
Entre les fondrières emplies de boue liquide, les buttes-patinoire, le brouillard givrant et les plaques de glace, il y en a pour tous les goûts selon les années, mais toujours en mode "humide" !
A chaque participation je me suis dit : "Plus jamais", mais vu que l'Origole ne se tient désormais que tous les deux ans, on a bien sûr le temps de changer d'avis...
(Quoique, le surlendemain de la course, on a généralement déjà changé d'avis...

C'est sur l'Origole que j'ai croisé (c'est le mot : je terminais ma premiere boucle qu'il achevait sa deuxième !) le plus étonnant champion du circuit trail : un brutus d'outre-Quiévrain,
qui courrait en short/tee-shirt par 2°C, à peine rosi par le froid...
Trente seconde de ravito (le temps d'avaler une bière, pas Belge pour rien l'ami!)et c'était reparti !

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Bon allez, j'y serai peut-être cette année...
(Quoique, le Loup-Blanc et le Tour du Canton me tentent bien aussi...
