Kikourou.net

Possible qu'il n'y ait de la pluie qu'en deuxième moitié de course, en tout cas, en faible quantité le matin.

Attention bubulle, j'ai essayé la jolie veste de l'année dernière sous la pluie, ben ça va pas du tout ! C'est juste coupe-vent, pas déperlante ,et une fois mouillée c'est pire, ça colle et c'est plus coupe-vent...c'était juste 1 heure et pourtant je suis revenu frigorifié, j'ose même pas imaginer en haut avec du vent, hypothermie assurée !

Il peut faire bien froid en haut de la Rhune s'il y a du vent...mais c'est un seul passage au sommet. Mais attention quand même au mix pluie-vent malgré la température plutôt douce annoncée !

philibert69 a écrit:Attention bubulle, j'ai essayé la jolie veste de l'année dernière sous la pluie, ben ça va pas du tout ! C'est juste coupe-vent, pas déperlante ,et une fois mouillée c'est pire, ça colle et c'est plus coupe-vent...c'était juste 1 heure et pourtant je suis revenu frigorifié, j'ose même pas imaginer en haut avec du vent, hypothermie assurée !

J'ai une vraie veste dans le Sac, pas de sushis.....

J'ai effectivement classé celle de l'année dernière dans les coupe-vents (elle est très bien pour cela), mais j'utilise plutôt des coupe-vent Kalenji/Evadict ultra-légers (et très légèrement déperlants : ils suffisent pour de faibles pluies).

Pour le vent en haut de la Rhune, j'imagine bien, oui. Déjà l'an dernier, on ne trainait pas trop là-haut malgré le beau temps qui s'était installé pour la journée.

Debout !
Dernier point météo, on devrait être bien côté pluie jusque vers 15-16h, après... ça pue.

Pas mécontent d'avoir terminé le 42 (Gotorlekuen Itzulia). 52e sur 662 partants en 5:29, parcours bien dur sous une petite pluie, sommet de la Rhune dans le brouillard (bien sûr) et rentré chez moi avant que la pluie ne s'intensifie (il faut dire que j'habite à 15mn du départ).

Bon courage à ceux qui se baladent sur le 80 !

arrosakoa a écrit:Debout !
Dernier point météo, on devrait être bien côté pluie jusque vers 15-16h, après... ça pue.

Là je regarde par la fenêtre, c'est chaud...courage à toutes celles et ceux en course. Pluie très forte en cours pour les derniers du 42 et la majorité des coureurs du 80.

Ah, c'était aujourd'hui ! Bubulle est passé à l'avant dernier CP, St Ignace (retour) à 18H11, arrivée à Saint-Pée prévue à 20H30. Ça va le faire !!

Il est passé Arayoa à 19H48. La fin semble un peu dure, il perd quelques places, mais a priori il devrait arriver un peu avant 21H. Allez bubulle !

Bravo bubulle !!!!
Arrivé à 21H06.

loiseau a écrit:Il est passé Arayoa à 19H48. La fin semble un peu dure, il perd quelques places, mais a priori il devrait arriver un peu avant 21H. Allez bubulle !

La fin qui est commune avec le 21 et le 42 est tout sauf un cadeau après Saint-Ignace. Les dernières collines sont raides et techniques, ça n'en finit jamais...

Bon, quel chantier!
Pour ma part, j'ai fini en 14h31, bien en dessous de mes 16 heures prévues.
Mais quel chantier...
Jusqu'à midi, température au top, pas de pluies, mais après.
Le terrain est devenu tellement gras et boueux qu'il n'y avait plus à se poser de question par où passer, droit dedans!
Je confirme, la fin avec les trois "bosses" sont interminables.

Je confirme le chantier. Les 20 derniers kilomètres, depuis Trabenia, ont été une belle énorme galère. Le pire a été la montée à Miramar (même si elle se faisait par le GR et pas le sentier direct comme l'an dernier). On montaiot avec une énorme pluis et le vent....dans le dos. Le problème, c'est qu'en haut on fait demi-tour! Et donc, je me suis retrouvé sur le plateau herbeux en haut, au pire moment, sur un sol détrempé au point de ne pas tenir debout, et ne pas pouvoir avancer tellement le vent de face était fort, alors que ça descend. En fait, j'ai retrouvé le passage du Col de Susanfe de la 1ère Swisspeaks, avant que la course ne soit arrêtée.

Cela avait déjà commencé avec la desente du Ziburu Mendi (la Montagne de Ciboure, c'est ça?) où le chemin commençait à se transformer en ruisseau complet. Le ravito était assez "ambiance fin du monde", d'ailleurs.

Sachant que les tout derniers coureurs sont passés à cet endroit de nuit et que le balisage (qui est globalement très bien) n'est pas trop fait pour une faible visibilité, je pense que c'était limite dangereux de les faire finir (mais, bon, a priori out s'est bien passé). C'est donc une collection de cadavres (moi compris) qui arrivaient à St-Ignace. Et il fallait encore faire les 12km jusqu'à l'arrivée. Avec de petits "tontors", certes, mais bien velus (Esnaur, quel chantier abominable). Et, en passant, trois traversées de torrents qui devaient être débonnaires en début de journée, mais où on est passés "droit dedans" dans 30 centimètres d'eau.

Donc, la fin fut interminable et, effectivement, j'ai mis très longtemps (une bonne trentaine de places perdues). Mais comme j'avais une avance monstrueuse sur le roadbook de 18h22 (exactement!), j'ai terminé largement avant (16h07!). J'avais été un poil pessimiste...

Mais, globalement, quel beau parcours difficile. Avant Trabenia, c'était un grand plaisir, même si j'ai commencé à avoir un peu plus de mal à La Chaîne. Et c'est impressionnant de voir cette armée de bénévoles, quand on sait comment c'est difficile d'en avoir sur une organisation de course.

Ce matin, petite pensée pour les coureurs de 21km qui vont trouver un terrain....intéressant (surtout qu'il continue à pleuvoir).

Euuuuh, c'est de la provoc', le soleil, cet après-midi, sur le Pays Basque ?

Un grand bravo d'avoir réussi à être finisher dans ces conditions ! Dommage cette météo qui a gâché la fête...25°C annoncé demain !

Sur le Gotorlekuen , le temps a été correct, quelques averses mais températures trés douces, au final c'était assez agréable (sauf le passage à la Rhune où personne ne s'attardait). Je n'ai même pas enfilé la veste de pluie.

laulau a écrit:Un grand bravo d'avoir réussi à être finisher dans ces conditions ! Dommage cette météo qui a gâché la fête...25°C annoncé demain !

Après on reste en mars au Pays Basque, le Senpereko a toujours été boueux (j'ai des souvenirs de 2017 bien plus gras qu'hier)...Et on a bien besoin de pluie donc je dirais qu'elle n'a fait qu'ajouter à la fête !

berlinparisexpress a écrit:

laulau a écrit:Un grand bravo d'avoir réussi à être finisher dans ces conditions ! Dommage cette météo qui a gâché la fête...25°C annoncé demain !

Après on reste en mars au Pays Basque, le Senpereko a toujours été boueux (j'ai des souvenirs de 2017 bien plus gras qu'hier)...Et on a bien besoin de pluie donc je dirais qu'elle n'a fait qu'ajouter à la fête !

Oui, dans le département, comme ailleurs, on a besoin de pluie en ce moment mais quand on organise, on s'en passe bien le jour de la course quand même ! Et puis, l'endroit est tellement beau avec le soleil !

Il est là, le récit du chantier : http://www.kikourou.net/recits/recit-21 ... bulle.html

bubulle a écrit:Il est là, le récit du chantier : http://www.kikourou.net/recits/recit-21 ... bulle.html

Quelle épopée!
J'avais déjà trouvé les 20 derniers kilomètres dantesques sur le 42 en 2020 (édition très mouillée, et ruisselante ) alors j'imagine sur le 85...
Bon esprit et opiniâtre! Bravo!

Bonsoir,
Effectivement quelle course et surtout ces 20 derniers kilomètres !!!!!
J'ai trouvé ce parcours de 82 kms vraiment top. Des montées bien raides qui brûlent bien les cuisses.

Par contre j'ai été surpris de la vitesse à laquelle le terrain est devenu très très gras. On est vraiment passé du sec à la gadoue. C'était holiday on ice dans les descentes !!!!

Enfin content d'avoir fini juste avant la nuit car ça devait être galère de nuit. Parcours fini en 14h02 et quel bonheur cette entrecôte/frites à l'arrivée

Manu

Super récit Bubulle.
Je connais bien M. et Mme Tyrosse (Romain et Sophie), on est du même club. Ils ont abandonné à Saint Ignace.

J'ai fait la course l'an passé avec du beau temps et connaissant bien le quartier je savais que la météo pouvait la rendre (très) difficile.
La partie Biriatou est interminable et je m'étais senti libéré en passant le col des abeilles.

Cette année j'ai préféré faire le 42 le samedi et le 21 le dimanche.

Alors les changements de tracé, dus à des raisons environnementales (Natura 2000), ont rendu les parcours du 42 beaucoup plus roulant, j'ai mis une demie heure de moins que mon meilleur chrono et ça m'a semblé facile. En plus on a eu la chance de courir sans véritable pluie (j'ai tout fait en tee-shirt), quand il a commencé à beaucoup pleuvoir, je sortais de manger l'entrecôte.

Par contre le dimanche matin sur le 21 ça n'a pas été la même histoire.
Déjà le parcours a été modifié pour éviter les traversées de ruisseaux.
Ensuite le gars du 80 nous avaient bien labouré les descentes et j'étais tétanisé, j'ai fait mon pire chrono malgré un parcours plus roulant.

On notera bien sûr toujours cette ambiance particulière sur cette course qui la rend si agréable.
Le Spuclasterka fait vraiment un magnifique boulot.

J'ai reçu la veste qui était en "dotation" (pas fana de ce terme, mais bon, je ne trouve pas mieux). Très franchement, le Spuclasterka ne s'est pas fichu de nous. La veste est une veste Uglow 3.1 Rain Jacket (https://eu.uglowsport.com/collections/r ... 2196587678), donc réellement une veste de pluie, donnée pour 10000 Schmerbers (WR en anglais : Water Resistance) et 10000 MVP (Moisture Vapor Permeability, qui se mesure en gr/cm2/24h), ce qui est les caractéristiques de la très classique veste de pluie Evadict....que je portais lors de ce Tontorrez Tontor.

Bon, les 10000/10000 étaient trop justes sur la course (voir le récit!) mais cela fait en pratique une excellente veste de pluie puisque ces 2 caractéristiques sont les prérequis usuels des ultras, du moins ceux où on va vérifier à la virgule près ce que vous emportez dans le matériel obligatoire.

C'est vraiment un très beau cadeau "commenceur", surtout que le Spuclasterka a du se donner la peine de l'envoyer à ceux qui, comme moi, pouvaient difficilement se déplacer pour la récupérer.

En plus, elle est joliment siglée avec le nom de la course, sans ostentation, et deux ou trois mentions qui rajoutent un peu d'Euskadi à cette veste.

J'avais déjà bien apprécié celle de l'an dernier et, bien que je milite usuellement pour l'arrêt des cadeaux "commenceur" et "finisher", quand on m'en fait un très beau, je ne peux qu'apprécier. Encore une belle raison de recommander cette course sans réserves.

Milesker Anitz !