L'Ardéchoise 2009 où comment la route d'Embrun 2010  passe par l'Ardèche...
  
 L'Ardéchoise est certainement le plus grand événement  sportif de France (?) si on cumule le nombre de participants (10000) , le nombre  de jours de manifestation (qui se décline  en une vingtaine de parcours sur 1 , 2 ou 3 jours), le nombre de kilomètres  parcourus (pas loin de 2 millions de kilomètres cumulés), le nombre de bénévoles  monopolisés (pas de chiffre, mais il n'y a pas un village d'Ardéche où l'on  n'est pas recu/applaudi au milieu de banderoles et animations musicales)...
 
 
 
 
Au  milieu de toutes les formules proposées, mon choix s'est porté au sortir de  l'hiver sur la classique, ses 216kms et 11 cols, on en reparlera  :)
 Embrun, vu son parcours vélo mythique, se  jouera sur 2 roues . Bref, Février 2009, je m'offre enfin un vélo digne  de ce nom !
 J-140 :Avec mon  passé de cycliste dilettante, les 16 mois qui me séparent du 15 Aout 2010, ne  seront pas de trop pour  me permettre  d'apprendre le métier. Le vélo , entre nous ,ca n'a jamais été mon truc . ¨Enfin ca c'est ce que que je répétais quand je pouvais  gambader selon mon bon vouloir vu que je préférais avoir les 2 pieds posés sur  le sol, plutot que sur 2 manivelles.  Primo, ca prend beaucoup plus de  temps que la cap ; ensuite on est énormément tributaire de la météo et de  l'horaire, bref plus de contraintes...   En quelques mois de pratiques, j'ai  légèrement modifié mon jugement, commencant à trouver plaisir dans une pratique  que je ne considérais auparavant que comme un complément à la course à  pied... 40, 50, 70, 80km en quelques  semaines j'allonge les distances, d'abord en plaine, puis en ajoutant  progressivement des bosses locales. 
 J-60  : Mi Avril, je franchis pour la 1ère fois les 100km, pile poil dans l'objectif  de montée en charge que je m'étais fixé. Néammoins je ressors de cette sortie  avec une drole de douleur derrière le genou, confirmée 2 semaines plus tard lors  d'une scéance équivallente . Résultat : 3 jours sans quasiment plier le genou !  Que passa ? Médécin du sport...Posturologue, pour vérifier et affiner les  réglages selle/guidon/cales. Bref 1 mois à tourner en rond, remettre en cause  les réglages, ressortir l'arthrose du genou comme une cause possible...incapable  de faire plus de 2h sans douleur. Bref à fin Mai , la perspective de faire le  parcours de 216km s'éloigne peu à peu : hors de question de ne pas y aller, je  réduis le vélo au minimum , espérant que la douleur disparaitra ; quant au choix  du parcours, ben je ne sais pas ! 
  
 J-7,  une inspiration me fait supprimer les cales automatiques , et leur préférer des  cales-pieds à l'ancienne ...Je décide de faire the "test" en partant sur une  sortie de 130 bornes, mélange de plat et d'un peu de dénivelé , histoire de voir  d'une part si le genou grince toujours, d'autre part ce que ca dit au dessus de  100 kilomètres... Km 50, la montée du col du Granier (depuis Champareillan) est  un calvaire , un truc à vendre son vélo au sommet au 1er intéressé (je frise le  6 km/h à 3 kilos du sommet)... Le restant de la sortie se passe sans trop de  souci, même si je suis content de descendre du vélo après 6h de selle...Le genou  va nickel...Un peu rassuré , mais pas complètement, je decide d'en remettre une  couche et à J-3, je monte faire 70 kms sur les terres à Béné, toujours sans les pédales automatiques...  Et le genou  continue de répondre que tout semble aller  ... Ce qui me plonge dans le doute alors que je m'étais quasi résigné à me  "contenter" du parcours de 170km (la Volcanique)
... Ce qui me plonge dans le doute alors que je m'étais quasi résigné à me  "contenter" du parcours de 170km (la Volcanique)   
 J-1,  j'ai RV au camping de St Félicien avec La Tortue et Mathias (le Boeuf du Zoo).  Lors de mon coup de fil , 1 mois auparavant pour réserver l'emplacement , un peu  inquiet après avoir constaté que St Félicien ne comporte qu'un seul camping de  40 emplacements , on m'a rassuré en me confirmant qu'il reste bien un  emplacement . Effectivement il reste un emplacement de 5 hectares, sur lequel  s'amassent 300 campeurs et la moitié de voitures :)) Et même un peu pentu par  endroit l'emplacement...
 
  
 Jour  J : 5h30, le réveil sonne...Mathias joue un peu les prolongations sous la  couette :)) Petit dej , derniers préparatifs. Après une nuit légérement arrosée,  le beau temps semble de mise même s'il est fait assez frais. Je vais supporter  le coupe-vent que j'ai failli ne pas prendre, en raison des fortes chaleurs de  la semaine sur Rhone Alpes...
 On  se dirige ensuite vers St Félicien  (2.5km de montée histoire de se mettre en  jambes) et je peux déjà constater à l'échauffement que je ne tire pas dans la  même catégorie que la Tortue !! 
Ayant tout deux un dossard prioritaire (les 1500  premiers inscrits) , et donc accès à un SAS spécial, nous devons abandonner  Mathias , qui s'appelle la Souris pour l'occasion , laquelle Souris s'était  inscrite un peu plus tard, et se serait retrouvée dans le 3ème sas.  Le système  de sas de l'Ardéchoise est tout à fait génial : rien à voir les grands  marathons. L'orga utilise les ruelles du village pour séparer les coureurs ,  chaque ruelle constituant un SAS et chacune d' 
entre elles débouchant sur l'arche  de départ. Bref alors que je m'attendais à une méga pagaille , en 3' nous sommes  en place à distance raisonnable de l'arche, y'a plus qu'à attendre le départ  !
  
 
  
 
 
  
 
 7h30  : les 300 coureurs élite (1er SAS) s'élancent. Il nous faudra patienter ~8' pour  franchir l'arche, grimper sur le vélo et démarrer la ballade. La Tortue est déjà  loin devant. Ca démarre par une descente de 2kms dans laquelle je suis super  prudent, pas trop habitué à progresser en bataillons serrés ! Puis nous voilà  parti pour la longue ascension du col du Buisson (12km) à un de sénateur : je me  surprends à froler les 20km/h , réalisant que les pourcentages d'ici n'ont rien  à voir avec ceux de Chartreuse ou Belledonne ! Je range le coupe vent , le  seleil ayant pointé son nez, et ne souhaitant pas transpirer inutilement. De  temps en temps, nous sommes doublés par des coureurs à une allure  impressionnante (> de 30km/h) ! je continue à me planquer sur le coté droit  de la route, me contentant de déboiter prudemment quand je tombe sur plus lent  que moi : c'est le métier qui rentre !!!
 
 
 
  
 Je  suis parti avec un bidon plein (malto+hydrixyr) et un vide . Au sommet du 1er  col, je saute la 1er ravito et me lance dans la descente . Prudence dans les  1ères descentes est la consigne que j'ai entendu de la part de tout le monde. Vu  le monde de toute facon, hors de question de descendre à 70km/h ! Bref je me  contente d'un petit 45 km/h, histoire de ne pas terminer mon Ardéchoise dans la  1ère heure de course !! Les moyens mis en place coté sécurité sont  impressionnants : la sécurité civile est présente tous les 3 ou 4 virages.   Depuis le départ, je suis impressionné par le nombre de coureurs arrêtés sur le  bas coté  pour un incident mécanique (crevaison, dérailleur qui frotte, réglage,  etc ...)... impressionné jusqu'à ce que ca soit mon tour en bas de la descente  où je m'apercois que mon bec de selle a une facheuse tendance à relever le nez,  rendant la position assise pour le moins inconfortable. Bref me voilà quitte  pour un arrêt au stand, où j'en profite pour remplir mes 2  bidons.
 
 
 
   
 Au  milieu du 2ème col, je suis rattrappé par Mathias qui a franchi l'arche de  départ avec un bon 1/4 d'heure de retard. Je monte un peu la cadence et on fait  la montée ensemble . Mais, je sens qu'il ne faudrait pas que je continue trop  longtemps à ce rythme pour virer à l'orange. Au Cheylard (bifurq pour le  circuit des 120kms sur lequel est engagé Pascaline) , on a fait 50 kilomètres,  je laisse Mathias démarrer  à son rythme  la longue montée vers Mézilhac . Un  peloton de coureurs (25 à 30) de mon niveau se forme sur une section d'abord en  faux plat montant, et je prends bien soin de m'abriter dans le paquet. Las, la  pente s'accentue après quelques kilomètres, notre grupetto s'éfiloche et chacun  se retrouve seul face à la pente. Je continue à ruminer une éventuelle décision  à venir, la bifurcation entre la Volcanique (170km) et l'Ardéchoise (216km)  étant située au sommet de ce 3ème col. La montée se fait désormais à un rythme  plus raisonnable et je ne dois guère dépasser les 12/13  km/h.
 
 
 
 
   
 Km72, Mézilhac, 11h10, il m'a fallu 3h30 pour couvrir  le 1/3 du parcours, environ 22km/h. je m'étais fixé 20km/h comme limite basse  pour tenter le "grand" parcours.. Il fait un vent à décorner les boeufs, ce qui  n'est guère rassurant pour la suite , toute la remontée se faisant plein Nord  avec vent de face  !! Je profite assez longuement (trop ?) du premier ravito  solide (sandwichs, mini mars, eau gazeuse, ...) , constatant au passage  l'absence de coca. Puis j'enfourche le vélo, découvre la bifurcation fatidique,  flèche à gauche pour le 216, flèche à droite pour le 170 : pas de lycéenne  derrière moi, mais le choix "Bruelien" s'impose quand même :))  
 Début de la longue descente vers Entraigues , un peu  surpris de constater que je suis désormais tout seul sur la route, habitué à  rouler en rang serré depuis le début ! J'en profite pour mettre un peu les gazs  et frôler les 55km/h sur une route nickel (faut juste faire gaffe à la  circulation qui est désormais ouverte dans l'autre sens !)
  
 Ensuite j'enchaine 2 petits cols (n° 4 et 5) , le  premier Aizac est le plus dur depuis le départ avec ses pointes à 9%, le second  est plus cool. On passe les 100km, la moyenne hors arrêt, doit maintenant être  autour des 21km/h. Comme sur ultra ce moment où l'on approche de la moitié est  le plus dur , physiquement et psychologiquement , et l'on ne peut s'empêcher de  penser au fait qu'il en reste autant. 
 
 
 
  
 
  
 Burzet, km 105, 4h53 depuis le départ. Je m'accorde une  petite pause sur un joli pont avant l'un des gros moments de la journée : le col  de Barricaude, 730mD+ , 13km de long et des pointes à 10%. Disons le clairement,  je ne vais pas l'aimer ce col là et vais y passer un certain temps... Ce qui me  rassure c'est que quelques coureurs sont plus mals que moi. D'ailleurs à ce stade de la course ,  il y a de moins en moins d'avions qui passe à plus de 20km/h. Je prends un gel  histoire d'éviter de terminer scotché sur la pente... Je n'ai pas de temps  précis , mais je vais mettre 1h10 il me semble pour arriver au col. Et là c'est  l'horreur : vent de face en rafale . Sur les 2kms de plat qui suive , je suis  entre 10 et 13km/h ! . Au second ravito solide (km120) , je descend chancelant  de vélo et me pose dans l'herbe , me ravitaille , reprend des forces... oufff ca  va mieux ! Le truc qui m'aura vraiment manqué c'est le  coca...
 
   
 
  
 
Et hop c'est reparti à  l'assaut du Gerbier de Jonc et de son tas de caillou. Toujours autant de zeph,  et visiblement il assez difficile de motiver les autres coureurs à former un  petit groupe et à se relayer face au vent. 
 
 
 
  
 
 
 Ca y est , le Col  n°8 est passé . Plus que 3  et 80 bornes !! Heureusement, Je sens que j'ai  repris un peu du poil de la bête... Puis arrive une très longue descente de 25km via St Martial,  qui nous amène au ravito de St Martin De Valamas . Je viens de faire 50 bornes  en 3 heures . La moyenne baisse. C'est bien parti pour durer 12 heures cette  histoire ! ij'ai pulvérisé mon record de distance à vélo qui date du week-end  précédent (130km) et curieusement j'attaque la montée de st Agrève sur un bon  rythme , preuve que j'ai sans doute assez bien géré mon alimentation depuis le  début. Certes je pioche par rapport au rythme du début de course, paie une  absence de volume , ainsi qu'un poids plutot sur le dessus de la fourchette,  mais je ne craque pas , sans doute bien aidé mentalement par mes années ultras  et la gestion des fins de course... La jonction ayant été faite avec le circuit  de l'Ardéchoise Marathon (268km) , je vois passer de temps en temps des avions  qui m'enrhument dans cette ascension longue mais peu difficile : le type  d'ascension où ceux qui peuvent emmener du braquet font la différence. Bref je  surveille dans mon rétro l'arrivée éventuelle de la Tortue partie sur le 268km  et qui pourrait bien me rejoindre avant l'arrivée...
 
 
 
  
   
 
A St Agrève, je fais un  nouvel arrêt au ravito (vraiment le truc à améliorer... pas les ravitos  parfaits, mais la longueur des mes arrêts !!) . Le 9ème col est un peu plus haut  à l'issue d'un long faux plat ou le vent de face nous joue de nouveau des  tours...
 
 
 
 
 Allez plus que 2 cols et  c'est dans la poche . L''avant dernier col (Rochepaule) est une quasi formalité  et je garde mes forces et ma gnac pour le Col du  Buisson.
 Je fais la descente  tranquille , appréciant les paysages de cette superbe région ardéchoise. Un oeil  au chrono , je réalise que je devrais pouvoir boucler en moins de 12h : je reste  prudent néammoins ne sachant pas ce qui m'attend dans la dernière difficulté...  
  
 Col de Buisson, 600m de  D+ au menu . Ca commence par 300m à 15% que j'attaque le plus souplement  possible. Au petit dej, ca irait mais là avec 200km dans les pattes, dur dur  . 
 
 
 
Un petit replat avec un ravito , où j'attrappe un verre d'eau, puis un  kilomètre à 10%, où je m'arrache pour atteindre un petit 9km/h. Le reste de  l'ascension , c'est 6km sur une route hyper étroite et assez peu lisse, le  pourcentage baisse , mais c'est encore trop !!! Les derniers 500m , c'est dur  mais c'est un vrai bonheur que de toucher au but !! Nième arrêt ravitaillement  (pour reposer le fessier qui n'en peut plus... et pour un besoin naturel).  
 Reste 10km de descente ,  puis les 2km de faux plat de l'arrivée. Je m'éclate dans la descente, frolant  les 60km/h , prenant juste garde aux quelques plaques de gravillons, ne  pas chuter si près du but quand même, ca serait balot  !!  Comme sur les 5  derniers km d'un 100 bornes, la dernière demi heure d'un ultra, la dernière  balise d'un raid28, c'est le 1/4 d'heure de bonheur, celui ou l'on relache la  pression de l'horaire, celui ou l'on peut enfin se dire "je vais le faire"  .  Les douleurs aux jambes, aux dos, aux fesses sont oubliées, les sensations sont  amplifiées par la vitesse grisante. Il ne me manque que mon PtitJean (et Béné,  Jérome, Francoise, Mimi, Didier...) pour me rappeler de sacrés souvenirs...  1000m de l'arrivée, la pente s'est inversée et il faut donner un dernier coup de  collier. Je gère tranquille à 16-18km/h n'étant pas à la minute quand ... un  avion arrive à ma hauteur : la Tortue avec qui j'étais au départ et qui vient de  me mettre 50km en 11 heures !!!! Trop trop fort l'animal qui terminera 29ème au  scrach sur le parcours "marathon" !! La Tortue a des fourmis dans les jambes  ("j'ai tout fait à fond !!") , bref ne voulant pas le retarder, je prends la  roue et on termine ... à donf , main dans la main  !!   
  
 Petit  Bilan
 11h22 pour les 216km (et  4100mD+ à mon alti) , je suis content (d'autant plus que d'après mon compteur,  je ne passe que 10h30 sur la selle,soit confirmation que je m'attarde un peu  trop aux ravitaillements)... Franchement, j'estimais ne pas être capable de le  faire dans les temps (pas de temps limites annoncés, mais en consultant les  résultats des années passées , les derniers étaient autour de 12h30/13h...) .  Bref au fond de moi, je partais sur le 216km pour aller le plus loin possible,  quitte à me faire arrêter à 30 kms de l'arrivée... Bref résigné mais pas battu d'avance quand même ! Comme souvent ces dernières  années, le mental m'a bien servi, et m'a permis de pallier un manque de volume  qui s'est particulièrement fait ressentir entre les km100 et 150, que j'ai  trouvé vraiment les plus durs. La fin de course fut "plus facile" , effet écurie  sans doute et renforcé moralement par l'assurance d'aller au   bout.
 Voilà une marche de  franchie , mais je suis conscient que pour passer Embrun dans les temps, il  faudra aller plus vite, bien plus vite (Mathias fait 9h40, et il faut  certainement faire moins de 10h à l'Ardéchoise pour ambitionner de passer les  barrières horaires d'Embrun) . Bref le chemin est encore long mais l'essentiel est là : ce  premier test a été passé avec succès, et je suis toujours en piste  !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Difficile de terminer ce  récit sans évoquer la tragédie du Mercantour qui se jouait presqu'au même moment  ; après avoir bouclé notre tour, nous plaisantâmes longuement au téléphone avec  le papy, apprenant d'abord l'arrivée du Troll, puis celle de la Souris et du  Festnoz , ignorant que  quelques heures plus tard certains laisseraient leur vie  sur un terrain qui n'est censé être que le théatre de leurs passions...  
  
 A  Christine, Hervé et  Philippe...
 
 
 
 
 
			          			          			          			           
15 commentaires
Commentaire de jepipote posté le 29-06-2009 à 17:22:00
super CR, pour un peu j'irai remettre mon vélo de route en état....
Commentaire de Pascaline posté le 29-06-2009 à 18:29:00
Super récit, belle course, dommage qu'on est pas pu faire un petit bout de route ensemble...
Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 29-06-2009 à 18:51:00
Mais, il fait des photos sur son vélo l'acrobate !
De Diou ! Tu vas tomber !
Commentaire de Jerome_I posté le 29-06-2009 à 20:36:00
bravo mon lieutenant... Content de relire un récit de ta part... Vivement le prochain et vivement Aout 2010...
Jérôme
Commentaire de Mustang posté le 29-06-2009 à 22:10:00
La vache, j'avais mal lu!! je croyais que c'était à pied!!
bon, en bicyclette, c'est pas mal non plus !! bravo lt blu!
Ah le Mont Gerbier du Jonc!!! bien bien tout ça!!
Commentaire de taz28 posté le 29-06-2009 à 23:11:00
Bravo mon Lieutenant pour cette mission belle et bien remplie !!
J'attendais le récit avec impatience, les photos prises en roulant sont superbes, et le trio de cyclistes magnifique !! ;-))
Bisous Philippe
Taz
Commentaire de gdraid posté le 29-06-2009 à 23:45:00
Belle promotion logique LtBlueberry,
la CAP devait te faire chier, alors tu vas à la selle, et t'en chie pour de bon, avant de mériter "à la force du poignet", ou plutôt des mollets, ta participation dans un proche avenir, à de plus nobles compétitions.
Merci pour ce récit, bien documenté et imagé, dans lequel tu sais nous faire apprécier l'Ardèche.
JC
Commentaire de Mathias posté le 30-06-2009 à 00:05:00
merci pour le récit, ça m'a ramené en ardèche le temps de la lecture...
c'est bien le vélo !
ça donne envie d'y retourner, enfin peut être pas sur l'ardéchoise, mais découvrir autre chose...
et la marmotte alors ? ;-)
à+
Commentaire de La Tortue posté le 30-06-2009 à 00:31:00
bravo mon grand !
pour embrun 2010, je ne me fais aucun souci pour toi. l'essentiel, tu l'as : le mental et la gestion du long. maintenant, il est vrai qu'il te faudra un peu plus de volume en vélo, mais tu as encore plus d'un an pour le faire, donc tout baigne !!!
et ce fut encore un plaisir de franchir une ligne d'arrivée main dans la main avec toi !
et merci encore pour l'organisation du we !
Commentaire de rapace74 posté le 30-06-2009 à 07:33:00
bravo mon lieutnant pour ce recit et cette course gérée de main de maitre!!! Embtun sera vraiment une rigolade pour toi , puis nous serons derriere pour t'aider si il faut
manu
Commentaire de Khanardô posté le 30-06-2009 à 10:05:00
Le vélo... un autre monde pour moi...
Merci de nous le faire partager !
Et tu es très en forme à ce que je vois... Une belle "reconversion".
A bientôt.
Commentaire de _azerty posté le 30-06-2009 à 14:26:00
C'est encore loin Embrun 2010 pour savoir ce que je ferai à cette période.
Mais ça me plairait vachement de t'encourager sur cet effort hors norme qui me laisse (et laissera) rêveur.
Commentaire de philkikou posté le 30-06-2009 à 18:14:00
..Bravo pour ce bon "entrainement" pour Embrun.
Pour les records de l'Ardéchoise, c'est même 4 jours (nouveau circuit qui passe par chez Mathias ;-) ) et 13600 pour le nombre total de cyclistes
Commentaire de eric41 posté le 02-07-2009 à 14:12:00
Bravo Phil,un ultra super bien géré.
Bonne continuation pour Embrun.
Eric
Commentaire de l'ourson posté le 03-07-2009 à 21:38:00
Merci L'Blueb pour ce superbe récit ki met l'eau à la bouche et donne envie d'aller regarder le programme Embrun 2010 ;-) ....M'enfin si je me réconcilie avec mon vélo et la piscine....
L'Ourson_tenté_par_le_CD_Embrun_kar_l'Ironman........._pfiouttt.._même_pas_en_rêve_!!!!
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