L'auteur : DavidSMFC
La course : L'Echappée Belle - Maratrail - 42 km
Date : 23/8/2025
Lieu : La Rochette (Savoie)
Affichage : 170 vues
Distance : 42km
Objectif : Pas d'objectif
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Cela fait bien longtemps que je n'ai pas posté de récit sur Kikouroù, continuant d'alimenter mon blog après chaque course mais là, ça me semble opportun, sur cette épreuve que j'ai découverte grâce à Kikouroù, sur laquelle j'ai énormément appris, fait de belles rencontres et ça y est, j'ai enfin fait sonner la cloche à Aiguebelle ! Certes sur la course enfant mais même celle-là, elle se mérite vraiment, à mes yeux. Et un clin d'oeil tout particulier aux kikoureurs présents au Col de la Perche évidemment, quel plaisir d'y arriver !
Récit disponible sur mon blog : MaraTrail de l'Echappée Belle 2025
La 3ème sera la bonne ?
En 2017, lorsque je me suis attaqué pour la première fois à une des épreuves de l'Echappée Belle (le Parcours des Crêtes - 47 kilomètres), je n'étais pas vraiment prêt. Malgré une Montagn'Hard 60km réussie à l'été 2016, j'ai cumulé les erreurs en amont et pendant la course, m'obligeant à renoncer au Pontet (km 33).
En 2022, je suis revenu bien mieux armé mais j'ai été trop ambitieux. Alors que j'avais certainement les moyens physiques d'aller au bout du parcours, j'ai préféré être raisonnable face à la longueur et à la difficulté de l'épreuve choisie (Traversée Nord - 85 kilomètres). J'aurais certainement plutôt dû tenter de prendre ma revanche sur le Parcours des Crêtes mais en quête de défi, j'ai vu gros sauf que le jour J, je n'en ai plus eu l'envie...
Pour autant, je ne suis pas du genre à rester sur des échecs et même si ce n'était pas vraiment au programme cette année (ayant choisi de participer au Défi de la Muzelle au mois de juillet et me contentant généralement d'un objectif en montagne chaque été), me voilà inscrit au MaraTrail, un format plus accessible avec quelques kilomètres en moins et des barrières horaires plus que larges. Enfin la bonne occasion d'aller sonner la cloche à Aiguebelle ?
Et c'est peu dire que cette année, je ne me suis pas mis de pression vis-à-vis de cette course car elle figure bien dans mon calendrier mais c'est tout sauf un objectif majeur. J'ai fait très peu de dénivelé cette saison à l'exception des deux courses by UTMB : Nice début octobre et le Trail des Celtes à la mi-mai. Et, bien sûr, mon gros bloc du mois de juillet avec l'enchaînement de 100 kilomètres en bénévolat sur les parcours de l'Ut4M et les 100 kilomètres du Défi de la Muzelle.
J'ai très bien récupéré depuis mon départ des Deux Alpes, une semaine de boulot en déplacement à l'étranger m'a poussé à être particulièrement raisonnable sur la récupération avant de reprendre la course à pied en région parisienne pendant 2 semaines (il paraît qu'il y a le Marathon d'Amsterdam à préparer !) et surtout un gros volume en VTT, principalement pour le boulot. Seule inquiétude physique depuis le Défi de la Muzelle, les ampoules sous les pieds ont bien cicatrisé, j'en prends soin pour ne pas vivre un calvaire dans Belledonne !
C'est mercredi (20 août) que j'arrive dans la région, ayant réservé un logement à Esserts-Blay. Deux sorties vélo et deux randos me permettent de découvrir le coin avec un petit déverrouillage le jeudi en finissant la balade en courant la descente. La forme est vraiment bonne, pourvu que ça dure !
Samedi 23 août 2025
Le départ de la course n'étant qu'à 10h00, c'est pour une fois un réveil à une heure raisonnable, contrairement aux précédentes éditions. Je me rends à Aiguebelle pour 8h30 afin d'y prendre la navette nous menant à Valgelon-la-Rochette. Je galère un peu à stationner sur place, le parking étant déjà bien rempli. Je suis quand même dans les temps pour rentrer dans le car de la vague 1 (il y a 3 vagues) en laissant au passage mon sac aux très gentils bénévoles pour la consigne.
Après une petite demi-heure de route, nous voilà au départ de la course ! Je récupère mon dossard (n°3069), je passe aux toilettes puis je profite du petit ravito (un peu de St-Yorre et une part de quatre-quarts) en attendant d'entrer dans le sas. Je patiente un peu avant de rentrer en quatrième position. Puis, je reste volontairement bien en retrait pour ne surtout pas partir devant, l'objectif est de gérer au maximum le début de course pour être "frais" le plus longtemps possible. Je sais à quel point la course peut vite devenir un calvaire en se grillant trop tôt !
LiveTrail me donne un objectif en 6h38 avec un passage à Val Pelouse en 1h50. Mon seul objectif est de finir, peu importe le chrono mais j'espère bien sûr terminer en moins de 10 heures si possible et si je dois me fixer un objectif ambitieux sans prendre de risques d'explosion, ce serait de finir entre 6 et 8 heures de course. Moins de 7h, ce serait parfait.
De Valgelon-la-Rochette à Val Pelouse
10 kilomètres - 1372 mètres de dénivelé positif
Et c'est parti avec un départ bien à l'heure, à 10h00 ! Dans les rues de Valgelon-la-Rochette, il faut courir évidemment même si on arrive rapidement sur quelques faux-plats montants puis un peu de montée mais il faut attendre un peu avant de marcher pour profiter de la fraîcheur des jambes et de la dynamique du peloton. J'ai vraiment prévu d'être très raisonnable, comme en Alsace et surtout pas comme à Nice. Je me sens bien sur ces premiers kilomètres et je me mets à marcher dès que la pente se dresse devant nous, sur les chemins.
Cependant, pendant 3 bons kilomètres, le parcours reste très roulant avec quelques bosses mais aussi de belles relances presque plates. Enfin, nul doute que je ne les décrirais pas comme ça si nous passions là en fin de course mais avec mon énergie du moment, ça se court bien en tout cas.
Comme d'habitude, je suis un des très rares concurrents à ne pas avoir de bâtons, c'est un choix délibéré de ma part car je les ai emmenés avec moi dans les Alpes mais vu que j'ai réussi à boucler le Défi de la Muzelle sans les utiliser, je compte bien en faire de même ici. Je sais que je ne me rends pas la tâche facile mais je préfère être dans le dur en montée et grimper à l'écoute de mon corps et ne pas être embêté de devoir tenir ou ranger les bâtons à chaque relance.
Après un passage plus raide, le tracé reste très favorable à une bonne vitesse de marche jusqu'au kilomètre 5, ce qui me permet de prendre de l'avance sur les estimations chronométriques sans avoir à m'employer de trop. Je sue déjà abondamment donc je suis vigilant et je me ravitaille essentiellement avec ma flask d'eau dans laquelle j'ai mis une pastille d'électrolytes.
Les choses sérieuses commencent avec 5 kilomètres bien plus difficiles pour rallier Val Pelouse. Après 5 bornes d'échauffement, on rentre dans le vif du sujet. Après une longue portion en forêt, on arrive sur les balcons en-dessous du ravitaillement. Mon allure a logiquement bien diminué mais je me sens vraiment bien pour l'instant, je me donne mais sans avoir l'impression d'en faire trop, j'espère ne pas le payer plus tard mais sur le coup en tout cas, j'ai le sentiment de bien gérer ce début de course. Peut-être un poil trop rapide mais tout va bien.
C'est après 1 heure 41 minutes et 47 secondes de course que j'arrive à Val Pelouse. 74ème au classement sur un peu plus de 450 partants. 6km/h de moyenne sur les 10 kilomètres de montée, c'est pas mal du tout, j'ai un peu d'avance sur l'estimation donnée par LiveTrail sur la base de mon UTMB index.
Je fais un bon petit stop au ravito, pas long mais je bois et mange bien comme il faut en alternant salé et sucré. Du fromage, du saucisson, de la pastèque. Tout ce que je préfère sur du Trail ! Et je fais remplir ma flask avec de la St-Yorre tout en buvant du coca.
De Val Pelouse au Bourget-en-Huile
25 kilomètres - 2200 mètres de dénivelé positif
En repartant du ravitaillement de Val Pelouse, j'essaie de donner des nouvelles à mes proches mais ce n'est pas chose aisée, je suis complètement trempé de la tête aux pieds. J'utilise donc un mouchoir pour sécher mes doigts et l'écran de mon portable afin de prévenir que tout va parfaitement après 10 kilomètres de course. Du coup, je fais le début de la montée au ralenti avant de reprendre mon rythme même si on aborde une partie bien raide, la plus pentue depuis le début de la course.
Pour le coup, ça calme bien alors que j'étais reparti bien motivé du ravito, content d'être en pleine forme à Val Pelouse, là où ça avait été catastrophique en 2017. Mais là, la montée me sèche bien. Je profite du replat suivant pour bien relancer avant un deuxième mur. Et ensuite, on bascule enfin dans la première descente de la course, une descente bien technique, pas très pentue mais difficile à courir. C'est parfait, ça m'évite de me griller et de me fracasser les quadriceps !
Je reste sagement derrière des concurrents qui avancent relativement bien tandis qu'on double de temps en temps d'autres coureurs moins à l'aise, soit des concurrents du MaraTrail moins bons descendeurs que nous, soit des coureurs de l'Intégrale puisque nous avons désormais rejoint le parcours de l'Ultra avec des concurrents qui ont déjà fait plus de 120 kilomètres.
Je finis par dépasser le gars qui donnait le rythme depuis un moment car je sens qu'il calme le jeu et me ralentis un peu trop, il préfère être prudent pour ne pas exploser et il a bien raison mais moi, je dois profiter d'une des rares portions qui me soit vraiment favorable, sans en faire trop pour autant. Je rattrape d'autres coureurs en déroulant bien mais en sachant aussi que je vais vite être calmé quand la pente va s'inverser.
Au bout d'environ 3 kilomètres de descente, on arrive aux sources du Gargoton où j'avais fait un arrêt bien nécessaire il y a 8 ans. Cette fois, je n'y mouille même pas ma casquette, je file dans la montée du Col de la Perche ! Une ascension de 1,7 kilomètres d'après les indications du panneau mais surtout une montée vraiment très exigeante !
Bon, là, tout le monde ralentit nettement et même en ayant l'impression de ne plus avancer, je ne perds que très peu de places. C'est le genre de montée que j'aime bien faire en rando mais beaucoup moins en course, trop dure pour moi. C'est probablement là que les bâtons seraient utiles mais peu importe, j'avance à mon rythme et je profite quand même des conditions météo idéales que nous avons aujourd'hui, à l'exception de quelques paysages un peu trop bouchés.
Je pense à bien boire et dans la portion finale, plus à découvert, je commence à entendre et apercevoir les kikoureurs qui mettent l'ambiance au sommet ! Après une telle difficulté, ça va faire du bien de voir quelques têtes connues. Allez, un dernier effort et me voilà enfin en haut de ce petit enfer. Benoit immortalise l'instant, on échange quelques mots et je repars bien reboosté dans la portion roulante qui suit, manquant de peu de chuter en tapant dans la main de Julien... Je suis en forme mais attention à la lucidité qui risque de commencer à faire défaut.
J'en ai conscience mais pour autant, je n'ai pas suffisamment pris en considération cet avertissement car après une grosse relance, je me déséquilibre à nouveau quelques centaines de mètres plus loin sauf que là, je ne suis pas à l'arrêt donc c'est beaucoup plus difficile de me rattraper... Je déboule trop vite et je me retiens avec les mains en avant, j'ai le genou gauche qui est un peu éraflé, je ne sais pas si c'est contre le sol ou autre chose car ça a été très vite mais surtout, j'ai le pouce droit bien douloureux. Je m'en veux de m'être emballé alors que tout allait parfaitement jusque-là, il ne faut pas que je foute en l'air ma course aussi bêtement. Là, ça va me servir de leçon pour toute la portion descendante qui suit.
C'est donc très prudent que je me relance beaucoup plus tranquillement en sachant que de toute manière, on ne bascule pas encore dans la grande descente vers Le-Bourget-en-Huile. Pendant plusieurs kilomètres, on alterne des parties descendantes, des portions plus planes et des bosses jusqu'au Sommet du Grand Chat. C'est pas mal, ça me permet de ne pas m'emballer, de récupérer de ma "presque-chute" et de sentir que même si toutes les montées deviennent pénibles, je suis encore plutôt bien en jambes.
Il est enfin temps de basculer dans la descente, longue d'environ 6 kilomètres afin de rejoindre le deuxième et dernier ravitaillement de la course. C'est là que ça va commencer à se compliquer pour la gestion des quadriceps car il est difficile de se retenir sur plus de 1000 mètres de dénivelé négatif. Je fais vraiment une belle descente je trouve, sans faire de folies mais en avançant vraiment bien sauf que forcément, cela puise beaucoup dans mes réserves d'énergie.
J'arrive avec un bel élan au ravito donc au final, celui-ci me coupe bien dans ma dynamique mais en même temps, il est nécessaire, surtout au niveau de l'hydratation. D'autant plus que c'est toujours plus difficile de se ravitailler en descente. Je pointe au Bourget-en-Huile après 4 heures 01 minute et 35 secondes de course. Je suis 62ème, j'ai gagné 12 places depuis Val Pelouse, dans une portion qui me convenait globalement davantage à l'exception des quelques montées très raides. Je sais parfaitement que la fin de parcours ne me sera pas aussi favorable car je suis désormais bien entamé.
Je m'en rends bien compte pendant que je me ravitaille car j'ai très soif, je bois un peu de tout (St-Yorre, Coca, eau avec du sirop de citron), je mange pas mal de pastèque, un peu de saucisson et de fromage mais j'en ai nettement moins envie. J'ai besoin de frais. Je suis un peu en surchauffe et je ressens un bon petit coup de bambou. Je m'assois quelques instants pour récupérer avant de repartir. Je sais que la suite va être bien plus pénible mais je sais aussi que je vais aller au bout, peu importe le temps que ça me prendra.
Du Bourget-en-Huile à Aiguebelle
42 kilomètres - 2790 mètres de dénivelé positif
C'est l'information que je transmets à mes proches en repartant en marchant du ravito. Je préviens que cette fois, je suis bien bien fatigué mais que malgré le fait que ce soit dur, je vais aller au bout. J'attaque 4 kilomètres relativement plats avec bien peu de motivation pour courir mais j'essaie de relancer quelques fois, sur quelques dizaines de mètres. J'avance péniblement mais j'avance et quand je marche, j'ai un bon rythme par contre. C'est juste que dans la tête, je n'ai plus envie de courir. J'ai consommé une grande partie de mon énergie sur la portion précédente, je ressens le besoin de recharger les batteries.
J'alterne donc entre léger trottinement et marche, les moindres petites bosses m'usent mais les petites descentes me font du bien, ce n'est pas non plus complètement catastrophique. En revanche, quand j'arrive dans l'ultime difficulté de la course, je me prends vraiment un mur ! Là, c'est très très dur, je peine énormément à progresser dans la montée très raide qui mène en direction du Fort de Montgilbert. Je ressens même le besoin de m'arrêter un peu sur le côté, ce que je fais quelques secondes en m'asseyant pour laisser passer un groupe mais je ne traîne pas, il faut que je continue d'avancer. Je fais des micro-arrêts. C'est vraiment pénible, j'en ai marre mais c'est là qu'il faut résister à l'envie de s'arrêter. Pas le choix.
Heureusement, il y a quelques replats une fois la grosse montée passée et ensuite, ça continue de grimper mais sur des portions plus courtes, souvent bien raides aussi mais beaucoup moins longues. Je me fais doubler par plusieurs concurrents mais je ne perds pas énormément de places pour autant et j'ai hâte de basculer dans la descente même si je sais que j'y serai bien moins frais que la précédente.
Allez, dernière portion en montée avant de rejoindre les hauteurs de Montgilbert, un passage dont un coureur m'a parlé ce matin dans le car donc je m'y attendais. Du coup, psychologiquement, ça ne passe pas si mal. En revanche, c'est la relance en haut qui est trop dure, j'essaie de trottiner par moments mais vu que c'est du léger faux-plat montant, je suis cuit donc je marche majoritairement. C'est donc plus long que si je courais mais tant pis. Et quand je crois que ça bascule en descente, fausse alerte, encore une bosse, et encore une et hop, allez, ça descend... mais non, encore une vacherie avec une affreuse pente, pas longue mais qui fait tellement mal au moral et aux jambes ! Il est vraiment temps qu'on soit débarrassés du D+ mais ça y est, c'est le cas pour de vrai ce coup-ci.
Le début de la descente est vraiment très pentu, il fait grincer des dents tant ça fracasse les quadriceps mais au moins, ça me permet de courir à nouveau ! C'est ensuite un peu moins raide sur les kilomètres suivants mais il y a quand même un beau pourcentage, ça fait mal. Ce n'est qu'après environ 3 kilomètres de descente que la pente s'adoucit vraiment avec une portion que j'apprécie beaucoup plus. Alors, clairement, je n'en peux plus donc je ne vais pas dire que j'y prends du plaisir mais j'avance bien, c'est beaucoup moins douloureux physiquement donc moralement, c'est quand même beaucoup plus agréable.
Un peu plus loin, je rejoins Martin, un coureur que je côtoie depuis le début de la course, on a beaucoup fait le yoyo. Il était juste devant moi dans la première montée, je l'ai doublé dans la descente puis il m'a repassé au début de la dernière montée où on a échangé quelques mots et là, je le reprends dans l'ultime descente et on papote un peu ensemble, ça fait du bien et ça fait passer le temps tellement plus vite. Allez, par contre, finie la gentille pente toute douce, il nous reste une dernière portion plus raide pour rejoindre Aiguebelle, au moment où on croise une concurrente avec qui j'ai aussi fait le yoyo pendant toute la course et qui a manqué la bifurcation, elle a fait un peu de rab ! Heureusement que ce n'est pas mon cas tant j'ai hâte d'en finir.
Dernière partie de souffrance de la course, du plat, sur le bitume, pour rallier l'arrivée ! Je fais l'effort de courir au maximum mais au bout d'un moment, je n'en peux plus, je marche à nouveau. Martin me rattrape, marche avec moi puis on arrive au niveau du parking où je me suis garé ce matin, des spectateurs nous incitent à relancer, Martin aussi alors c'est parti pour courir jusqu'au bout, sur quelques centaines de mètres bien dures. Je n'en peux plus mais c'est dans la tête. Derniers hectomètres, on entre dans le parc et on franchit la ligne d'arrivée, ouf, c'est fait ! Je sonne la cloche au passage, un peu à l'arrache mais je suis lessivé !
78ème au bout de 6 heures 31 minutes et 41 secondes de course, parfaitement dans mes objectifs idéaux, mieux que l'estimation LiveTrail ! Je suis cuit, ça a été bien dur encore une fois mais quel bel accomplissement, même si c'était le format le plus accessible de l'Echappée Belle ! Au moins, cette fois, je suis finisher ! Et maintenant, place à une récupération bien méritée.
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2 commentaires
Commentaire de coco38 posté le 25-08-2025 à 09:18:48
Bravo à toi. C'est vrai qu'il n'est pas facile ce parcours. Dommage qu'avec ce système de vague on n'ait pas pu se croiser au départ (parce qu'ensuite tu étais très largement devant !)
Il faudra revenir faire plus long l'année prochaine !
A+
Commentaire de DavidSMFC posté le 25-08-2025 à 13:19:40
Merci ! Bravo à toi également !
Pas sûr d'avoir très envie de faire plus long sur les parcours de l'Echappée Belle même s'il y a des endroits où j'aimerais aller ou retourner... En revanche, j'accompagnerais bien volontiers des amis de mon club sur le MaraTrail ou le Parcours des Crêtes pour leur faire découvrir le coin...
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