Masquerade7 a écrit:J'ai horreur des courses de bagnole
J'ai jamais parlé d'être accro aux médocs en ultras, j'ai juste dit prendre un doliprane de temps en temps (et notamment sur les formats 24h soit 1 par an à la louche) :winch: et à priori cela à choqué certains au point de dire que c'était irresponsable !!
Bravo à vous d'être aussi "puriste", "réglo", "droit dans ses bottes", appelez ça comme vous voulez, et de ne tourner qu'à l'eau plate et aux biscottes lors des ultras

ça c'est juste de la mauvaise foi (ou alors tu n'as pas lu les messages).
Les réactions un peu appuyées c'était à propos des anti inflammatoires.
Perso, je ne voulais pas entrer dans le débat récurrent "où commence le dopage, est-ce que je me dope si je prends un paracétamol pour terminer un ultra", "dopage, conduite dopante, optimisation des paramètres...". Je considère que ce n'est pas une bonne idée de prendre un anti-douleur pour masquer une réaction de mon corps, je peux comprendre qu'on le fasse dans certaines situations, ça m'est arrivé en montagne, c'est une évaluation de bénéfice / risque qui est propre à chacun.
Concernant les anti inflammatoires c'est différent : certaines interventions ci-dessus mettent bien en évidence ce qu'expliquent aussi Guillaume Millet et son collègue dans la vidéo que j'ai postée, à savoir que :
1) le risque qu'on prend avec ce type de médocs sur un ultra est important : flinguer un rein ! eh oui même sur un seul ultra ! on est loin du risque de masquer une tendinite ou même de péter un tendon d'achille.
2) ce risque est bien souvent ignoré par les coureurs, qui ne font pas forcément la différence entre un efferalgan et un AINS.