Modérateur: Modos
AureLynx a écrit:pour le Vercors en avril (avec nuit en plus), je partirais avec plus qu'un simple "coupe vent" : à minima une vraie veste imperméable type gore-tex, + éventuellement une petite doudoune.
à quoi servirait un plus gros sac ? ben, à mettre de la nourriture pour 35 heures de course par exemple.![]()
en autonomie, pas de ravito, 35h de course, ça ne se fait pas avec quelques barres de céréales.
Sur la x alpine, tu auras de vrais ravitaillements à disposition (notamment avec plats chauds complets). si l'idée de cette traversée c'est de se mettre en condition de course, il faut prévoir de manger "pour de vrai". Sur ton tracé, il n'y a pas moyen de s'arrêter dans un refuge ou sur un point avec des commerces pour un ravitaillement sans avoir à porter trop de nourriture ?
jano a écrit:T'as tracé un parcours ? T'as préparé quoi pour l'instant, à part l'intention et l'objectif ?
Franch a écrit:oublie les allures, oublie la notion de séance, de fractionné.
Tu as besoin de faire du volume donc à allure tranquille
Tu as besoin de te familiariser avec le matos donc commence par t'équiper avec ce dont tu as besoin pour un 100M de montagne (cf matériel obligatoire) et promène le, utilise le. Ensuite si tu veux faire de l'ultra en OFF c'est un autre niveau (d’expérience, de maitrise, de matériel)
Tu ne peux pas augmenter ta charge d'entrainement hebdo avec si peu d'experience et en même temps faire de l'intensité.
Ton but c'est de finir donc concentre toi sur ce que tu vas faire en ultra : marcher en montée, trottiner en descente, bouffer des barres et rester debout
Arrête de regarder ta montre, c'est pas elle qui sait si tu as assez dormi c'est toi, c'est pas elle qui sait si tu es en EF c'est toi.
Tu construit des certitudes avec des indicateurs qui ne valent pas grand chose, les chiffres que tu sors désolé mais c'est du bullshit complet. Oublie tout ça et va juste dehors.
ps : ça reste une connerie ton projet, soit en conscient
JiB a écrit:Franch a écrit:oublie les allures, oublie la notion de séance, de fractionné.
Tu as besoin de faire du volume donc à allure tranquille
Tu as besoin de te familiariser avec le matos donc commence par t'équiper avec ce dont tu as besoin pour un 100M de montagne (cf matériel obligatoire) et promène le, utilise le. Ensuite si tu veux faire de l'ultra en OFF c'est un autre niveau (d’expérience, de maitrise, de matériel)
Tu ne peux pas augmenter ta charge d'entrainement hebdo avec si peu d'experience et en même temps faire de l'intensité.
Ton but c'est de finir donc concentre toi sur ce que tu vas faire en ultra : marcher en montée, trottiner en descente, bouffer des barres et rester debout
Arrête de regarder ta montre, c'est pas elle qui sait si tu as assez dormi c'est toi, c'est pas elle qui sait si tu es en EF c'est toi.
Tu construit des certitudes avec des indicateurs qui ne valent pas grand chose, les chiffres que tu sors désolé mais c'est du bullshit complet. Oublie tout ça et va juste dehors.
ps : ça reste une connerie ton projet, soit en conscient
Mercredi je repars sur un ultra cette fois à Annecy (cette fois mon corps suit, j'ai 0 douleur), faut-il que je fasse la X-Alpine en sortie longue pour qu'on me considère capable de viser un temps ? Ce que je veux dire, c'est que j'ai peut-être la capacité d'être bon, donc connaître mes allures à l'entraînement pour optimiser cette prépa semble important.
JiB a écrit: Mais si je peux pas faire un tel ultra, comment savoir gérer les gros moments de solitude, qui n'arrivent pas sur les sorties plus courtes ? Certains parlent de périodes difficiles qu'il faut traverser, comment les aborder sans y avoir fait face ?
AureLynx a écrit:JiB a écrit: Mais si je peux pas faire un tel ultra, comment savoir gérer les gros moments de solitude, qui n'arrivent pas sur les sorties plus courtes ? Certains parlent de périodes difficiles qu'il faut traverser, comment les aborder sans y avoir fait face ?
Pour ça, je pense qu'il n'y a qu'en participant à un ultra qu'on y est réellement confronté. Chaque ultra fait gagner en expérience et en confiance pour les suivants.
Pour mon cas, je dirais que les longues sorties en conditions difficiles (pluie, froid, etc), les randonnées sur plusieurs jours, avec la fatigue accumulée, les aléas et autres imprévus, permettent de toucher du doigt les moments difficiles rencontrés en ultras (en particulier si on part seul - même si ce n'est pas ce qui est habituellement recommandé quand on va en montagne). Mais ça reste très différent de ce que j'ai pu vivre vraiment sur mes ultras : les vrais gros coups de moins bien qui font ruminer les idées négatives, le manque de sommeil qui provoque des hallucinations et s'endormir debout, et les sursauts d'énergie qui semblent venir de nulle part et permettent de finir la course (ou pas). Et ça, je ne pense pas qu'on puisse totalement s'y préparer. Quelque part, ça fait partie du challenge : découvrir ses capacités, ses ressources, sa résilience (ou pas).
Les grosses sorties difficiles en montagne, surtout si elle sont fréquentes et par toutes conditions, entrainent le mental, font acquérir de l'expérience (en particulier pour savoir réagir en cas d'imprévu et garder les idées claires en cas de "défaillance", que ce soit du matériel, de toi-même, ou d'une autre personne croisée en chemin), et cela entraine aussi le corps (alimentation, fatigue, sommeil, courbatures, etc).
Un ultra, cela reste très fatiguant pour le corps. Entrainer son mental et son corps, oui, mais il faut trouver le juste milieu : s'y préparer, mais ne pas s'épuiser en voulant trop pousser l'entrainement pour se rassurer sur ses capacités à aller au bout.
JiB a écrit:
Concernant la traversée du Vercors en mode ultra je pensais que c'était l'occasion de me tester (stratégie d'alimentation et gestion d'une grosse fatigue), mais visiblement d'après vous c'est plus fatiguant qu'autre chose. Mais si je peux pas faire un tel ultra, comment savoir gérer les gros moments de solitude, qui n'arrivent pas sur les sorties plus courtes ? Certains parlent de périodes difficiles qu'il faut traverser, comment les aborder sans y avoir fait face ?
JiB a écrit:La plupart du temps d'ailleurs, j'ai fini avec l'estomac un peu retourné, je pense à cause d'un mauvais timing de l'apport en glucides (trop avant 1500m de D-, par exemple).
Du coup je me demande, comment anticiper les coups de mou au niveau de la digestion ? Privilégier des glucides complexes ou des protéines, voire des lipides, est-ce essentiel pour un ultra comme la X-Alpine ? Devrais-je m'entraîner à manger autre chose que des glucides rapides en sortie longue ?
AureLynx a écrit:Pour mon cas, je dirais que les longues sorties en conditions difficiles (pluie, froid, etc), les randonnées sur plusieurs jours, avec la fatigue accumulée, les aléas et autres imprévus, permettent de toucher du doigt les moments difficiles rencontrés en ultras (en particulier si on part seul - même si ce n'est pas ce qui est habituellement recommandé quand on va en montagne). Mais ça reste très différent de ce que j'ai pu vivre vraiment sur mes ultras : les vrais gros coups de moins bien qui font ruminer les idées négatives, le manque de sommeil qui provoque des hallucinations et s'endormir debout, et les sursauts d'énergie qui semblent venir de nulle part et permettent de finir la course (ou pas). Et ça, je ne pense pas qu'on puisse totalement s'y préparer. Quelque part, ça fait partie du challenge : découvrir ses capacités, ses ressources, sa résilience (ou pas).
Les grosses sorties difficiles en montagne, surtout si elle sont fréquentes et par toutes conditions, entrainent le mental, font acquérir de l'expérience (en particulier pour savoir réagir en cas d'imprévu et garder les idées claires en cas de "défaillance", que ce soit du matériel, de toi-même, ou d'une autre personne croisée en chemin), et cela entraine aussi le corps (alimentation, fatigue, sommeil, courbatures, etc).
AureLynx a écrit:Pour ce qui est de l'alimentation en ultra, je pense que tu auras autant de stratégies nutrition que de coureurs. Ce qui est certain, c'est que, à la différence d'un trail plus court, tu ne peux pas tenir toute la course avec seulement des glucides simples ("rapides"). Donc oui, je pense que c'est bien de s'entrainer à manger autre chose que juste des glucides rapides sur des sorties longues. Pour beaucoup de coureurs d'ultra trail, la digestion peut être problématique. C'est important de trouver ce qui va fonctionner pour toi en terme d'apports énergétiques et de digérabilité.
Pour ma part, j'ai essayé pas mal de choses. J'ai de la chance de n'avoir jamais eu de souci pour m'alimenter sur les trails. Beaucoup de coureurs disent qu'ils sont écœurés par le sucré au bout d'un moment, moi ça ne m'arrive jamais !J'adore le sucré déjà dans la vie de tous les jours, je n'aime pas spécialement le salé. Ce qui fonctionne pour moi : dans la première moitié de course, je mange surtout des glucides simples (compotes, pâtes de fruits, pain d'épice, crème de marron) et des lipides (noisettes, cacahuètes et autres fruits secs, fromage). Dans la seconde moitié, j'ajoute glucides complexes (pain, pâtes, pommes de terre, selon ce qui est proposé sur les ravitaillements...) et protéines (jambon ou autre, et, quand il y'a une base de vie avec possibilité d'un sac coureur, je prends une boisson de récupération protéinée). + du café quand il y'en a sur les ravitaillements, parce que, pour moi, ça fonctionne bien pour retarder les effets du manque de sommeil et les baisses de vigilance.
Depuis peu, j'emmène quelques gels Maurten (les seuls que je trouve mangeables et réellement digestes), à prendre uniquement en cas de gros coup de moins bien.
Sur mes sorties longues, je prends un peu de tout, je teste des trucs. Et, quand c'est possible, je m'arrête dans les refuges pour manger. ça permet de se rendre compte de ce qui fonctionne bien.... ou pas![]()
Côté hydratation, j'ai fini par laisser tomber les boissons énergétiques : j'ai remarqué que sur la durée, ça me coupait l'envie de boire, donc ça devenait contre-productif. Depuis je n'en prends pas, ou alors diluées++. Je mise plutôt sur de l'eau + prises alimentaires en course, et je bois des boissons sucrés sur les ravitos (sirops). Par contre je prends des gélules de sels minéraux pour éviter la déshydratation, surtout en cas de grosse chaleur.
Franch a écrit:JiB a écrit:
Concernant la traversée du Vercors en mode ultra je pensais que c'était l'occasion de me tester (stratégie d'alimentation et gestion d'une grosse fatigue), mais visiblement d'après vous c'est plus fatiguant qu'autre chose. Mais si je peux pas faire un tel ultra, comment savoir gérer les gros moments de solitude, qui n'arrivent pas sur les sorties plus courtes ? Certains parlent de périodes difficiles qu'il faut traverser, comment les aborder sans y avoir fait face ?
Tu peux regarder la notion de week end choc et enchainer les sorties plusieurs jours de suite c'est un moyen très efficace de s'entrainer à l'ultra. En terme de planification je base ma prépa la dessus, je pars de la date de l'objectif en retroplanning et je prévois un gros bloc 3 semaines avant (ici tu peux prévoir de faire genre 120km sur 3 jours). Et je place des blocs précédents toutes les 2 a 3 semaines qui montent progressivement la charge.
En enchainant sur plusieurs jours tu travaille sur la fatigue mais en même temps tu t'offre la possiiblité de trouver des solutions aux difficultés. Si le jour 1 tu finis avec des ampoules, un mal de bide, un problème matériel tu as l'occasion de trouver une solution pour les jours suivants que tu vas expérimenter.
Ces sorties ce sont de longues heures en solitaire en montagne, l'essence même du trail. Cela peut être en étoile autour d'un lieu ou tu reviens chaque soir, cela peut être en itinérant de refuge en refuge (je viens de faire Annecy-Grenoble en 4 jours par exemple). Et c''est la que tu vas tester ton matériel (donc le matos obligatoire c'est maintenant pas juste avant la course, de plus ce n'est pas une contrainte mais une bonne indication de ce dont tu as besoin en off et souvent pas suffisant), ta nutrition avec les contraintes de l’itinérance ou tu dois te ravitailler avec ce que tu peux.
Par rapport à faire d'une traite il ne faut pas se leurrer la fatigue est souvent similaire voir amplifiée mais cela laisse plus de possibilité de s'écouter pour éviter la blessureJiB a écrit:La plupart du temps d'ailleurs, j'ai fini avec l'estomac un peu retourné, je pense à cause d'un mauvais timing de l'apport en glucides (trop avant 1500m de D-, par exemple).
Du coup je me demande, comment anticiper les coups de mou au niveau de la digestion ? Privilégier des glucides complexes ou des protéines, voire des lipides, est-ce essentiel pour un ultra comme la X-Alpine ? Devrais-je m'entraîner à manger autre chose que des glucides rapides en sortie longue ?
Une réponse : gut training.
Tu dois augmenter progressivement l'apport énergétique au cours de tes sorties, partir le ventre plein pour entrainer ton système digestif dans son ensemble et trouver ce qui te correspond.
Concernant le contenu : des glucides, des glucides et encore des glucides :
-Protéines et lipides sont plus couteux en digestion.
-A l'effort il n'y a pas de notion de glucides rapides / lents, simples / complexes ton corps veut du sucre.
-Peu importe la durée.
-La lipolyse fonctionne avec un fond de glucides, les réserves de lipides sont infinies donc faut manger des glucides.
A lire / écouter ici : https://courir-mieux.fr/quelle-alimentation-trail/AureLynx a écrit:Pour mon cas, je dirais que les longues sorties en conditions difficiles (pluie, froid, etc), les randonnées sur plusieurs jours, avec la fatigue accumulée, les aléas et autres imprévus, permettent de toucher du doigt les moments difficiles rencontrés en ultras (en particulier si on part seul - même si ce n'est pas ce qui est habituellement recommandé quand on va en montagne). Mais ça reste très différent de ce que j'ai pu vivre vraiment sur mes ultras : les vrais gros coups de moins bien qui font ruminer les idées négatives, le manque de sommeil qui provoque des hallucinations et s'endormir debout, et les sursauts d'énergie qui semblent venir de nulle part et permettent de finir la course (ou pas). Et ça, je ne pense pas qu'on puisse totalement s'y préparer. Quelque part, ça fait partie du challenge : découvrir ses capacités, ses ressources, sa résilience (ou pas).
Les grosses sorties difficiles en montagne, surtout si elle sont fréquentes et par toutes conditions, entrainent le mental, font acquérir de l'expérience (en particulier pour savoir réagir en cas d'imprévu et garder les idées claires en cas de "défaillance", que ce soit du matériel, de toi-même, ou d'une autre personne croisée en chemin), et cela entraine aussi le corps (alimentation, fatigue, sommeil, courbatures, etc).
La difficulté de l'entrainement peut être un refuge lors des moments difficiles en course :
"Je n'ai pas fait tout ça pour rien et m'arrêter maintenant"
"j'ai déja vu pire"
Mais attention avec cette notion de travail mental, la tendance scientifique est plutôt à dire que ce genre de pratique à s’entrainer "à la dure" crée de la fatigue mentale qui peut être délétère ensuite.
Comme toute fatigue cela demande une régénération et une récupération
JiB a écrit:Il faut en effet que je me commande le matos obligatoire avant la course. D'ailleurs, la X-Traversée est complète, je ne peux plus changer.
JuCB a écrit:JiB a écrit:Il faut en effet que je me commande le matos obligatoire avant la course. D'ailleurs, la X-Traversée est complète, je ne peux plus changer.
Ca te coûte quoi d'envoyer un mail ??
Du coup, le mur ? tu le veux de quelle couleur ?
JiB a écrit:Je comprends, ça serait difficile d'accepter qu'un débutant réussisse la X-Alpine alors que t'as pas été capable de finir une X-Traversée avec 8 ans d'expérience
JuCB a écrit:JiB a écrit:Je comprends, ça serait difficile d'accepter qu'un débutant réussisse la X-Alpine alors que t'as pas été capable de finir une X-Traversée avec 8 ans d'expérience
Tu dois confondre avec un autre...
Benman a écrit:Salut JiB
Je pense qu'on souhaite tous ici pouvoir t'aider à réussir ton pari. C'est l'essence même de ce forum dont beaucoup de ceux qui te répondent sont des habitués.
On est globalement un peu expérimentés en ultra, et on a tous vécu des trucs pas drôles en course lorsque c'était vraiment dur et pas à notre niveau. On y a aussi souvent appris l'humilité.
On ne peut pas dire que tu tiennes énormément compte des conseils qu'on essaie de te donner, notamment sur l'aspect un peu extrême du format de ta course que tu as choisi; mais c'est comme ça aujourd'hui, on veut tout tout de suite.
Par contre, ton chambrage sur JUCB, franchement, il est pas terrible. Tu te renseigneras un peu sur ce qu'il a fait avant. Tu regarderas aussi un peu le palmarès de Franch, et après tu pourras commencer à remercier que des athlètes de haut niveau prennent la peine de passer du temps à te donner des conseils.
JiB a écrit:
Je comprends, ça serait difficile d'accepter qu'un débutant réussisse la X-Alpine alors que t'as pas été capable de finir une X-Traversée avec 8 ans d'expérience
AureLynx a écrit:JiB a écrit:
Je comprends, ça serait difficile d'accepter qu'un débutant réussisse la X-Alpine alors que t'as pas été capable de finir une X-Traversée avec 8 ans d'expérience
Je ne pense pas que ce soit l'objet du débat.
Tu peux peut-être "réussir" la X-Alpine même en étant débutant (d'ailleurs, que voudrait dire la "réussir" pour toi ? si tu la finis, même si tu es dans les derniers ? ou "réussir" la X-Alpine, pour toi c'est faire un temps que tu estimes correct, ou un classement qui tu trouves "réussis" ?)
Personnellement, je me suis lancée sur mon premier ultra seulement 1 an après avoir débuté le trail, et ça s'est très bien passé. (mais expérience ++ en randonnée en montagne)
Ce qui pose question dans tes interventions, c'est que tu sembles vouloir suivre un programme d'entrainement très conséquent, adapté aux coureurs déjà expérimentés qui souhaitent performer, alors même que tu es débutant et que tu ne sembles pas être encore optimal sur les bases et prérequis du trail en montagne. (cf les demandes sur le matériel, les parcours possibles, par ex si coupe-vent indispensable pour Vercors en avril, si col de la Vanoise faisable fin mai ?, etc --> pour la dernière question je t'invite à jeter un coup d'oeil aux sorties en ski de rando sur skitour !)
fred_1_1 a écrit:Cette discussion me semble tellement surnaturelle , j'ai demandé à ChatGPT si JiB était une IA avec la quelle on était en train de discuter ( sur la base du premier message de JiB)]
JiB a écrit:pas de matériel de survie, mais jusqu'ici ça s'est toujours bien passé, donc pourquoi changer ? Par contre, il va en effet falloir que je me procure le matériel obligatoire.
JiB a écrit:En Vanoise il n'y a plus que 1m de neige en face nord à 2500m, les refuges à 2300m devraient être assez vite accessibles.
JiB a écrit:On m'a souvent critiqué pour mes excursions en montagne un peu à l'improviste (GR5 en short, pas de carte, sans eau, réservation refuge dernière minute, pas de matériel de survie) mais jusqu'ici ça s'est toujours bien passé, donc pourquoi changer ?
JiB a écrit:On m'a souvent critiqué pour mes excursions en montagne un peu à l'improviste (GR5 en short, pas de carte, sans eau, réservation refuge dernière minute, pas de matériel de survie) mais jusqu'ici ça s'est toujours bien passé, donc pourquoi changer ? Par contre, il va en effet falloir que je me procure le matériel obligatoire.
En Vanoise il n'y a plus que 1m de neige en face nord à 2500m, les refuges à 2300m devraient être assez vite accessibles.
vaako85 a écrit:Parsque c'est débile, des héros y en à plein les cimetières....
L'intérêt c'est quoi dire j'ai la plus grosse parsque je part sans rien ?
Sa c'est tjr bien passé jusqu'au jours ou , ba sa le fera plus ....
Va un peu discuter avec les secouristes qui tout les été doivent risquer leurs vie pour allez sauver des loustics dans ton genre ...
JiB a écrit:[/quote.]
J'avais jusque là un doute sur la nature de troll du dénommé JiB
Je n'en ai plus.
Adieu petit.[/quote.]
La vie a dû être dure pour toi, devenir si aigri...
JiB a écrit:
On m'a souvent critiqué pour mes excursions en montagne un peu à l'improviste (GR5 en short, pas de carte, sans eau, réservation refuge dernière minute, pas de matériel de survie) mais jusqu'ici ça s'est toujours bien passé, donc pourquoi changer ? Par contre, il va en effet falloir que je me procure le matériel obligatoire.
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