Last but not least...
Publié: 20 Juil 2014, 15:29
Ayant rechaussé récemment les groles pour m'aligner au départ (ça serait con de s'aligner à l'arrivée quoi que moins fatigant) de petits trailounets pas bien méchants, j'ai fait l'expérience - non pas amère - des queues de peloton voire de l'extrémité des bouts de queue de peloton. Cette expérience, plus un choix qu'une contrainte - en effet mon potentiel physique et psychologique me préserve, encore plus aujourd'hui qu'hier où je pouvais prétendre au mieux au premier quart de la course au pire à la première moitié, de performances louables et respectables. Oh je pourrais tenter de me mettre minable comme naguère et accrocher le haut du dernier quart. À quoi bon? Ne pouvant plus prétendre à une quelconque performance chronométrique, ne serait-ce qu'à travers mon échelle de valeurs, j'ai donc décidé, jusqu'à preuve du contraire, de voir la course par l'autre bout (comme la lorgnette dont "l'autre" bout est souvent bien plus riche en leçons de vie (ouh la, je m'enflamme... que c'est pompeux).
Voilà donc ma question:
Terminer une épreuve à la dernière place (disons les derniers 5%), que cela a-t-il représenté pour vous? Qu'en avez-vous retenu? Fut-ce un choix?
Promouvriez-vous ce choix?
À vos copies, vous avez trois heures. Ou plus, ben oui, on prend vite goût à la lanterne rouge.
Voilà donc ma question:
Terminer une épreuve à la dernière place (disons les derniers 5%), que cela a-t-il représenté pour vous? Qu'en avez-vous retenu? Fut-ce un choix?
Promouvriez-vous ce choix?
À vos copies, vous avez trois heures. Ou plus, ben oui, on prend vite goût à la lanterne rouge.