Kikourou.net

Spir a écrit:Intéressant ces témoignages, et on voit bien qu'une pubalgie (ou une douleur qui y ressemble) ne se traite pas de façon simple ni rapide...

J'ai également régulièrement des douleurs de ce type, localisées au niveau de l'aine, mais jamais de manière vraiment violente. Enfin si, sauf une fois pendant l'Ultra Boucle de la Sarra où j'ai dû arrêter. La douleur avait finie par irradier de l'aine jusque dans le dos. J'ai dû m'allonger sur le sol en attendant que ça passe.

Par contre, la kiné ne m'a jamais fait faire de gainage, mais uniquement des exercices de renforcements des muscles autour du bassin qui s'apparentent beaucoup à ce que l'on trouve sur internet sous le terme "Myrtl Routine" (en gros, des exercices de mobilité), avec bandes pour corser le tout. De ce que j'ai compris, une explication possible est que certains muscles dominants prennent le pas sur les autres et provoquent des déséquilibres. Les exercices de renforcement permettent de réactiver les petits muscles et de rétablir un équilibre.

La course à pied favorise ce genre de pathologie car c'est un sport notoirement déséquilibré (on utilise de manière à peu près identique les deux côtés, mais tous les mouvements sont dans un plan sagital).

Je garde d'ailleurs cette routine parce que ça ne prend pas bien longtemps à faire, et que ça ne peut pas faire de mal.

je vais tester ça, ça fait 1 an et demi et que ça dure. Depuis la dernière STL Histoire d'aborder les ultra de l'été sereinement

Ccile a écrit:

banditblue29 a écrit:Je vous invite à aller écouter le podcast "dans la tête d'un coureur" - Musculation et course à pied : Pourquoi comment ?.

J'ai adoré ! Du coup j'ai aussi écouté celui sur la course au féminin, sur le coach running et sur.... la bigorexie, bien sûr !!

Le podcast sur l'impact de l'âge sur la performance est bien aussi... Pour durer, il faut travailler sa mobilité articulaire et chercher l'économie de course, en optimisant le geste... .

J'ai été gêné un moment par ces pubalgies... la solution qui marche le mieux pour moi, exercer la zone, avec des mouvements type relevés de jambes et renfo des adducteurs, en modulant suivant le ressenti, mais le secret est d'être régulier sur ces exos...

J'y vais moi aussi de mon petit retour d'expérience, je me traîne une pubalgie depuis pas loin de dix ans. La douleur est lancinante, m'a gâché quelques fins de course, mais pas handicapante au point de passer par les cases ultrasons ou chirurgie...

Le repos n'y fait pas vraiment, le kiné que j'ai consulté m'a indiqué des exercices de gainage visant à renforcer les abdos, les adducteurs, le dos, ça semble plus ou moins fonctionner, mais je n'ai jamais été suffisamment assidu (qu'est-ce que c'est rébarbatif!) pour en retirer un effet permanent. Dès que ça fait très/trop mal, je m'y remets, plutôt contre mon gré et ça repart, jusqu'à ce que je force trop

Bonjour ccile Merci de ton retour
Par quel examen et quel spécialiste t a détecté cette fracture de la fatigue ? J ai arrêté les ondes de choc trop violentes pour moi.... et j attends un irm.... pas avant août !

Bonjour à tous,
Sujet à une pubalgie importante depuis 2011, cela a mis entre parenthèse ma pratique avec un lent mais inéluctable déclin en termes de vitesse et in fine de motivation.
J'attire votre attention sur le gainage : Attention aux mouvements exécutés sur vos abdos, notamment lors des crunchs. Mal exécutés, ils ne renforcement pas du tout les abdos mais... le psoas qui est incriminé dans les pubalgies
Comme le dit banditblue, le secret pour durer c'est d'avoir une mobilité suffisante de la zone pelvienne et psoas. Egalement, il faut veiller à un bon équilibre entre les muscles antérieurs et postérieurs afin d'éviter un déséquilibre profond entraînant des étirements et pour terminer une pubalgie.
Depuis que je suis passé par la case muscu (au sens propre du terme), la pubalgie n'est plus aussi présente et je peux de nouveau effectuer mes séances de vitesse (cardio court et intense pour la muscu, excellent complément pour la pratique contrairement à une idée reçue) et me permet de recourir "normalement". Mais avec 10 ans de plus et une VMA fortement amoindrie (15 au lieu de 19) mais l'essentiel est ailleurs : Quel plaisir de ne plus avoir mal toute l'après midi après avoir couru le matin !
bon courage à tous

Heureux de lire ça Jean-Phi

Hockeyeur a écrit:Heureux de lire ça Jean-Phi

Merci ! J'espère que pour toi tout va mieux aussi

Jean-Phi a écrit:Merci ! J'espère que pour toi tout va mieux aussi

C'est gentil !
Après 7 ans de galère je commence à entrevoir des solutions. Ça va mieux mais pas encore au top ...

Hockeyeur a écrit:

Jean-Phi a écrit:Merci ! J'espère que pour toi tout va mieux aussi

C'est gentil !
Après 7 ans de galère je commence à entrevoir des solutions. Ça va mieux mais pas encore au top ...

Sujet très long et lent... La patience est la meilleure arme. Le croisement de doigts aussi !

Bonjour à toutes et tous (plutôt tous j'ai l'impression)
Mince réconfort de me dire que je ne suis pas seule car je vis avec une pubalgie depuis décembre 2020. Elle ne fait aucun doute, IRM à l'appui.
J'ai d'abord consulté un médecin qui m'a dit de continuer à courir car j'avais mal mais j'arrivais à gérer.
Je lui ai parlé du shortystrap et il m'a confirmé que je pouvais tenter, que cela fonctionnait pour certains.
Je l'ai écouté. J'ai continué à courir avec cette ce short qui s'apparente un peu à la ceinture de chasteté ! ??
Puis le shortystrap s'est décousu. Je l'ai renvoyé. Le temps de recevoir un nouveau, ça a traîné, j'ai voulu testé sans le short et j'ai ressenti très vite la douleur.
Le nouveau shortystrap est arrivé. Je l'ai remis et ça a été catastrophique.
Un copain du club me voyant avec ce drôle de short a compris que j'avais une pubalgie. Nous avons parlé. Il avait eu le problème. Il m'a raconté une année de galère à laquelle un médecin a mis fin.
J'ai consulté ce médecin. Il m'a fait une échographie et m'a expliqué que j'avais aussi une déchirure à un adducteur et une à un ischio.
Arrêt complet. Kiné très ciblée et il a tenu à ce que je voie un kiné bien précis.
Renforcement musculaire. Étirements.
La déchirure a guéri.
Puis rebelote, re déchirure, c'était début juin environ. Elle a bien guéri. Je n'avais plus mal et criais victoire. Mal m'en a pris ... La douleur est revenu après je ne sais trop quoi ...
Re déchirure. Jamais deux sans trois. Sur la même zone mais pas exactement au même endroit.
Je peux faire du vélo. Je dois continue le renforcement.
Mais j'avoue passer par des grands moments de découragement avec l'impression que je n'en sortirai jamais. Je Je vais mettre l'accent sur le vélo. Je n'ai pas envie de reprendre la course avec des douleurs résiduelles qui viendraient gâcher le plaisir.
En ce moment je gère donc la déchirure aussi ... je commence vraiment à me préparer psychologiquement à l'arrêt de la course à pieds, à l'envisager comme une possibilité. C'est vraiment dur. J'ai mon dossard pour Paris et je me faisais une joie de le refaire. J'essaye de ne pas y penser. Finies aussi les sorties course à pied avec les copains.
Je vais me trouver des copains pour le vélo et faire muscu, cardio en vélo. Il faut relativiser je sais. Mais c'est dur. J'ai besoin de rebondir sur autre chose absolument !
Bises et bon courage à tous
Nathalie

Nath75 a écrit:Bonjour à toutes et tous (plutôt tous j'ai l'impression)
Mince réconfort de me dire que je ne suis pas seule car je vis avec une pubalgie depuis décembre 2020. Elle ne fait aucun doute, IRM à l'appui.
J'ai d'abord consulté un médecin qui m'a dit de continuer à courir car j'avais mal mais j'arrivais à gérer.
Je lui ai parlé du shortystrap et il m'a confirmé que je pouvais tenter, que cela fonctionnait pour certains.
Je l'ai écouté. J'ai continué à courir avec cette ce short qui s'apparente un peu à la ceinture de chasteté ! ??
Puis le shortystrap s'est décousu. Je l'ai renvoyé. Le temps de recevoir un nouveau, ça a traîné, j'ai voulu testé sans le short et j'ai ressenti très vite la douleur.
Le nouveau shortystrap est arrivé. Je l'ai remis et ça a été catastrophique.
Un copain du club me voyant avec ce drôle de short a compris que j'avais une pubalgie. Nous avons parlé. Il avait eu le problème. Il m'a raconté une année de galère à laquelle un médecin a mis fin.
J'ai consulté ce médecin. Il m'a fait une échographie et m'a expliqué que j'avais aussi une déchirure à un adducteur et une à un ischio.
Arrêt complet. Kiné très ciblée et il a tenu à ce que je voie un kiné bien précis.
Renforcement musculaire. Étirements.
La déchirure a guéri.
Puis rebelote, re déchirure, c'était début juin environ. Elle a bien guéri. Je n'avais plus mal et criais victoire. Mal m'en a pris ... La douleur est revenu après je ne sais trop quoi ...
Re déchirure. Jamais deux sans trois. Sur la même zone mais pas exactement au même endroit.
Je peux faire du vélo. Je dois continue le renforcement.
Mais j'avoue passer par des grands moments de découragement avec l'impression que je n'en sortirai jamais. Je Je vais mettre l'accent sur le vélo. Je n'ai pas envie de reprendre la course avec des douleurs résiduelles qui viendraient gâcher le plaisir.
En ce moment je gère donc la déchirure aussi ... je commence vraiment à me préparer psychologiquement à l'arrêt de la course à pieds, à l'envisager comme une possibilité. C'est vraiment dur. J'ai mon dossard pour Paris et je me faisais une joie de le refaire. J'essaye de ne pas y penser. Finies aussi les sorties course à pied avec les copains.
Je vais me trouver des copains pour le vélo et faire muscu, cardio en vélo. Il faut relativiser je sais. Mais c'est dur. J'ai besoin de rebondir sur autre chose absolument !
Bises et bon courage à tous
Nathalie

Et tes abdos, ils sont comment? Raccourcis et super toniques?
Peut-être bien que tes adducteurs et ischios "craquent" en raison de tension bien supérieure à ce qu'ils peuvent supporter... A force de travailler sur une amplitude max.... Les muscles lâchent. Parce les tendons sont plus résistants...

Bon courage.

banditblue29 a écrit:

Nath75 a écrit:Bonjour à toutes et tous (plutôt tous j'ai l'impression)
Mince réconfort de me dire que je ne suis pas seule car je vis avec une pubalgie depuis décembre 2020. Elle ne fait aucun doute, IRM à l'appui.
J'ai d'abord consulté un médecin qui m'a dit de continuer à courir car j'avais mal mais j'arrivais à gérer.
Je lui ai parlé du shortystrap et il m'a confirmé que je pouvais tenter, que cela fonctionnait pour certains.
Je l'ai écouté. J'ai continué à courir avec cette ce short qui s'apparente un peu à la ceinture de chasteté ! ??
Puis le shortystrap s'est décousu. Je l'ai renvoyé. Le temps de recevoir un nouveau, ça a traîné, j'ai voulu testé sans le short et j'ai ressenti très vite la douleur.
Le nouveau shortystrap est arrivé. Je l'ai remis et ça a été catastrophique.
Un copain du club me voyant avec ce drôle de short a compris que j'avais une pubalgie. Nous avons parlé. Il avait eu le problème. Il m'a raconté une année de galère à laquelle un médecin a mis fin.
J'ai consulté ce médecin. Il m'a fait une échographie et m'a expliqué que j'avais aussi une déchirure à un adducteur et une à un ischio.
Arrêt complet. Kiné très ciblée et il a tenu à ce que je voie un kiné bien précis.
Renforcement musculaire. Étirements.
La déchirure a guéri.
Puis rebelote, re déchirure, c'était début juin environ. Elle a bien guéri. Je n'avais plus mal et criais victoire. Mal m'en a pris ... La douleur est revenu après je ne sais trop quoi ...
Re déchirure. Jamais deux sans trois. Sur la même zone mais pas exactement au même endroit.
Je peux faire du vélo. Je dois continue le renforcement.
Mais j'avoue passer par des grands moments de découragement avec l'impression que je n'en sortirai jamais. Je Je vais mettre l'accent sur le vélo. Je n'ai pas envie de reprendre la course avec des douleurs résiduelles qui viendraient gâcher le plaisir.
En ce moment je gère donc la déchirure aussi ... je commence vraiment à me préparer psychologiquement à l'arrêt de la course à pieds, à l'envisager comme une possibilité. C'est vraiment dur. J'ai mon dossard pour Paris et je me faisais une joie de le refaire. J'essaye de ne pas y penser. Finies aussi les sorties course à pied avec les copains.
Je vais me trouver des copains pour le vélo et faire muscu, cardio en vélo. Il faut relativiser je sais. Mais c'est dur. J'ai besoin de rebondir sur autre chose absolument !
Bises et bon courage à tous
Nathalie

Et tes abdos, ils sont comment? Raccourcis et super toniques?
Peut-être bien que tes adducteurs et ischios "craquent" en raison de tension bien supérieure à ce qu'ils peuvent supporter... A force de travailler sur une amplitude max.... Les muscles lâchent. Parce les tendons sont plus résistants...

Bon courage.

Et bien c'est vrai que je me pose la question. J'ai je pense plutôt de bons abdos. Cela fait longtemps que je fais du gainage très régulièrement. J'en fais beaucoup moins et surtout je fais beaucoup de renforcement au niveau cuisses, fessiers, mollets et aussi de la proprioception mais j'en ai tellement marre ...

Bonsoir à tous,

j'aurais voulu savoir si certains d'entre vous ont été opéré de la pubalgie parieto abdominale ?

J'ai eu un rdv avec un célèbre chirurgien qui traite cette pathologie.

Son diagnostic a été très rapide : opération...

merci

Bon ben je crois que j'y ai droit
D'abord douleur à l'adducteur gauche depuis plusieurs mois puis pendant les 24h de Bourges douleur de abdos qui va et vient au fil des heures.
Donc repos depuis 1 semaine. Glaçage 2 ou 3 fois par jour et exercices d'étirements. Massage aussi avec gaulthérie.
A suivre... Je compte reprendre la marche rapidement d'abord doucement...

gainage gainage gainage. Et étirements bien sur.

T'es sûr pour le gainage sur la douleur ? Pour moi c'était impossible, augmentation de la douleur les trois jours suivants.
Le gainage, je le vois plutôt en préventif.

coco38 a écrit:Bon ben je crois que j'y ai droit
D'abord douleur à l'adducteur gauche depuis plusieurs mois puis pendant les 24h de Bourges douleur de abdos qui va et vient au fil des heures.
Donc repos depuis 1 semaine. Glaçage 2 ou 3 fois par jour et exercices d'étirements. Massage aussi avec gaulthérie.
A suivre... Je compte reprendre la marche rapidement d'abord doucement...

le problème c'est comme la tendinite que l'on essaye d'ignorer en se disant au début que la douleur est supportable. Le risque c'est que ça devienne chronique. Après la douleur revient dès que la charge est trop importante ou lors de la reprise de l'entrainement si on manque de progressivité.
Je te conseillerai d'essayer d'alterner la marche avec un autre sport par exemple le vélo pendant la phase de reprise.
A titre perso je remarque qu'avec l'age qui augmente, la pratique intensive d'un seul sport devient problématique, probablement que ça provoque trop de déséquilibres musculaires. Bref j'ai le droit aussi à mes petites douleurs aux adduteurs régulièrement. Globalement ça va nettement mieux depuis que j'alterne le trail avec le vélo et le ski de fond.

Bon rétablissement...

fred_1_1 a écrit:

coco38 a écrit:Bon ben je crois que j'y ai droit
D'abord douleur à l'adducteur gauche depuis plusieurs mois puis pendant les 24h de Bourges douleur de abdos qui va et vient au fil des heures.
Donc repos depuis 1 semaine. Glaçage 2 ou 3 fois par jour et exercices d'étirements. Massage aussi avec gaulthérie.
A suivre... Je compte reprendre la marche rapidement d'abord doucement...

le problème c'est comme la tendinite que l'on essaye d'ignorer en se disant au début que la douleur est supportable. Le risque c'est que ça devienne chronique. Après la douleur revient dès que la charge est trop importante ou lors de la reprise de l'entrainement si on manque de progressivité.
Je te conseillerai d'essayer d'alterner la marche avec un autre sport par exemple le vélo pendant la phase de reprise.
A titre perso je remarque qu'avec l'age qui augmente, la pratique intensive d'un seul sport devient problématique, probablement que ça provoque trop de déséquilibres musculaires. Bref j'ai le droit aussi à mes petites douleurs aux adducteurs régulièrement. Globalement ça va nettement mieux depuis que j'alterne le trail avec le vélo et le ski de fond.

Bon rétablissement...

Tout pareil
La soixantaine toquant à ma porte, cela fait presque une dizaine d'année que j'applique les conseils de mon voisin kiné : "une pratique sportive régulière et alternative en écoutant son corps"
Ce qui se traduit pour moi à un entrainement 3/4 semaine avec des séances trail et route, 2 x 45mn de gainage et renforcement musculaire et les températures s'élevant la reprise du vélo route d'ici 1 mois pour les sorties longues.
J'ai encore eu quelques alertes l'année dernières, au lieu de titiller mes limites, j'ai levé le pied.
Termine le mode bourrin : "ça passe ou ça casse"

Bon rétablissement

Galopaïre a écrit:T'es sûr pour le gainage sur la douleur ? Pour moi c'était impossible, augmentation de la douleur les trois jours suivants.
Le gainage, je le vois plutôt en préventif.

Oui c'est en préventif.
Mais ça fait 3 ans et 4 mois que ça dure. Donc soit j'arrête le sport pendant 6 mois, puis je fais du gainage pendant 1 an et je reprend la course dans 2 ans. Soit je limite la casse en faisant du gainage et en continuant de courir jusqu'à retrouver un certain équilibre. Cependant je sens une nette amélioration même si ça peu sembler bourrin.

Merci pour ces conseils
J'entame ma 2eme semaine de repos avec glaçage, étirements, massages.
Effectivement j'ai jamais fait autant de volume et en plus quasi tout en marche rapide sur route.
Les symptômes sont bizarres car aucune douleur la plupart du temps mais de temps en temps ça revient plutôt localisé à l'aine au toucher et se propageant dans le bas ventre.
Je vais sûrement essayer 1 ou 2 sorties légères pour voir si il y a du progrès ou pas
A voir si je peux espérer quelques choses aux 24h de Tullins... Après ce sera plus varié avec le retour du trail..
Mais si aucun progrès il faudra surement passer par la case docteur pour avoir un diagnostic.

Moi j’éviterai les étirements.
Si le tendon pleure déjà sa misère, je chercherai à le renforcer avec des exercices en charge.
https://youtu.be/0Z9bT-gfw8Y
https://youtu.be/m7zcCHp9Gmw
Si tu choisis le bon protocole, la douleur disparaît assez vite. Si elle se maintient passer la phase inflammatoire post surmenage, c’est que tu n’as pas encore trouvé le bon exercice.

Pour ma part, les étirements quotidiens semblent être la seule chose qui m'a permis de diminuer la surface de la douleur puis l'intensité de celle-ci. Cela fait 7 mois, je n'ai pas arrêté la course et c'est quasiment réglé.

Finalement Hernie Inguinale
Donc opération mais pas d'arrêt du sport... donc il faut y aller doucement en étant vigilant qu'il n'y ait pas coincement qui signifierait opération en urgence.

Hernie inguinale aussi , j'espère faire ma saison avant de penser à me faire opérer, à voir avec le médecin le 14 avril, sachant que le pense avoir mal aux adducteurs aussi de chaque côté. Celà devient Compliqué tout ça.

Après IRM , Effectivement c'est une Pubalgie. Du coup, en lisant vos messages, je me vois intégrer ce club ( pas si fermé) de souffrants de cette pathologie.Super !

Je crains de rentrer aussi dans le club
Première douleur dans la zone du bas ventre pendant un footing anodin, puis après un 3*2000, douleurs importantes dans le bas ventre, tout en bas des abdos, j'ai coupé la course c'était trop douloureux. Aucune douleur à la marche, vélo et dans la vie de tous les jours par contre.

Je tente des étirements des ischios, adducteurs, quadri, etc. quotidiens, on verra.
Je vais couper la course pendant 10j et tenter une reprise en douceur. Pour l'instant je n'ai pas consulté, mais la douleur est vraiment localisée en bas des grands droits. Je crains donc que ce ne soit une pubalgie ...

rvialles a écrit:Je crains de rentrer aussi dans le club
Première douleur dans la zone du bas ventre pendant un footing anodin, puis après un 3*2000, douleurs importantes dans le bas ventre, tout en bas des abdos, j'ai coupé la course c'était trop douloureux. Aucune douleur à la marche, vélo et dans la vie de tous les jours par contre.

Je tente des étirements des ischios, adducteurs, quadri, etc. quotidiens, on verra.
Je vais couper la course pendant 10j et tenter une reprise en douceur. Pour l'instant je n'ai pas consulté, mais la douleur est vraiment localisée en bas des grands droits. Je crains donc que ce ne soit une pubalgie ...

Le mieux est de consulter avant aggravation , perso , maintenant que le process ( Repos , kiné, etc..) j'accepte mieux mon état et je vais déjà annuler mon inscription sur la VVX 43 k du 19 mai et essayer d'être opérationnel pour l'automne.
Rvialles , je crois que c'est assez compliqué et à prendre au sérieux, Bon rétablissement.

Attention si on vous parle d hernie inguinale. Et donc d opération. Ça peut valoir le coup d avoir un deuxième avis. Ce n est jamais anodin une opération. C est juste un avis personnel. Et je ne suis pas du tout médecin.

diamonds3fr a écrit:Attention si on vous parle d hernie inguinale. Et donc d opération. Ça peut valoir le coup d avoir un deuxième avis. Ce n est jamais anodin une opération. C est juste un avis personnel. Et je ne suis pas du tout médecin.

Diamonds3fr , tu n'as pas tord, je traîne une hernie inguinale depuis quelques années, mon nouveau médecin comme l'ancien, ne m'ont parler d'opération tant que c'est supportable !

Avis aux expérimentés en la matière...
Depuis 5 ans je suis monté progressivement en volume en trail, tout en combinant avec du vélo, rando, escalade...
2023 environ 5000km d'activités (140000D+) dont 2000 en trail (80000D+)

Alors que je n'avais jamais eu de soucis autres que des entorses aux chevilles, et surtout jamais de soucis musculaires ou tendinites, j'ai ressenti fin août dernier une vive douleur au bas des abdos. Ca s'est ensuite estompé sans disparaître.
Après consultation médecin/kiné, on a dans un premier temps penché plutôt pour une élongation.
Cela a perduré, sans m'empêcher de faire du sport, mais avec cette gêne bien présente.

J'ai depuis fait plusieurs mois de kiné, renfo...et la gêne ne passe pas malgré une réduction du volume d'entrainement cet hiver. En reconsultant et échanges kiné, il semble que j'ai finalement plutôt une pubalgie pariéto-abdominale...

A ce jour on n'a pas trouvé la solution pour la faire passer. Ca ne m'empêche pas de m'entrainer, ça ne s'aggrave pour l'instant pas, mais je crains que quand je vais allonger les sorties cela devienne de plus en plus pénalisant.

Outre la kiné, le rééquilibrage avec d'autres sports, je suis preneur de conseils qui auraient pu permettre à d'autres de s'en débarrasser...

Mat

Tieutieu a écrit:Outre la kiné, le rééquilibrage avec d'autres sports, je suis preneur de conseils qui auraient pu permettre à d'autres de s'en débarrasser...

Un expert sur la question, c'est Jean-Phi, qui a posté sur la première page de ce fil. Peut-être passera t'il pour te répondre.

Salut à tous je vais parler de mon expérience avec la pubalgie, j'ai ressenti de forte douleur venant de l'aine et après deux semaines j'ai été consulté un médecin du sport et crac pubalgie. Théoriquement la course à pied n'est pas le sport ou l'on croise le plus de personnes atteintes mais ça peut arriver. Au final des anti-inflammatoire et des rdv chez le kiné (***EDIT MODO : lien supprimé***). Depuis je continue régulièrement le kiné pour éviter un arrêt de 6 mois. C'est une vraie crasse à ne pas prendre à la légère .Courage à tous ceux qui en sont atteint.

Pour ma part la gène persiste en bas du grand droit...je continue la kiné et le sport en mode "cool"...

Bonjour,
J'aimerais savoir comment différencier une blessure a l'aine versus une pubalgie
J'ai une douleur a l'aine depuis bientôt un an
Aucune douleur en CAP ou très peu mais je dois faire attention a mes foulées, sinon une petite douleur constante dans la vie de tous les jours
Aucune douleur au pubis
J'ai plus l'impression que c'est une blessure a l'aine mais petit côté hypocondriaque refait surface en vous lisant

Maxoli a écrit:Bonjour,
J'aimerais savoir comment différencier une blessure a l'aine versus une pubalgie
J'ai une douleur a l'aine depuis bientôt un an
Aucune douleur en CAP ou très peu mais je dois faire attention a mes foulées, sinon une petite douleur constante dans la vie de tous les jours
Aucune douleur au pubis
J'ai plus l'impression que c'est une blessure a l'aine mais petit côté hypocondriaque refait surface en vous lisant

Bonjour,
Une douleur ressentie a l’aine n’est pas forcément une pubalgie.Tu peux très bien avoir une hernie discale ou autre…qui engendre des douleurs irradiantes vers l’aine.
Les douleurs peuvent être articulaires, musculaires , nerveuses, tendineuses.
Un bon médecin doit exercer certaines manœuvres pour poser un diagnostic qui pourra être confirmé par une écho ou IRM.
Tu peux pratiquer des activités porter comme le vélo, la natation. Faire des exercices de renforcement et d’étirements.

Graxx a écrit:
Bonjour,
Une douleur ressentie a l’aine n’est pas forcément une pubalgie.Tu peux très bien avoir une hernie discale ou autre…qui engendre des douleurs irradiantes vers l’aine.
Les douleurs peuvent être articulaires, musculaires , nerveuses, tendineuses.
Un bon médecin doit exercer certaines manœuvres pour poser un diagnostic qui pourra être confirmé par une écho ou IRM.
Tu peux pratiquer des activités porter comme le vélo, la natation. Faire des exercices de renforcement et d’étirements.

Ouais je pense que c'est plus une blessure a l'aine que j'ai
L'ostéo ma conseillé un exercice qui semble commencer a fonctionner

Les auto diagnostics ou à distance sont impossibles à faire.

Il y a 4 ans, j'étais persuadé d'avoir une pubalgie, la douleur étant bien localisée dans la région pubienne.
Après radio et IRM, il s'est avéré que c'était un problème de hanche qui a disparu avec du renforcement chez le kiné et surtout du temps !

Arclusaz a écrit:Les auto diagnostics ou à distance sont impossibles à faire.

Il y a 4 ans, j'étais persuadé d'avoir une pubalgie, la douleur étant bien localisée dans la région pubienne.
Après radio et IRM, il s'est avéré que c'était un problème de hanche qui a disparu avec du renforcement chez le kiné et surtout du temps !

Je confirme ces propos
Une pubalgie ou toute autre pathologie ne se diagnostique par clavier interposés..
Et, pour revenir à la pubalgie, comme me l'avait bien indiqué le kiné, les soins sont sur du long terme et de la régularité...
Quand le corps dit "STOP" il convient de l'écouter et pas recommencer le lendemain..