Modérateur: Modos
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SaintéLyon 2019 - St étienne
avec 63 kivaoù, 17 récits pour 2019 et 573 au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
SaintéSprint - 23 km 2019 - Soucieu En Jarrest
avec 2 kivaoù, 573 récits au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
Saintétic - 12 km 2019 - Chaponost
avec 1 kivaoù, 573 récits au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
SaintExpress - 44 km 2019 - Ste Catherine
avec 12 kivaoù, 2 récits pour 2019 et 573 au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
Sony5478 a écrit:On voit bien qu'il y a moyen facilement de faire des sas en fonction de la côte itra, surtout pour les premiers sas.
Mathias a écrit:Merci Michel d'avoir lancé ce débat... périlleux !
On a vu des stats sur ce fil, ça semble jouable de fixer a priori des seuils sur les cotes itra pour obtenir environ 1000 coureurs par vague (par exemple).
Inscription => cote itra => sas affecté => pastille de couleur sur le dossard => accès au sas
En espérant qu'il ne soit pas nécessaire de mettre des grillages de 3m de haut pour éviter la resquille.
SlowTrailer a écrit:Sony5478 a écrit:On voit bien qu'il y a moyen facilement de faire des sas en fonction de la côte itra, surtout pour les premiers sas.
On voit très bien que tu n’as jamais eu à gérer les sas de départ d’une épreuve de masse.
Il est plus facile de classer les coureurs par cote Itra avec une feuille Excel que de veiller à ce que les excités de service occupent le sas qui leur a été attribué.
Sony5478 a écrit:J'ai mis en ligne aussi mon premier récit.
alfredyoyo a écrit:Sony5478 a écrit:J'ai mis en ligne aussi mon premier récit.
J'ai beaucoup aimé. Avec deux heures de décalage ( ) j'ai vécu un peu le même paradoxe : pires conditions que j'ai jamais vu sur une sainté (et sur une course tout cours enfait) mais je m'y suis bizarrement senti plutôt bien et ca m'a permis de vraiment bien me gérer. Absolument ravi et tout sourire à l'arrivée alors que par exemple l'arrivée de 2017 (froid neige glace) j'étais hyper entamé en mode "plus jamais".
Mathias a écrit:Merci Michel d'avoir lancé ce débat... périlleux !
Le respect des règles, le respect des autres, les incivilités... terrain glissant !
Content de voir que les échanges restent mesurés.
J'espère que cette discussion pourra faire avancer le Schmilblick, et puisque mimisoso nous demande notre avis, allons-y.
...
Inscription => cote itra => sas affecté => pastille de couleur sur le dossard => accès au sas
En espérant qu'il ne soit pas nécessaire de mettre des grillages de 3m de haut pour éviter la resquille.
le_griffon a écrit:Ah ouais en gros tu veux qu'on respecte les règles quand ça t'arrange (si mis en place de sas l'année prochaine) mais quand les règles ne t'arrangent pas (premier arrivé premier servi comme cette année) tu les contournes...C'est une façon de voir les choses assez répandue (malheureusement) mais un peu égoïste...
Tekrunner a écrit:le_griffon a écrit:Ah ouais en gros tu veux qu'on respecte les règles quand ça t'arrange (si mis en place de sas l'année prochaine) mais quand les règles ne t'arrangent pas (premier arrivé premier servi comme cette année) tu les contournes...C'est une façon de voir les choses assez répandue (malheureusement) mais un peu égoïste...
Ce n'est pas bien compliqué de comprendre que ce n'est pas seulement ce qui l'arrange lui, mais ce qui arrangerait les participants dans leur ensemble. Un système permettant à chacun de partir à une position correspondant à son niveau, sans avoir à poireauter pendant 2h, est la situation idéale pour tous.
lolo75 a écrit:PS-> Juste une petite question vis à vis de la cote ITRA
Lorsque je note mon nom, cette saintélyon n'est pas noté dans mes résultats
Normal ?
lolo75 a écrit:Salut à tous
1ère Saintélyon
çà, c'est fait !!
Pour une 1ere, j'ai été servi
J'ai 44 ans, j'ai fait du cyclisme de 14 à 17 ans, puis j'ai commencé à galoper vers l'age de 18 ans (des 5kms pour commencer, puis des 10, puis des semi, puis des marathons, et des trails et ultras depuis environ 10 ans maintenant ...), ...... et ben, j'ai pas le souvenir d'avoir fait une épreuve sportive dans ces conditions là !
Oh la vache ce que l'on s'est pris sur la casquette (qui ne servait pas à grand chose là )
Mais, perso, çà m'a plu cette flotte et cette boue
391e en 9h16.
Content de moi
Merci à vous tous pour le repas au Flore
J'ai trouvé çà sympa et bien organisé
Désormais, repos et régénération du bonhomme pour repartir en 2020
le 42 du Vulcain, le 105 de Trans Aubrac, le 100 de l'Ultrariege, sans doute les hospitaliers pour finir par la Lyon-Santé-Lyon (elle me branche trop celle çi!!!!!)
Bonne récup à tous.
PS-> Juste une petite question vis à vis de la cote ITRA
Lorsque je note mon nom, cette saintélyon n'est pas noté dans mes résultats
Normal ?
alfredyoyo a écrit:Sony5478 a écrit:J'ai mis en ligne aussi mon premier récit.
J'ai beaucoup aimé. Avec deux heures de décalage ( ) j'ai vécu un peu le même paradoxe : pires conditions que j'ai jamais vu sur une sainté (et sur une course tout cours enfait) mais je m'y suis bizarrement senti plutôt bien et ca m'a permis de vraiment bien me gérer. Absolument ravi et tout sourire à l'arrivée alors que par exemple l'arrivée de 2017 (froid neige glace) j'étais hyper entamé en mode "plus jamais".
Grego On The Run a écrit:Ben moi tout l'inverse de toi ! 2019 était pour moi la pire des pires et 2017 / 2018 = très correctes. J'ai les récit pour en témoigner.
Tekrunner a écrit:Ce n'est pas bien compliqué de comprendre que ce n'est pas seulement ce qui l'arrange lui, mais ce qui arrangerait les participants dans leur ensemble. Un système permettant à chacun de partir à une position correspondant à son niveau, sans avoir à poireauter pendant 2h, est la situation idéale pour tous.
Ranou147 a écrit:Encore une fois, est-ce que le vrai problème c'est de faire la queue, de doubler, les bouchons ?
Vous vous fourrez le doigt dans l'oeil si vous pensez qu'il va y'avoir un sas élite de 50 personnes, un sas ITRA 600 avec 150 personnes, un sas ITRA 550 avec 300 personnes et les 4000 autres qui se démerdent.
Et puis le problème de devoir doubler au départ, on fait quoi ? On demande à l'intérieur d'un même sas de mettre ceux avec une grosse VMA devant et ceux avec une VMA plus faible à l'arrière du sas ? Ceux qui vont faire moins de 9h à allure constante en retrait, ceux qui vont faire le même temps mais en faisant un gros départ et une fin de course lente au début du sas.
Certains ont semble t'il perdu le sens du mot "course".
totorototo a écrit:le point le plus important: est-ce que le Duster Blanc a réussi à se débloquer?
le reste n'est qu'accessoire!
alfredyoyo a écrit:Petite question - il y a t-il d'autres personnes qui comme moi ont eut des douleurs un peu "inconnues" ?
alfredyoyo a écrit:Petite question - il y a t-il d'autres personnes qui comme moi ont eut des douleurs un peu "inconnues" ?
J'ai eu mal à partir du 40k environ sur la partie extérieure du genou et sur le tendon qui descend dans le mollet partie extérieure. Jamais eu ce genre de douleur avant. Ca n'empêchait pas de courir mais faisait assez mal en fonction de la position du pied et / ou de la raideur de la pente en descente.
Sony5478 a écrit:alfredyoyo a écrit:Sony5478 a écrit:J'ai mis en ligne aussi mon premier récit.
J'ai beaucoup aimé. Avec deux heures de décalage ( ) j'ai vécu un peu le même paradoxe : pires conditions que j'ai jamais vu sur une sainté (et sur une course tout cours enfait) mais je m'y suis bizarrement senti plutôt bien et ca m'a permis de vraiment bien me gérer. Absolument ravi et tout sourire à l'arrivée alors que par exemple l'arrivée de 2017 (froid neige glace) j'étais hyper entamé en mode "plus jamais".
Ca fait plaisir de voir des gens dans le même cas
Comme quoi, quand on est prêt mentalement (et physiquement évidemment), ca passe beaucoup mieux.
L'année dernière, plutôt en forme, j'avais pris une grosse claque avec le froid et la pluie, et j'avais fini en mode "plus jamais cette course". Là, pas du tout. je suis plutôt en mode "C'est quand la prochaine"
Ewi a écrit:
Un peu pareil. Malgré la fatigue (que j'avais clairement sous estimé) et mon presque abandon a Saint-Genou, j'ai bien aimé. Sans spoiler mon récit, la principal difference avec l'écotrail de paris qui c'était déroulé dans les même conditions, c'est qu'ici on part de nuit pour arriver de jour... et ca change tout pour le mental.
Sony5478 a écrit:Ewi a écrit:
Un peu pareil. Malgré la fatigue (que j'avais clairement sous estimé) et mon presque abandon a Saint-Genou, j'ai bien aimé. Sans spoiler mon récit, la principal difference avec l'écotrail de paris qui c'était déroulé dans les même conditions, c'est qu'ici on part de nuit pour arriver de jour... et ca change tout pour le mental.
Si tu parles bien de l'ecotrail de Paris 2018... C'est mon pire cauchemar. Je m'en suis pas remis. Je l'ai fini en rampant à l'époque...
Je ne sais pas si les conditions étaient pire que ce weekend, d'ailleurs, je ne pense pas, mais j'étais clairement pas assez entraîné et aguerri (mon 2ieme trail de cette distance à l'époque). J'avais tellement morflé...
Mais au final, c'est une expérience qui te fait grandir dans tous les cas. Faut tout prendre, les pires comme les meilleures courses, car chacune apporte quelque chose.
Ewi a écrit:Oui oui, celui de 2018! Mon pire souvenir. Les conditions étaient similaires, avec en plus de la neige et comme on était en mars, je n'étais absolument pas préparé au chantier (pas de veste, etc.). Il n'y avait presque rien de chaud au ravito, etc.
Ici, on peut pas dire qu'on ne nous avait pas prévenu
alfredyoyo a écrit:Petite question - il y a t-il d'autres personnes qui comme moi ont eut des douleurs un peu "inconnues" ?
J'ai eu mal à partir du 40k environ sur la partie extérieure du genou et sur le tendon qui descend dans le mollet partie extérieure. Jamais eu ce genre de douleur avant. Ca n'empêchait pas de courir mais faisait assez mal en fonction de la position du pied et / ou de la raideur de la pente en descente.
Est-ce que ca peut être lié à la durée passée dans la boue a faire super gaffe à ses appuis et donc à adopter des positions non conventionnelles ?
JulioK1 a écrit:
Ooooooh ça me rappelle de bons souvenirs ton descriptif à toi. !
Si j'étais médecin je te regarderais droit dans les yeux - ce qui n'est pas évident à travers un écran de smartphone - et je te dirai d'un ton grave et solennel : "tu as développé une tendinite au fascia lata, communément appelé syndrome de l'essuie-glace dans le milieu du running".
Mais comme je suis pas médecin tu prends ça comme un simple avis. Mais à ta place je procéderais à du froid et des massages rien qu'à titre préventif
Twi a écrit:Si je comprends bien les échanges, les 2 éditions dantesques de référence sur une course de ce format sont donc l'ETP2018 et la STL2019.
Non seulement j'y étais, mais c'est les deux seules de cette distance que l'ai faites.
Je suis maudit
Pour info, si vous voulez voir des torrents de boue dans le Sahara, je serai au MDS2020.
C'est un peu cher mais il reste des places
alfredyoyo a écrit:Petite question - il y a t-il d'autres personnes qui comme moi ont eut des douleurs un peu "inconnues" ?
J'ai eu mal à partir du 40k environ sur la partie extérieure du genou et sur le tendon qui descend dans le mollet partie extérieure. Jamais eu ce genre de douleur avant. Ça n'empêchait pas de courir mais faisait assez mal en fonction de la position du pied et / ou de la raideur de la pente en descente.
Est-ce que ca peut être lié à la durée passée dans la boue a faire super gaffe à ses appuis et donc à adopter des positions non conventionnelles ?
Car j'ai l'habitude de faire du long, l'habitude de faire (un peu) de la boue, mais jamais autant.
RDP a écrit: Le fait de chercher des appuis incertains sur les côtés, comme c'était le cas dans les descentes en single où nous oscillions de part et d'autre de la rigole (rivière!) centrale en favorise l'apparition.
Benman a écrit:totorototo a écrit:le point le plus important: est-ce que le Duster Blanc a réussi à se débloquer?
le reste n'est qu'accessoire!
Il y a quelques années, je pense que la STL devait passer du côté du col de Malval, et un certain camion bleu devait servir de camion suiveur...
Et depuis, les offeurs lyonnais se régalent des restes de ce camion bleu (nécrophages, va...)
RDP a écrit: Le fait de chercher des appuis incertains sur les côtés, comme c'était le cas dans les descentes en single où nous oscillions de part et d'autre de la rigole (rivière!) centrale en favorise l'apparition.
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SaintéLyon 2019 - St étienne
avec 63 kivaoù, 17 récits pour 2019 et 573 au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
SaintéSprint - 23 km 2019 - Soucieu En Jarrest
avec 2 kivaoù, 573 récits au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
Saintétic - 12 km 2019 - Chaponost
avec 1 kivaoù, 573 récits au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
SaintExpress - 44 km 2019 - Ste Catherine
avec 12 kivaoù, 2 récits pour 2019 et 573 au total, 9 galeries photos, 26 vidéos, les résultats
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