Je ne sais pas si c'est de l'amour ou de la résignation, en tout cas chapeau... Estelle !
Pour le reste, c'est effectivement une belle traversée. Et pour avoir fait une partie de ces sommets individuellement en ski de rando, ça représente une sacrée bambée. Il a dû sentir que les conditions étaient bonnes et connait visiblement très bien le coin (même si le fait d'avoir une bonne connaissance du secteur et d'être très aguerri sont deux facteurs aggravants dans les risques d'accident car, plus sûr de soi, on pousse justement le bouchon un peu plus loin). Mais j'aurais encore plus apprécié le récit si le soutien logistique dont il a bénéficié, c'est à dire la personne qui s'est bougée (après que sa femme l'ait trouvée) pour aller le récupérer au fond d'un trou perdu et lui a évité de rentrer sur ses petits pieds, avait eu droit à un peu plus de considération que "puis je finis par trouver la route et mon taxi"