Kikourou.net

Bonjour les gens ,

Je voulais savoir si certains ou certaines d'entre-vous avaient l'habitude d'integrer des séances de rollers dans leurs entrainement pour travailler les cuisses mais aussi le fond.

Quel type de séance, combien, comment ?

Ou si vous ne le faites pas , quoi que vous en pensez ?

Merci pour vos réponses.

Slt
Je programme dès le printemps des séances en roller.
De l'endurance et des séances de 30"30" et du train sur 15' a 30' à environs 35kms/h. Il m'arrive de rouler plus de 100 kil dans la semaine je complete par PPG, VTT, natation et deniv à pied.

salut
je fais du roller de temps en temps pour varier, mais rien de très structuré : je vais sur la voie cyclable (dans les Landes, on est bien lotis) j'enfile mes rollers et hop, en avant, en général je fais 1h à bon rythme, au feeling... En effet, les cuisses chauffent rapidement, mais j'en fais pas assez régulièrement pour en tirer des bénéfices...je pense que c'est un excellent complément.

Bonjour je fait une séance d'endurance en rollers par semaine environ 20 kms à 15km/h avec accélération dans les dénivelés.Personellement le roller me permet de récuperer de la cap tout en étant moins traumatisant .J'ai pu constaté une reprise de cap ,aprés 150kms de rollers en début d'année plus facile , qu'aprés une coupure normale surtout en endurance .

Je fesais (maintenant que CAP) du roller...

Plusieurs seance par semaine, sortie de 40kms.

Souvent à des vitesses élevées puisque je roulais avec des cyclistes.

Maintenant que je fais de la CAP, je ne vois plus trop l'interêt et mon planning est déjà chargé.

Quand je travail l'endurance je vais faire du deniv en même temps, le roller ne peut pas m'apporter la même chose (même si j'ai déjà eut fait le col de la Forclaz dans un tour du lac d'Annecy).

Enfin les muscles en questions, sont propres au geste du patineur, peuvent-ils être utiles en CAP ?

Dernière hypothèse, une blessure, ou des débuts de tendinite qui te privent de CAP, mais là le vélo me semble encore moins traumatissant.

A+

legg a écrit:Bonjour les gens ,

Je voulais savoir si certains ou certaines d'entre-vous avaient l'habitude d'integrer des séances de rollers dans leurs entrainement pour travailler les cuisses mais aussi le fond.

Quel type de séance, combien, comment ?

Ou si vous ne le faites pas , quoi que vous en pensez ?

Merci pour vos réponses.

Cela fait quelques années que je dois étudier le transfert possible au CAP.
Malheureusement la population intéressée est peu nombreuse et moi même je n'en fais pas assez.

Par contre, des lectures et expériences j'ai retiré que le transfert est similaire à celui du vélo ou du ski de fond en terme de cardiaque.

Le plus simple est de l'utiliser en récup ou en remplacement d'un frac.
Attention en SL le niveau cardiaque risque d'être trop faible et au final pour maintenir un niveau de 130/140, la musculation risque d'être trop importante pour un CAP.

En résumé, séances brèves, très intenses serait un excellent complément... Mais pas plus d'une fois par semaine...

(Ou alors si tu vas au boulot en roller cool, pourquoi pas... C'est toujours mieux que de prendre la voiture ou le bus... Mais cool, sinon douche à l'arrivée !)

Une question qui me trotte dans la tête :

L'intérêt ne serait-il pas au niveau des chevilles ET de l'équilibre ?

En gros est-ce un bon moyen de travailler sa "proprioception" et d'éviter de se fouller la cheville en trail par exemple ?

Je laisse les spécialistes !

Papy a ecrit :

Le plus simple est de l'utiliser en récup ou en remplacement d'un frac.
Attention en SL le niveau cardiaque risque d'être trop faible et au final pour maintenir un niveau de 130/140, la musculation risque d'être trop importante pour un CAP.

En résumé, séances brèves, très intenses serait un excellent complément... Mais pas plus d'une fois par semaine...

Sans avoir testé , donc sans recul, et donc peut-être à tord, j'imaginais plutôt des sorties longues .
Je voyais l'intérêt dans l'acpect endurance musculaire sans les traumatismes d'une sortie longue à pied.
Quant à l'aspect musculation "trop importante", j'imaginais en tirer qq chose dans l'aspect résistance et une amélioration en trail face aux multiples montées et descentes.

Legg qui aimerait bien se coucher moins bête ce soir !

legg a écrit:Papy a ecrit :

Le plus simple est de l'utiliser en récup ou en remplacement d'un frac.
Attention en SL le niveau cardiaque risque d'être trop faible et au final pour maintenir un niveau de 130/140, la musculation risque d'être trop importante pour un CAP.

En résumé, séances brèves, très intenses serait un excellent complément... Mais pas plus d'une fois par semaine...

Sans avoir testé , donc sans recul, et donc peut-être à tord, j'imaginais plutôt des sorties longues .
Je voyais l'intérêt dans l'acpect endurance musculaire sans les traumatismes d'une sortie longue à pied.
Quant à l'aspect musculation "trop importante", j'imaginais en tirer qq chose dans l'aspect résistance et une amélioration en trail face aux multiples montées et descentes.

Legg qui aimerait bien se coucher moins bête ce soir !

Alors...

Dans la philosophie Papyesque, le but du jeu est toujours pour un transfert au maximum en CAP.

L'axiome de base est :
La quasi totalité des sorties CAP se feront en (E) pour conserver et entretenir la musculation spécifique, avoir d'excellente fondation et prévenir les blessures du aux (R) en CAP.

C'est pourquoi tous les autres sports se doivent d'avoir un apport en "cardiaque" type (R) en limitant au maximum l'apport "musculation" non spécifique.

Il est un fait avéré par l'empirisme que de la musculation gros braquets/pedalage lent/bosse à répétition de 1 à 3 kms est escellent pour un CAP qui a du vallonée à se taper. MAIS, quid des tendinites du fascia lata ou autres transformations néfastes pour la CAP, induites par ces exercices à répétitions ?

p.e. : J'ai fait de la VMA natation depuis début janvier sur la largeur de la piscine => Exercices court intense, cardiaque exigeant sans traumatisme...
Excellent transfert en CAP... La Panacée ???

Pas vraiment car sur marathon je me demande ce que 2kgs de muscles récupérés vont peser au bout de 2 heures !

Mais comme cela est pour Embrun, je continue !

Ces exercices m'apporte cardiaquement un retour inconnu en CAP si je devais faire la même chose.
C'est donc un risque payant.
Si tu fais de l'(E) dans un autre sport que la CAP, l'apport supplémentaire est quasi nul avec une musculation pas idoine...
Le seul fait d'empécher les chocs, en (E), influe très très peu, au contraire de la (R)


En conclusion, faire de l'(E) dans tout autre sport autre que la CAP, en dehors d'HTV en récup compétition, me semble dans ma philosophie, peu intéressant...

Suis je clair ?

Très clair, et je note toutes ces infos .

Très sympa de prendre du temps pour developper et expliquer son expérience.

Merci