doudouX a écrit:Mais j'ai du rester 2h30 à Arzon parce que quand je suis arrivé et que je vais chercher mon sac, on m'annonce qu'il n'est pas là et pour faire court, les 3 personnes qui s'en occupaient n'en avait rien à faire. On m'a juste dit "vous êtes pas le seul". J'étais alors au 36eme de sous. J'attendais ce sac avec les rechanges, une autre paire de pompe et surtout mon short compressif (mes cuisses souffraient pas mal). Et après plus de 13h d'effort, j'étais incapable de réagir et de me battre avec cette organisation qui ignorait totalement ma détresse.
Quand je suis allée rendre mon dossard à Arzon, j'ai vu un grand monsieur, très en colère, au téléphone qui disait qu'il était OBLIGE d'abandonner parce que l'orga avait perdu son sac. C'était l'un d'entre vous ?
Voui sinon, je me suis bien fait prendre la tension à Arzon. Une dame était allongée à plat ventre et se faisait soigner les pieds, le sourire aux lèvres. Très bizarre. La tension était bonne et du coup, je suis allée chercher mon sac, réfléchir, me doucher, réfléchir, m'allonger, réfléchir, téléphoner, réfléchir, faire des calculs dans ma tête et me dire que non, j'avais besoin d'une heure de repos et que si je repartais une heure avant la BH, vu la température annoncée et les orages à venir (le coup de tél. justement), ça n'aurait pas tenu.
Une amie qui a fait 27H00' en 2015, à fait 35H00' cette année. Première partie, jusqu'à l'embarcadère en moins de 13H00', deuxième partie en 22H00' et de surcroît, elle a continué sous l'orage.
Donc oui, il fallait vraiment compter 2/3 de temps sur la 2ème partie. Je n'avais aucune marge. J'enrage d'autant plus avec cette heure de barbotage inutile. Mais bon, je ne vais pas refaire la course ...