Les courses : se retrouver sur les courses, l'avant-course et l'après-course, suivi des courses des kikoureurs, ... Courir en région : qui veut courir avec moi, où courir près de chez moi, organiser des OFF, des sorties entre kikoureurs, les communautés régionales, où trouver un médecin, un magasin, un club, ...
meocli a écrit:Une paire de chaussettes + Nok. 20 balles pour le croissant / jus d’orange à Cauterets (mieux: une pizza!) Un briquet pour brûler le PQ.
Sinon, effectivement, le matos obligatoire, même en cas de tempête de grêle, ça le fait...
On sera à Cauterets dans la matinée, pas sûr que j’ai envie d’une pizza.
Matos obligatoire + compeed/aiguille/fil (mais je n’ai jamais d’ampoules), Kleenex, chaussettes, CNI + 20€ Ceinture porte dossard avec 2 élastiques ajoutés pour y fixer les bâtons
2 bidons 750ml + poche à eau vide à remplir si très chaud et les longues étapes. Électrolytes D4, Sporténine. Poudre bidons Barres d’amande et 4 mini sandwichs et compotes Une poche noix de cajou, raisins secs...
Et l’épingle du dossard + briquet pour les ampoules, ça passe!
Une chose me turlupine, Jack. Pourquoi ne pas avoir donné la serviette alors que tu avais déjà les plans ? - Parce que jamais je ne céderai devant la barbarie. - Ah ouais, exactement comme moi.
Je pose la question afin de pouvoir avoir un début de réponse au mystère de ces sacs énormes que l'on voit sur le dos de certains coureurs au départ des ultras.
Galopaïre a écrit:Bon rien de plus de vraiment notable.
Je pose la question afin de pouvoir avoir un début de réponse au mystère de ces sacs énormes que l'on voit sur le dos de certains coureurs au départ des ultras.
Mais que peuvent-ils bien contenir ?
Leur maison ! Quand tu manques d'expérience, que tu crains de devoir frôler les BH, tu as tendance peut-être à surcharger.... En ajoutant au handicap ! Avec la pratique, tu passes d'un 12 litres ventru à un 5 litres .
Ça dépend aussi de la qualité de ton matériel. Pendant longtemps, mon manche longue prenait la moitié du sac (et un gros)!
Une chose me turlupine, Jack. Pourquoi ne pas avoir donné la serviette alors que tu avais déjà les plans ? - Parce que jamais je ne céderai devant la barbarie. - Ah ouais, exactement comme moi.
Ça va dépendre de la météo aussi, si froid + pluie, c'est pas le même sac que si canicule. La veste de pluie sera 3 fois plus grosse, le pull un peu plus épais (même 2 manche longue parfois), gants,...
Après chaque course je regarde ce que j'ai traîné pour rien, ça s'appelle l'expérience, mon sac s'allège de course en course.
Et tout dépend si on a de l'assistance ou pas. Perso j'en ai pas, donc obligé de tout prévoir à l'avance. Mon défaut c'est de prendre trop à manger, j'essaie de réduire, promener à manger n'a pas de sens
Oui ça aussi j'y travaille Mon but est de tourner à eau+électrolytes Apport des glucides que par du solide Ça serait bien plus simple à gérer. Hors course même sur les sorties très longues, je ne mets plus de poudre.
Galopaïre a écrit:Bon rien de plus de vraiment notable.
Je pose la question afin de pouvoir avoir un début de réponse au mystère de ces sacs énormes que l'on voit sur le dos de certains coureurs au départ des ultras.
Mais que peuvent-ils bien contenir ?
C'est tout con, mais ça dépend de ta taille : XL/XXL ça prend plus de place que S...
Si tu compresses dans des petits sachets ça joue aussi...
BigPat a écrit:Oui ça aussi j'y travaille Mon but est de tourner à eau+électrolytes Apport des glucides que par du solide Ça serait bien plus simple à gérer. Hors course même sur les sorties très longues, je ne mets plus de poudre.
Vous ne mangez pas aux ravitos pour avoir besoin de compléter votre eau ?
BigPat a écrit:Oui ça aussi j'y travaille Mon but est de tourner à eau+électrolytes Apport des glucides que par du solide Ça serait bien plus simple à gérer. Hors course même sur les sorties très longues, je ne mets plus de poudre.
Vous ne mangez pas aux ravitos pour avoir besoin de compléter votre eau ?
Si, bien sûr je mange (sinon, l'estomac vide me mène la vie dure). Je ne suis en revanche pas certaine d'avoir des apports suffisamment variés pour "compléter" mon stock de minéraux à ce moment-là (suivant les courses, les ravitos peuvent être "chiches". D'autant que vu mon allure de tortue, je peux bien mettre 4 à 5 h entre deux arrêts (UTCAM par exemple).
Comme je n'ai plus fait d'ultra depuis 2 ans, je n'ai assez de pratique pour avoir un retour d'expérience intéressant.
Je n'y connais rien et je ne consomme aucune boisson isotonique mais est-ce que remplacer la dose de poudre par une paire de gel ne serait pas avantageux au moins au niveau praticité.
J'imagine que vider un gel dans un bidon est plus simple que gérer une poudre.
Pas de fichier Excel, mais le site trail passion permet de faire un roadbook. Avez vous déjà testé ? Je ne sais pas trop comment paramétrer le coeff de fatigue
Galopaïre a écrit:Je n'y connais rien et je ne consomme aucune boisson isotonique mais est-ce que remplacer la dose de poudre par une paire de gel ne serait pas avantageux au moins au niveau praticité.
J'imagine que vider un gel dans un bidon est plus simple que gérer une poudre.
Pas expert non plus, mais je pense que ça n'a rien à voir. La plupart des gels sont bidons, autant avaler du sucre. Les produits pour boissons, les bons, apportent en théorie tout ce qu'il faut pour avancer (minéraux, glucides et autres trucs bons pour l'ultra). L'eau seule complétée par du solide n'a pas les mêmes effets. Il y a plein d'articles là dessus. Avec Madame on fait souvent un mélange 1/3 jus de raisin, 2/3 eau + grosse pincée de sel (pour 50/70km)
Le souci avec votre ultra de malades, c'est que toutes les théories risquent de voler en éclats au fil des kilomètres, que boire et manger risque d'être compliqué par moments, et que si un truc quel qu’il soit vous fait envie ce sera déjà un bon point. Et l'eau passe toujours, alors que les autres boissons peuvent écoeurer.
Simon71 a écrit:Pas de fichier Excel, mais le site trail passion permet de faire un roadbook. Avez vous déjà testé ? Je ne sais pas trop comment paramétrer le coeff de fatigue
Ok merci, je vais regarder cela
« La course à pied aiguise la sensation d’être en vie et sublime les émotions » A. Kupricka
C’est exactement ça, on va faire au mieux le plus longtemps possible. Après il faudra boire et manger tout ce qui fera envie. Ne jamais refuser une soupe, quelle que soit l’heure, c’est la base.
Oui puigmée je fais mon roadbook sur 72h, sur les BH. Le jeu est de s’en éloigner rapidement et surtout constamment. Ça permet de voir mon état. Tant que je gagne du temps c’est ok, quand je commence à en perdre, c’est moins ok. Mais tout dépend de la gestion du sommeil et du temps passé aux BV.
Mon but est de finir, donc moins j’irai vite, plus j’aurai de chances
BigPat a écrit:Moins de 48h waouw c’est pas pour moi ça
Je n’ai pas regardé les barrières horaires. Il n’y aura pas beaucoup d’arrivants (survivants!) en moins de quarante-huit heures. Une quinzaine grand maximum.
BigPat a écrit:Moins de 48h waouw c’est pas pour moi ça
Je n’ai pas regardé les barrières horaires. Il n’y aura pas beaucoup d’arrivants (survivants!) en moins de quarante-huit heures. Une quinzaine grand maximum.
A ce propos, sur quelle édition peut-on se baser pour avoir une idée du temps total et de la répartition avec le parcours full ? Je crois que 2017 à été un peu raccourci c'est çà ?
« La course à pied aiguise la sensation d’être en vie et sublime les émotions » A. Kupricka
BigPat a écrit:Moins de 48h waouw c’est pas pour moi ça
Je n’ai pas regardé les barrières horaires. Il n’y aura pas beaucoup d’arrivants (survivants!) en moins de quarante-huit heures. Une quinzaine grand maximum.
A ce propos, sur quelle édition peut-on se baser pour avoir une idée du temps total et de la répartition avec le parcours full ? Je crois que 2017 à été un peu raccourci c'est çà ?
Il n'y a pas eu d'autre édition du 220km, avant 2017 c'était 160.
BigPat a écrit:Moins de 48h waouw c’est pas pour moi ça
Je n’ai pas regardé les barrières horaires. Il n’y aura pas beaucoup d’arrivants (survivants!) en moins de quarante-huit heures. Une quinzaine grand maximum.
A ce propos, sur quelle édition peut-on se baser pour avoir une idée du temps total et de la répartition avec le parcours full ? Je crois que 2017 à été un peu raccourci c'est çà ?
Il n’existe pas de véritables repères. En 2017 la course avait été détourné à Cauterets jusqu’à Luz. Et forcément amputée de la partie Cauterets Gavarnie et Gavarnie Luz. Un joli programme. De plus la partie finale est (beaucoup...) plus dure cette année depuis La Glère. Désolé de casser l’ambiance.
Ce qui est beaucoup plus dur pour certains peut ne l'être qu'un peu plus pour un gars qui comme toi à un niveau plus proche de la tête de la course.
Tu es quand même à seulement 85% de Sylvain Court sur l’Échappée Belle. Ce qui veut dire que tu as une bonne gestion et que les gros blocs de pierre que l'on peut trouver au niveau de la Glère ne te posent pas de difficultés particulières.
Tiens en parlant des 85% de l'EB vs. le 1er, j'ai utilisé ce % dans ta feuille Excel, résultat : 38h. Ca me parait un peu ambitieux comme tableau de marche. Qu'en penses-tu ?
« La course à pied aiguise la sensation d’être en vie et sublime les émotions » A. Kupricka
Tiens en parlant des 85% de l'EB vs. le 1er, j'ai utilisé ce % dans ta feuille Excel, résultat : 38h. Ca me parait un peu ambitieux comme tableau de marche. Qu'en penses-tu ?
Je ne te connais pas, mais sur le 220 raccourci le 3ème Matthieu Bourguignon mettait 30h. Jocelyne Pauly était à 35h, 10ème au scratch. 38h ça fait peu pour le parcours complet non ? (ça fait peu ou ça fait podium ?)
Y a-t-il des différences de parcours entre l'Echappée Belle de 2017 et 2018?
Vivien Morgan qui est un très bon gestionnaire, a l'expérience de ce type de chemins et a un niveau pour jouer le podium met 26h30 en 2018 alors que Court met quasiment 28h en 2017.
Galopaïre a écrit:Y a-t-il des différences de parcours entre l'Echappée Belle de 2017 et 2018?
Vivien Morgan qui est un très bon gestionnaire, a l'expérience de ce type de chemins et a un niveau pour jouer le podium met 26h30 en 2018 alors que Court met quasiment 28h en 2017.
Oui. Pas de Croix de Belledonne (400m+), pas d'Aigletion (200m+) et pas de Moretan (600/700m+) avec une distance raccourci mais dur à estimer.
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rhum1 a écrit:Qu'entends tu par "beaucou plus dur" ?
La partie finale est inédite. La triade Mounicot, Madamete, Hourquette Nére ajoute du temps et les descentes (surtout les deux premières) vont faire mal aux pieds et aux cuisses surtout de nuit. En 38 h tu ne devrais être devancé que par l’ours...
Mais en contre partie, il y a des sections bien roulantes avant et après. Le rapport D+/km est plutôt faible. Je ne pense pas que la difficulté technique soit un problème pour des coureurs habitués à l'Andorre ou au massif de Belledonne.
Et dire cela n'enlève rien à la difficulté de la tâche.
N'y voyez aucune prétention de ma part, je n'évoque pas là mon cas personnel.
Galopaïre a écrit:Mais en contre partie, il y a des sections bien roulantes avant et après. Le rapport D+/km est plutôt faible. Je ne pense pas que la difficulté technique soit un problème pour des coureurs habitués à l'Andorre ou au massif de Belledonne.
Et dire cela n'enlève rien à la difficulté de la tâche.
N'y voyez aucune prétention de ma part, je n'évoque pas là mon cas personnel.
A l’heure de ma 9éme participation, je m’étonne de cette description où la facilité prédomine. Certainement l’âge. Quant au comparaisons... C’est à la fin du bal que l’on paye les musiciens. Et la dernière et seule édition répondant à ce profil remonte en 2011. Distance identique sur un terrain beaucoup plus sauvage, avec un dénivelé de 15000 m (au moins). La première équipe (locale) avait franchi la ligne en 63H00. Peut-être un début d’idée du futur programme. Terminer sera déjà un exploit.
Galopaïre a écrit:Mais en contre partie, il y a des sections bien roulantes avant et après. Le rapport D+/km est plutôt faible. Je ne pense pas que la difficulté technique soit un problème pour des coureurs habitués à l'Andorre ou au massif de Belledonne.
Et dire cela n'enlève rien à la difficulté de la tâche.
N'y voyez aucune prétention de ma part, je n'évoque pas là mon cas personnel.
A l’heure de ma 9éme participation, je m’étonne de cette description où la facilité prédomine. Certainement l’âge. Quant au comparaisons... C’est à la fin du bal que l’on paye les musiciens. Et la dernière et seule édition répondant à ce profil remonte en 2011. Distance identique sur un terrain beaucoup plus sauvage, avec un dénivelé de 15000 m (au moins). La première équipe (locale) avait franchi la ligne en 63H00. Peut-être un début d’idée du futur programme. Terminer sera déjà un exploit.
C'est clair que ce n'est jamais évident de comparer ds région/profil/terrain. Par contre ce qui est sur, c'est que qu'en tu es "easy" dans la descente de la Bréche fendu ou la montée du Col de la Vache à l'EB, généralement çà se passe bien partout Par contre, je te rejoins, après 20h d'effort on réagit pas forcément pareil !
Pour ma part, cette simulation à 85% du 1er était là juste pour voir et estimer ou arrivera la nuit du Jeudi et si je suis suceptible de passer une 2nd nuit (stratégie d'une sieste de 20min le Jeudi de nuit ??).
Au final, ce sont les 20/30 premiers km qui vont donner le ton et le rythme de ma course, donc en fonction des moyens du jours et cela est vrai pour n'importe quelle course/distance !!
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par Pygmée65 » 05 Août 2019, 20:24 
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