Re: antidépresseurs et moral sur course
Publié: 26 Jan 2017, 12:11
Il y a deux ans, j'ai ma femme qui a fait un burn out... Elle a été arrêtée en juin et a pu reprendre à mi temps qu'en janvier - pendant 1 an (le mi temps thérapeutique).
Elle avait un boulot de RH "de proximité" (comme on dit) dans une usine où elle était hyper exposée et en plus elle avait de plus en plus de mal à prendre de la distance.. un jour le corps a dit "stop".
Sans compter nos trois enfants dont elle se mettait une pression de plus en plus forte (c'est le cercle vicieux en somme... tout s'enchaine).
D'ailleurs ça faisait 6 mois qu'elle avait totalement arrêté le sport car ne trouvait plus le temps.
C'est terrible ce truc, pendant 4 mois, on a tourné en rond sur le sujet, on en sortait jamais.
Etrangement elle a fini par remonter la pente quand un jour, je lui ai dit que moi même je n'en pouvais plus, qu'on en sortait pas (d'autant plus que c'est le truc où tout le monde à son commentaire à faire, cad qu'on ne sort jamais du sujet qui s'entretien donc tout seul). Ca a du lui faire un "tilt".
Elle a la chance de bosser dans une grosse boite où ils lui ont trouvé un poste sur le développement d'un projet et ça lui va très bien. Elle n'est plus exposé comme avant.
Cette année, elle n'a plus qu'1/4 de la dose d'anti-dépresseur du début. On est donc proche de la fin et... elle s'est remis au sport et elle le confesse que ça lui fait un bien fou.
Elle a fait pleins de progrès et on arrive à courir ensemble le we à un petit rythme. Franchement c'est top pour échanger sans les enfants derrières (qui sont maintenant assez grand pour se garder tout seul pendant 1 heure).
Par contre comme elle ne veut pas se mettre de pression, elle ne veut pas faire de course... c'est con, j'en ferais bien une petite distance avec elle sans se prendre la tête... mais non.
Par contre elle dit aussi que ce burn out a ça de positif qu'elle a vachement relativisé sa relation avec le boulot. Elle prend plus de distance et accepte de ne pas forcement pouvoir tout faire ce qu'on lui demande sans nécessairement s'auto flageller.
Elle avait un boulot de RH "de proximité" (comme on dit) dans une usine où elle était hyper exposée et en plus elle avait de plus en plus de mal à prendre de la distance.. un jour le corps a dit "stop".
Sans compter nos trois enfants dont elle se mettait une pression de plus en plus forte (c'est le cercle vicieux en somme... tout s'enchaine).
D'ailleurs ça faisait 6 mois qu'elle avait totalement arrêté le sport car ne trouvait plus le temps.
C'est terrible ce truc, pendant 4 mois, on a tourné en rond sur le sujet, on en sortait jamais.
Etrangement elle a fini par remonter la pente quand un jour, je lui ai dit que moi même je n'en pouvais plus, qu'on en sortait pas (d'autant plus que c'est le truc où tout le monde à son commentaire à faire, cad qu'on ne sort jamais du sujet qui s'entretien donc tout seul). Ca a du lui faire un "tilt".
Elle a la chance de bosser dans une grosse boite où ils lui ont trouvé un poste sur le développement d'un projet et ça lui va très bien. Elle n'est plus exposé comme avant.
Cette année, elle n'a plus qu'1/4 de la dose d'anti-dépresseur du début. On est donc proche de la fin et... elle s'est remis au sport et elle le confesse que ça lui fait un bien fou.
Elle a fait pleins de progrès et on arrive à courir ensemble le we à un petit rythme. Franchement c'est top pour échanger sans les enfants derrières (qui sont maintenant assez grand pour se garder tout seul pendant 1 heure).
Par contre comme elle ne veut pas se mettre de pression, elle ne veut pas faire de course... c'est con, j'en ferais bien une petite distance avec elle sans se prendre la tête... mais non.
Par contre elle dit aussi que ce burn out a ça de positif qu'elle a vachement relativisé sa relation avec le boulot. Elle prend plus de distance et accepte de ne pas forcement pouvoir tout faire ce qu'on lui demande sans nécessairement s'auto flageller.