très réduit pour cause de taf, et après le Gruchet Trail Orientation (il y a 15 jours où je ne fus pas au mieux), je m'attendais à en baver et je n'ai pas été déçu.
D'entrée de jeu, le tendon d'Achille gauche a couiné sévère, accompagné du nerf sciatique dans le mollet et la cuisse gauches. Des reliquats d'une vieille hernie discale, qui se rappellent régulièrement à mon bon souvenir.
Et surtout, plus rien dans les cuisses à partir de la mi-course, il a fallu gérer.
A la BH du km 22, j'avais 10 minutes d'avance. J'ai sombré dans la nostalgie en repensant à l'UTMB 2006 où j'étais reparti de Trient avec exactement cette avance.
A la BH du km 43, j'avais .... 2 minutes d'avance.
Finalement 8 h 13 (la fin est interminable).

Très beau parcours, bravo à l'organisation qui a très bien géré l'énorme coup de chaud pour un début avril (c'était brûlant sur les falaises de calcaire) en improvisant plusieurs points supplémentaires en eau fraîche. Un bémol pour l'absence de salé sur les ravitos mais j'avais ce qu'il fallait.

Le Radicassant dans 3 semaines, je ne le sens pas bien....

Hello à tous,

Bon ça a ressemblé à un épisode de The Walking Dead, mais moi dans la peau d'un zombie pendant un bon moment.
Départ très très tranquille. Facile parti bon dernier Bon, j'ai remonté tranquillement une partie du peloton discutant au passage avec Boucanier (j'ai bien vu que ça allait être dur pour toi) que j'ai lâché à la première cote venue.
Les premiers enchaînements de montées/descentes se sont plutôt bien passées. J'ai bien senti les cuisses durcir un peu après avoir bien descendu mais ce n'est pas non plus de la haute montagne.
J'ai finalement rattrapé bubule le long de la Seine. On a papoté un p'tit bout et comme j'avais (encore) des jambes j'ai pris un peu d'avance. Pas bien longtemps. J'ai commencé à ressentir le manque d'entraînement et les effets de la chaleur aux alentours du pointage sur cette boucle un peu interminable. J'ai tenu jusqu'au ravito plutôt pas trop mal. Mais que ce bout m'a paru longuet et monotone. Reparti avec bubule, il a fini par partir devant car je me sentais un peu cramé avec des cuisses qui durcissaient vite.
Suis alors passé en mode zombie. Le passage à travers champs sous le cagnard a été long et très difficile. Puis j'ai attaqué le retour avec les p'tites cotes descendues plus tôt dans la matinée. Et là, le drame. Complètement scotché. Un escargot serait monté plus vite que moi !
Et ça va durer. Trop longtemps à mon goût. Impossible de courir ou presque. Après le 37ème km (point d'eau dans la forêt avant la double belle remontée). Je pense un moment abandonner. Et puis finalement je repars vers le 42ème km où nous attends un bon p'tit ravito avec des bénévoles bien sympa. J'en profite pour faire une bonne pause (10minutes environ). Bien m'en a pris. Les 10 derniers km vont se passer à un bon rythme. La dernière grimpette puis le chemin du hobbit vont bien se passer, puisque j'arrive à recourir quasiment tout du long. Finalement j'arrive sur les bords de Seine où je me mets en mode marche nordique forcée n'ayant plus la force de courir et j'envois. Enfin, la ligne d'arrivée pointe son nez et je courre les 50 derniers mètres avec mon fils cadet qui m'attendait. Terminé !
Content de l'avoir finie celle-là. Je savais qu'avec 5 semaines d'entraînement (après presque 3 mois d'arrêt quasi complet) ce serait dur, mais je ne pensais pas en baver autant. La chaleur a vraiment été très dure pour les organismes comme le mien.
Ah, j'ai compris aussi pourquoi les 2 amants: non, ce n'est pas le nom de cette petite forêt que nous empruntons, c'est le contraste de cette courses: du gros "plat" et du gros raidar dans les calcaires !

Ah bah mince c'était pas avec boucanier du coup que je me suis planté... Bon y avait pas de kikou avec un t-shirt kikou justement...?:)...

Bravo à tous... C'est pas beau aujourd'hui j'ai les cuisses comme si j'avais couru un marathon sur bitumes

Les résultats sont en ligne :

https://media.wix.com/ugd/b0fc4a_8a4d7b ... 2ba452.pdf

Intéressant : Pierre LAMY qui a fait les 3 éditions (vainqueur 2016 et 2ème en 2015 et 2017) a fait les temps suivants : 4h31, 4h34, 4h44. Donc, pour tout le monde, la chaleur semble avoir eu une influence.

Pour ma part, amusant aussi : en étant 56ème, je suis à 22% du classement alors que l'an dernier, 28ème, j'étais à 24%. Et donc, je peux dire que j'ai fait un meilleur résultat cette année...

Bravo à tous, encore une belle journée de trail avec une organisation au top qui est de mieux en mieux chaque année.
Il a fait chaud mais ce n’était pas non-plus les grosses chaleurs. Le problème est que le corps n'a pas eu le temps de s'y habituer ou de s'y préparer. Les premiers coups de chaud fond toujours plus de dégâts.

Je me suis contenté du 25km cette année, 2h18 49eme.
J’aurai souffert sur le grand c'est certain.

Des photos sur Normandie course à pieds:http://www.normandiecourseapied.com/photos-trail-des-2-amants-pitres-2017.html

Wei_Qi a écrit:Des photos sur Normandie course à pieds:http://www.normandiecourseapied.com/photos-trail-des-2-amants-pitres-2017.html

Oh punaise, y en a un qui avait les manchettes, un tee shirt (normal) et un "coupe vent"
La vache, il a du crever de chaud

ejouvin a écrit:

Wei_Qi a écrit:Des photos sur Normandie course à pieds:http://www.normandiecourseapied.com/photos-trail-des-2-amants-pitres-2017.html

Oh punaise, y en a un qui avait les manchettes, un tee shirt (normal) et un "coupe vent"
La vache, il a du crever de chaud

Si tu regardes les photos du départ, il faisait quand même 7/8°c. Bon, on s'est vite réchauffé malgré tout

Jam a écrit:Si tu regardes les photos du départ, il faisait quand même 7/8°c. Bon, on s'est vite réchauffé malgré tout

Ouais, les manchettes étaient indispensables....sur 20 mètres..

Y'a d'autres photos là : https://www.flickr.com/photos/148070291 ... 918252216/

(je dis ça car y'en a un qui fait le bogosse dans la côte d'Amfreville)

bubulle a écrit:Ouais, les manchettes étaient indispensables....sur 20 mètres..

Y'a d'autres photos là : https://www.flickr.com/photos/148070291 ... 918252216/

(je dis ça car y'en a un qui fait le bogosse dans la côte d'Amfreville)

kelbelome
j'imagine la chaleur dans la falaise , j'ai bien fait de m'abstenir

Et voilà le petit blabla de rigueur :

http://www.kikourou.net/recits/recit-19 ... bulle.html

Allez un petit récit pour me rappeler un peu égoistement de ne pas trop s'emballer

J'ai vu que la date 2018 était déjà posée... bon bah je crois savoir où je serai dans un an encore