Récit de la course : Raid 28 2006, par La Tortue

L'auteur : La Tortue

La course : Raid 28

Date : 14/1/2006

Lieu : Bures Sur Yvette (Essonne)

Affichage : 3835 vues

Distance : 80km

Objectif : Objectif majeur

2 commentaires

Partager :

113 autres récits :

on peut pas gagner à tous les coups

yo,

Une fois n'est pas coutume, je vais essayer de ne pas être trop long, mais je m'en va vous narrer ma version de ce magnifique raid 28 2006.

Je passe sur les péripéties d'avant course et sa gestion. Sachez toutefois que c'est pas évident de réunir en un même lieu 5 personnes venant des quatre coins de...l'Europe mais que une fois de plus on s'en est pas mal sorti. Merci surtout à la libellule et à sa punto sans laquelle je ne vois pas comment on s'en sortait !

Comme l'an dernier la petite troupe se retrouve donc à "langélus", charmant petit bistrot de Bures avec ses poivrots et ses "jeunes" du samedi après-midi et son inoubliable ambiance enfumée ;-). rappel des consignes de courses et des stratégies, contrairement à l'an dernier, personne ne parle d'objectif en terme de performance, mais sans se le dire, tout le monde sait que l'on est là pour viser haut, faut pas s'en cacher ! La stratégie est donc adaptée à l'objectif : prendre un maximum de balise sans toutefois perdre trop de temps.

La libellule (6ème équipier à part entière) nous rejoint histoire d'arroser la naissance de Léa puis nous allons à la salle.
Grâce à la Gorillemobile nous retrouvons tous les zanimos au flunch des Ulis qui avait ouvert ses portes spécialement pour nous 1h plus tôt que d'habitude. Merci encore à M Ouabi le gérant.

Préparatif de départ, tout le monde connaît son boulot, il n'y a pas de stress. La libellule en a gros sur le coeur de nous voir partir sans elle ! Une chose m'agace cependant, je trouve que nous sommes beaucoup trop sollicités par les journalistes (dossard n°1 oblige !) et j'ai peur que ça dissipe les troupes. Il n'en sera rien , au contraire, car nous sommes très bien rentré dans la course et ça a permis de faire passer le temps sans s'en rendre compte.

Top départ, je récupère les cartes et les donne calmement à mes équipiers. Pendant que le mogwai, le poc et moi reportons les balises sur les premières cartes, babar et papy reportent sur les dernières (ça ne nous servira malheureusement à rien puisque ces cartes n'auront pas d'utilité).

Pas encore sorti du gymnase, nous faisons déjà notre première erreur :
Nous avions comme tactique de reporter pendant 30' les balises. Or au bout de 20', je sens une envie pressante de partir de mes équipiers ! Pourquoi ? Parce que presque tout le monde est déjà parti ? Et alors ???? Depuis quand on court en fonction des autres ??? Cette erreur n'est pas bien grave en soit, mais montre avec le recul que nous n'étions pas assez concentré sur les consignes !

Le départ est excellent. Le poc trouve tout de suite la bonne piste. Un seul regret : d'avoir passé du temps à pointer les premières balises qui étaient sur un chemin rubalisé par l'organisation ! Bon, c'est pas bien grave et ça a échauffé le poc. J'ai bien compris que cette rubalise servait à faire sortir le plus vite possible les équipes de la ville, mais dans ce cas, autant le mettre clairement sur le road book et ne pas perdre de temps à pointer les balises. Simple détail cependant !

Notre progression est sereine et efficace. Les balises tombent les unes après les autres.

Nous faisons alors notre deuxième erreur :
Absolument pas grave, mais là encore, non respect des consignes. Il a été dit que jamais on ne devait s'occuper du parcours des autres équipes. or voila que sur une balise à azimut, alors que le poc nous donne le parfait azimut, nous nous retrouvons à jardiner parce que nous suivons d'autres équipes parties trop à l'ouest parce que le terrain était plus favorable. une fois la balise trouvée, je me permet une petite mise au point "autoritaire" à tous les membres de l'équipe ! c'est mon boulot, je suis (pas) payé pour ça ;-))

ensuite, la première CO est engloutie par le poc en un éclair. il est génial. quand nous arrivons sur zone, il nous fait nous déployer à 10m les uns des autres et à tous les coups, l'un de nous 5 tombe sur la balise. cric crac poinçonnage et nous voilà reparti !

mine de rien, on avance bien et les balises s'accumulent. on est super bien parti ! je suis très (trop) confiant !

c'est à ce moment que nous faisons notre troisième erreur (plus "grave" celle-là) :
sur une balise à azimut, une bleue (la 29), on ne la trouve pas tout de suite à l'endroit espéré. on se répartit la "drague" du ruisseau sur 50 m en amont et en aval. on trouve rien ! bon pas dramatique après tout, c'est une bleue, mais je pige pas, alors que l'on décide d'abandonner la balise, je reste de longues minutes seules à attendre mes camarades qui sont repartis....en arrière ??? m'enfin ! k'est ce ki fichent ? je retourne les chercher : allez en route les amis ! bon après plus de 20' à jardiner, on décampe la mort dans l'âme car je crois que c'est la première balise qu'on laisse. tout en progressant le long du ruisseau par le chemin, je scrute les taillis avec ma lampe torche dans l'espoir de trouver cette fichue balise et de faire oublier le temps perdu, mais en vain !


alors que l'on est tactiquement vachement bien dans la course, au PC suivant le bénévole charmant qui nous reconnaît de l'an dernier, nous annonce que nous risquons d'être hors délais ! il est vrai que la première barrière éliminatoire (11h du mat au PC12) est vachement loin encore et qu'il est très difficile d'estimer le temps nécessaire pour la rallier, mais il n'y a vraiment pas de quoi s'affoler. il reste beaucoup de km, et il sera largement temps de couper au plus court si on est vraiment short ! cependant, nous commettons notre quatrième erreur : à savoir écouter quelqu'un d'autre ! du coup le report de la balise suivante fut catastrophique et sur la spéciale mémory suivante nous laissons en chemin 2 bleues pourtant a priori très faciles pour un poc des grands soirs ! le fait de tomber par hasard sur la balise suivante nous remet dans la course et les balises recommencent à tomber dans l'escarcelle du maitre poinçonneur mogwai.

malheureusement, un peu plus loin, on va se taper tout le tour d'un charmant village résidentiel, à cause de moi ! entre PC9 et PC10 (je crois), il n'y a qu'une balise (une statue dans le parc d'un chateau). je regarde rapidement la carte du poc, le chemin parait évident, il suffit de suivre les allées du chateau. et je ne me préoccupe pas de la grande carte du tout, désireux de souffler un peu. on poinçonne sans difficulté la statue et au lieu de rentrer dans le parc du chateau comme l'indique clairement la carte, on décide de passer à l'extérieur du mur d'enceinte (l'an dernier en entrant par erreur dans le parc d'un chateau, on s'est fait tirer dessus, ça calme !). bon, cinquième erreur, très dommageable celle-là, car elle nous rajoutera un bon kilomètre à un moment où on en avait pas vraiment besoin.

le bénévole au PC suivant en rajoute une couche en nous disant qu'on est complètement hors délais ! ce à quoi, je lui répond probablement un peu vertement que les délais c'est notre problème et pas le sien et que le seul hors délais se situe à 11H du mat et qu'on a le temps de faire ce qu'on veut d'ici là! na ! cela dit, il avait l'air bien sympa ce gars là et il a sûrement dit ça pour nous aider car il devait être inquiet de voir arriver une équipe à 120° par rapport à la trajectoire idéale !

s'en suit une spéciale, carte inversée (l'est à l'ouest) dans laquelle il est évident que le poc n'est pas à l'aise (et moi, je vous en parle même pas). vues l'heure et la difficulté, je lui demande de nous sortir de là au plus vite, le papy prend la carte quelques minutes, le temps de trouver une ou deux balises et nous voilà reparti sur de bons rails !

la nuit passe, les km aussi, seules les balises "faciles" tombent car on est pris par le temps, mais on est plutôt pas mal du tout car je sais que les balise accumulées vont nous faire remonter au classement. nous traversons un charmant village et son chateau, mais contrairement à l'an dernier le temps presse et nous n'avons pas le temps de nous arrêter pour un sympathique petit-déj.

peu de temps après, et à l'issu d'un très long faux plat montant boueux, et à la faveur d'un arrêt sous un abri forestier en attendant le papy parti poinçonner une balise, je me rends compte que babar bat de l'aile. depuis combien de temps ? je ne sais pas, elle n'a rien dit, ne s'est jamais plainte et elle ne se plaindra jamais d'ailleurs ? après réflexion, ça doit faire un moment, car ça fait un longtemps que je ne l'ai pas vu devant à côté du poc, position qu'elle apprécie en général beaucoup, toujours prête à l'aider à grimper une petite côte. je ne connais pas suffisamment babar pour savoir si c'est passager ou "plus grave". je demande au poc qui la connaît depuis longtemps si il pense qu'elle va se refaire la cerise, mais la moue de notre maitre orienteur ne me dit rien qui vaille.
en plus, il y a un deuxième problème à gérer, celui de passer la barrière de 11h. à force de jouer avec les bleues on est maintenant un poil dans le rouge, mais en accélérant un poil et en shuntant quelques balises, on a le temps, mais faut pas trop trainer. babar est parfaitement consciente de l'enjeu et se faire sortir à la première barrière horaire serait catastrophique étant donné les ambitions de départ, alors sans rien dire, elle doit forcer (beaucoup plus que je ne le pensais) et après une traversée de forêt interminable dans des chemins rendus impraticables par la boue, nous passons la barrière avec beaucoup de balises et avec..... 3 mn d'avance sur le dead line !

en passant, mon kiné remercie infiniment janneot le traceur pour le formidable lumbago que j'ai depuis ce matin au réveil. m'enfin ! y'a pas idée de faire passer des tortues d'1m90 dans un boyaux d'1m50 de haut et de près d'1 km de long ! mais c'était rigolo, merci jeannot pour ce petit interlude, même si les chauves souris sous toutes sous prozac depuis hier ;-))

malgré notre progression que je trouve plus qu'honorable, je trouve le moral des troupes un poil en berne. il nous faut nous ravitailler, pointer de nouvelles balises et repartir fissa. mais je trouve la troupe un peu molle ! j'essaie de relancer la mécanique en annonçant que seulement 11 équipes sont passées avant nous et que nous avons moins d'1 h de retard sur les premiers. cela booste visiblement le papy mais le poc a besoin de souffler et de s'alimenter, et c'est bien légitime, il ne s'est quasiment pas alimenté de la nuit, toujours occupé par l'orientation et lorsque l'on s'arrêtait pour reporter il ne prenait pas le temps de manger non plus, quant à babar, elle est passée sur le mode économique, se demandant bien comment elle va pouvoir gérer les 30 km restant.


en reprenant notre progression, nous faisons (ou plutôt, JE fais) notre sixième erreur ! à mon sens, l'erreur fatale, et c'est une erreur de stratégie fondamentale, donc elle est pour ma pomme :
à ce moment il y a deux facteurs évidents à prendre en compte :
1/ babar est mal mais pas à l'agonie (du moins je le crois), car l'an dernier elle a prouvé qu'elle avait des ressources et elle avait fini à l'économie et au moral.
2/ bien que nous soyons dans les barrières, nous sommes toujours justes sur le timing et il est bien précisé sur le road book que pour arriver dans les temps , il nous faut désormais avancer à 5 km/h jusqu'à l'arrivée, ce qui n'est pas si évident que ça !
malgré ces deux paramètres non négligeables et évidents je vais faire comme si "de rien n'était". pensant stupidement que le plus dur a été fait en passant la barrière du PC12. je vais alors relancer le papy et/ou le poc sur des scud "bleues" qui ne marcheront pas toujours. alors que nous aurions du nous contenter à ce moment là de relier l'arrivée calmement dans les délais au pas. même en loupant une ou deux vertes jusqu'à l'arrivée, si on finissait comme ça, on était déjà très bien classé, j'en suis persuadé !

la goutte d'eau qui fit déborder le vase fut un dernier scud dévastateur où nous allons mettre près d'1 heure à tourner avec babar dans les bois à la recherche du poc et du papy qui étaient partis avec la carte pointer 2 ou 3 balises, pensant nous retrouver un peu plus loin. Mais entre temps, j'ai réussi à nous perdre dans la forêt particulièrement vallonnée à cet endroit ! c'est à ce moment que j'ai répondu au seul coup de téléphone (celui du boeuf) de la course, car essayant de joindre le papy ou le poc ou espérant qu'ils essaient de me joindre j'avais sorti le téléphone du sac (inutilement, ils ne les avaient pas avec eux). les kilomètres supplémentaires, le temps perdu, le stress, et les successions de montées et descentes auront raisons des dernière forces physiques et mentales de babar. la course est finie, je le sais ! alors que j'essaie de courir devant babar et le mogwai pour retrouver mon chemin, je peste, je fulmine contre moi ! mais quel CON ! comment laisser partir la carte et l'orienteur ??? y'a des jours, je vous jure, je me demande comment j'ai fait pour décrocher tant de diplômes avec un tel degré de connerie dans mon cerveau ! bon, ce qui nous sauvera sera un brin de lucidité retrouvée, car sachant le PC 14 est à l'ouest, je décide de marcher dans cette direction selon le soleil, car en plus j'avais pas de boussole (quand je vous dit que quand je suis con) ! au bout d'interminables minutes, j'entend enfin au loin la corne de brume du papy, je siffle à m'époumoner de peur qu'ils ne s'éloignent ! nous faisons enfin la jonction ! aucun reproche oral ne m'ait fait mais je sens une chape de plomb me tomber sur les épaules !

le reste de la "course" n'est plus qu'une lente agonie jusqu'au PC suivant. là encore, ennième erreur ! puisque babar est blessée, pourquoi ne pas déclencher la balise argos et demander l'assistance du PC course ! pourquoi aggraver la blessure et la faire compenser sur l'autre pate qui finira aussi par avoir des problèmes ! ben, non, on va continuer à marcher comme ça dans la boue, la babar grimaçant et pleurant presque à chaque fois qu'une ornière l'empêche de poser son pied du mieux possible. mais quel manque de lucidité de ma part ! arrivée au PC 12, 1h après la barrière horaire, le bénévole nous demande si on veut continuer. vouloir ? pourquoi pas, mais pouvoir, c'est pas possible. babar est blanche comme un linge, elle est à la limite de l'évanouissement. il reste 500m pour rallier les bus, elle en est bien incapable, le bénévole propose de la ramener en voiture. je demande au papy de rester avec elle, car elle est très mal et je veux pas qu'elle reste toute seule. quand à moi, même si le bateau coule, il n'est pas question que je l'abandonne. nous rejoignons le point de rapatriement avec le poc et le mogwai. il y a là bon nombre d'éclopés en tout genre dont le plus sérieux est l'écureuil qui se tape un bel oeuf de paque sur la maléole gauche (pas trop grave je pense, mais impossible de marcher évidement). d'un coup, je m'assoie dans l'herbe au soleil, alors que j'étais plutot pas mal physiquement jusque là à part une entorse contractée en marchant dans une ornière avec babar, je ressent d'un coup une énorme fatigue, physique et mentale. mon équipe est explosée, papy et babar dans une voiture, le poc dans une autre. le mogwai est en train de penser ses pieds apparemment bien meurtris et la vue de l'écureuil arrêté me fait comprendre que l'équipe du blueb est hors course et cela me fait aussi beaucoup de peine car je croyais vraiment en eux. quand au team ratounet, je ne les avais pas vu sur le pointage du PC12 et je me doutais bien qu'elle était arrêté aussi !

malgré une bonne douche bien chaude et la toujours parfaite organisation, je ne serais pas très locace à l'AAB d'après course. domage, papy avait amené du champ pour arroser 2005 ! le coeur y était pas, désolé !

après un bon repas, je prends congé. la libellule me dépose à la gare de maintenon et je retrouve l'ourson à montparnasse (en pleine forme) pour un retour TGV sans histoire sur Nantes, pas comme tout le monde apparemment ;-(((

voilà c fini, adieu veaux, vaches, cochons ! ce raid 28 était très copieux, le tracé et les balises étaient exigeants, il ne fallait surtout pas avoir les yeux plus gros que le ventre. babar aurait-elle pu finir sans toutes ces erreurs ? on ne le saura jamais, ce qu'il y a de certain, c'est qu'une fois le PC12 passé, il fallait changer de stratégie et passer du mode "agressif balise" au mode « gestion du physique et du temps restant ». pour reprendre une formule chère à papy turoom, serait-ce là une....."quatrième" dimension de la course à pied ? à savoir courir de façon stratégique mais en plus savoir faire évoluer sa stratégie ??? l'équipe du blueb avait l'air d'être sur cette voie !

en conclusion, je remercie mes 5 équipiers devant vous tous pour leurs compétences et leur si grande amitié.
je remercie aussi ceux qui ont laissé des messages ou essayer de nous joindre : l'empereur à toutes les heures de la nuit (il a pas du beaucoup dormir), désolé malgré tes demandes, je n'ai pas réussi à perdre le mogwai dans la foret de rambouillet ; la tarine ; le boeuf ; léa, le dingo et le sympatique passage du chamois à l'AAB !
merci aussi au gorille pour les navettes voiture, même si apparement c'est le raton laveur qui lui a appris à orienter entre Bures et les Ulis ;-))))

le côté technique du parcours était génial. les balises parfaitement positionnées et la multitude de spéciale très intéressante, domage que nous n'ayons pas pu faire la dernière CO qui avait l'air super . bravo à jeannot et merci à lui pour son covoiturage final !

merci à toute l'équipe turoom ! tout fut parfait !

vous avez tous bien entendu compris qu'en tant que capitaine, je suis déçu. j'ai conduit mon bateau dans les hauts fonds, dans des passes maritimes difficiles et risquée certes, mais je me suis échoué, je suis le seul responsable, point ! et pire, babar est assez sérieusement blessée.

en revanche, sur un plan purement sportif, il y a des points positifs que je me garde pour plus tard !


bon, et ben, j'ai pas fait aussi court que je pensais, mais taper ce mail m'aura fait une petite thérapie de groupe ;-)))

allez kenavo, les copains, 2006 commence moins bien que 2005, mais l'année est encore longue...tous ce que je souhaite ce soir est de retrouver une babar en pleine forme aux pèlerins !!!

-----------------------------------------
bien amicalement,
la tortue...
-----------------------------------------



2 commentaires

Commentaire de _azerty posté le 19-01-2006 à 08:49:00

J'ai pris plaisir à lire vos exploits, cette course n'a parfois tenu qu'à un fil, on sent bien que vous allez revenir encore plus motivés.

J'ai constaté aussi que votre orienteur n'avait pas mangé, moi non plus :-(, il faudra que l'on réflechisse à ce probleme.
Bonnes récupérations

Commentaire de _azerty posté le 19-01-2006 à 08:49:00

J'ai pris plaisir à lire vos exploits, cette course n'a parfois tenu qu'à un fil, on sent bien que vous allez revenir encore plus motivés.

J'ai constaté aussi que votre orienteur n'avait pas mangé, moi non plus :-(, il faudra que l'on réflechisse à ce probleme.
Bonnes récupérations

Il faut être connecté pour pouvoir poster un message.

Votre annonce ici !

Accueil - Haut de page - Aide - Contact - Mentions légales - Version mobile - 0.33 sec
Kikouroù est un site de course à pied, trail, marathon. Vous trouvez des récits, résultats, photos, vidéos de course, un calendrier, un forum... Bonne visite !