Kikourou.net

A6T a écrit:

valrunning a écrit:2. Manger équilibrer. C'est bête à dire mais je pensais bien manger avant alors que pas du tout. Eviter de manger de la viande grasse (porc, saucisses...) et privilégier les protéines végétales. On peut penser que c'est "pas bon" mais c'est comme tout faut le cuisiner. Le quinoa au beurre c'est bof mais une salade composé : Quinoa, Oeuf, Féta, huile d'olive, jambon blanc, c'est déjà mieux! Et c'est qu'un exemple.

Elles sont où tes protéines végétales ?
Une salade lentille, pomme, noisette amande, bien assaisonnée, avec quelques herbes (estragon, persil), c'est 100% protéines végétales, et on peut penser que c'est "bon".

Protéine végétale = quinoa soit 16 à 18 % de protéine

Je me permets d'apporter un éclairage qui pourrait bien aider à "comprendre" et concilier les différentes positions sur le "bon" régime alimentaire celle de l'expérience de quelqu'un qui "voyage" entre différentes cultures en ayant un œil sur celles-ci.

Un des premiers aliments conseillés à ma fille en Italie, après le lait maternel, fut le parmesan râpé, de par son excellentissime pédiatre. Assez "italien" comme conseil, non? On est là dans la science dure, pas chez les chamanes, et de quoi s’aperçoit-on? que l'alimentation est culturelle avant même qu’être scientifique.

Donc, quand on parle de nourriture, on s’assène souvent de grandes "vérités" à la figure alors que globalement on défend un point de vue culturel, notre ethnocentrisme à nous. Figurons-nous ensuite du côté des chamanes et des lecteurs des chamanes, on va s'éloigner du vérifiable pour entrer encore plus dans ce qu'on veut croire.

D'un point de vue "professionnel", dans un cours pour sommelier, où on apprenait comment conseiller les vins avec tel ou tel met, il y avait la notion de "psychologie" et l'exemple était le classique : "si le mec pour son anniversaire de mariage boit toujours le 'mauvais' vin, avec son plat préféré, tu te tais et tu dis 'très bien' ", cela n'a aucun sens d'expliquer à quelqu'un qui aime ça que c'est pas bon

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Certaines choses pourraient être plus claires, notamment sur les protéines, genre que très rares sont les végétaux qui apportent tous les acides aminés (donc il ne faudrait pas regarder les % en protéine, mais la répartition interne des acides aminés et se baser sur le plus petit facteur, sauf si on compense par d'autres apports au même moment) ou encore qu'il y a une différence entre produit sec (légume sec) et produit cuit (celui qu'on mange) et que alors si on regarde les % souvent il faudrait se baser sur 15% de 20 grammes, pas de 200... etc etc etc.

Mais l'idée c'est que la vision de chacun tend essentiellement à défendre le propre point de vue, sans réellement aller chercher une information "sérieuse" sur la question.

Une autre chose dont on se rend compte en regardant d'un point de vue culturel, c'est que souvent les amis des chamanes se positionnent contre un marketing main stream, alors que dans leur camp cela fonctionne à fond au marketing et à la mode aussi

Pensez à un truc comme le curcuma, dans 1 an ou 2, nivéa ne vendra pas une crème pour le visage sans curcuma... j'exagère à peine, mais c'est bientôt plus rare les trucs naturels sans curcuma qu'avec! qu'en était-il y a 5 ou 10 ans?

Qu'en retenir? le conseil du sommelier, dans votre régime, une donnée essentielle de son efficacité réside dans votre bonheur, votre conviction...

Bonjour,

Je vous fais part de l'avis d'un ami ayant un peu plus de 40 ans, embosseur (métier qui consiste à remplir les boyaux de saucisses), il est même plus particulièrement embosseur de salaisons de gros diamètres telles que la mortadelle, le salami, la rosette et le jésus de Lyon. Bon je vais peut être trop dans le détail...

Du coup de par son métier, il fourre à longueur de journée tous types de boyaux, comme je vous le disais juste avant des boyaux de mortadelle pouvant aller jusqu'à un diamètre de 20 cm et plus occasionnellement des petits boyaux faisant parfois que quelques millimètres, mais ça il n'aime pas trop, surtout depuis une expérience malencontreuse dont il m'a fait part à la suite de son stage en alternance avec la fille du charcutier de Tencin (un petit village Isérois où le boyau au m2 est quand même moins répandu que dans le Gard)

Pour revenir à notre histoire, depuis qu'il remplit en 3X8 des boyaux 5 jours sur 7. Le weekend, mon ami n'a donc plus aucune envie de fourrer, et cela au grand regret de sa femme qui depuis 2/3 ans se fait alors remplir le boyau par le pizzaiolo du quartier, qui dans sa jeunesse avait suivi une formation de charcutier embosseur. Bon il avait vite arrêter sa formation suite à une histoire de boyau naturel mal lavé qui lui avait occasionné un problème bactériologique mal placé qui s'était en fait terminé par un vilain staphylocoque purulent.

Bon pour terminer, depuis cette histoire mon ami passe ses weekends à regarder les replays de M6 en bouffant de la charcuterie à bas prix qu'il récupère à son boulot. En 2 ans, il a pris 15 kilos, il est bouffi au niveau des joues et sa bedaine devient plus que prépondérante surtout lorsqu'il met son tee-shirt millet gagné à la tombola du cross du pain de brié en 2009.

Voilà, j’espère avoir été suffisamment précis et objectif pour traiter ce sujet qui nous concerne tous !!!

Corne de chamois a écrit:Bonjour,

Je vous fais part de l'avis d'un ami ayant un peu plus de 40 ans, embosseur (métier qui consiste à remplir les boyaux de saucisses), il est même plus particulièrement embosseur de salaisons de gros diamètres telles que la mortadelle, le salami, la rosette et le jésus de Lyon. Bon je vais peut être trop dans le détail...

il embosse chez Henri Raffin ?

Corne de chamois a écrit:Bonjour,

Je vous fais part de l'avis d'un ami ayant un peu plus de 40 ans, embosseur (métier qui consiste à remplir les boyaux de saucisses), il est même plus particulièrement embosseur de salaisons de gros diamètres telles que la mortadelle, le salami, la rosette et le jésus de Lyon. Bon je vais peut être trop dans le détail...

Du coup de par son métier, il fourre à longueur de journée tous types de boyaux, comme je vous le disais juste avant des boyaux de mortadelle pouvant aller jusqu'à un diamètre de 20 cm et plus occasionnellement des petits boyaux faisant parfois que quelques millimètres, mais ça il n'aime pas trop, surtout depuis une expérience malencontreuse dont il m'a fait part à la suite de son stage en alternance avec la fille du charcutier de Tencin (un petit village Isérois où le boyau au m2 est quand même moins répandu que dans le Gard)

Pour revenir à notre histoire, depuis qu'il remplit en 3X8 des boyaux 5 jours sur 7. Le weekend, mon ami n'a donc plus aucune envie de fourrer, et cela au grand regret de sa femme qui depuis 2/3 ans se fait alors remplir le boyau par le pizzaiolo du quartier, qui dans sa jeunesse avait suivi une formation de charcutier embosseur. Bon il avait vite arrêter sa formation suite à une histoire de boyau naturel mal lavé qui lui avait occasionné un problème bactériologique mal placé qui s'était en fait terminé par un vilain staphylocoque purulent.

Bon pour terminer, depuis cette histoire mon ami passe ses weekends à regarder les replays de M6 en bouffant de la charcuterie à bas prix qu'il récupère à son boulot. En 2 ans, il a pris 15 kilos, il est bouffi au niveau des joues et sa bedaine devient plus que prépondérante surtout lorsqu'il met son tee-shirt millet gagné à la tombola du cross du pain de brié en 2009.

Voilà, j’espère avoir été suffisamment précis et objectif pour traiter ce sujet qui nous concerne tous !!!

Désolé pour ceux qui sont investis sur le sujet mais mdr

C'est le pitch des Salaisons dangereuses ?

Corne de chamois a écrit:...

Pour revenir à notre histoire, depuis qu'il remplit en 3X8 des boyaux 5 jours sur 7. Le weekend, mon ami n'a donc plus aucune envie de fourrer, et cela au grand regret de sa femme qui depuis 2/3 ans se fait alors remplir le boyau par le pizzaiolo du quartier, qui dans sa jeunesse avait suivi une formation de charcutier embosseur.

#relancetoncorps

il devrait arrêter d'embosser pour redevenir un porc sain et s'occuper de sa cochonne sans toutefois l'engrosser.





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Hors sujet mais bien tourné

Comme le disait si bien Baudelaire :

"Tout est bon dans le cochon et toi t'es bonne ma cochonne..."