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Pendant que les participants au Marathon et les « Challengers » récupèrent, certains goutant à plusieurs reprises à la bière locale, les coureurs du 105 km doivent eux faire face à de dures conditions, passant plusieurs cols au dessus de 3000m d’altitude, dont le fameux Tizi N’ Tarharate, point culminant de l’épreuve à 3600m. La descente qui suit est aux dires des concurrents, la partie la plus piégeuse du parcours, qui dévalent là 1200 mètres de dénivelé en 4km à peine.

Loin de tout, beaucoup découvrent alors toute la beauté et la difficulté de cet Ultra Trail Atlas Toubkal, quand même l’abandon ne signifie pas la fin de l’aventure, puisque des coureurs feront jusqu’à vingt kilomètres à contre sens, certains après une nuit en altitude, pour rejoindre le PC3, unique point accessible aux 4×4 de l’organisation.

L-ours auvergnat a écrit:Bonjour,
J'envisage de faire l'utat en 2018 et je suis preneur de toute info sur l'organisation de la course la difficulté du terrain le matériel les conseils et les bon plans
Merci à tous

brague spirit a écrit:Pour ma part,j'ai fait 2 années.Une fois le défi et la seconde l'ultra.
Je ne peux que recommander à visiter l'Atlas.
Il faut juste savoir,que comme le décrit bien yvan11,nos sommes au Maroc,et il ne faut pas s'attendre à des ravitos comme,vous pouvez trouver sur les courses en métropole.Courir seul,mais au milieu de nul part,trouver un bar à Coca(prévoir la monnaie).
Pour le reste,le depayssement,les parcours techniques,et l'ambiance sont à vivre.
Ne pas tarder à vous inscrire,car les nuits sous la tente,sont fraiches.T° négatives.L'ambiance au chalet,et dans les restos sont sympas.Le troc est une activité,très prisée.

J'ai meme rencontré le big chef des Citadelles .