j'ai aimé :
-les tarifs préférentiels proposés par les hôteliers, que ce soit sur Grenoble même ou en périphérie
-le "petit" nombre de participants : initialement, il devait y'avoir encore moins d'inscrits car première édition.
-la difficulté : démarrer par la montée vers l'arselle, c'était rude ! ne parlons pas de l'après col de la faïta en direction du habert, ou un revival du sentier des tamarins à La Réunion pour ceux qui connaissent...
-la météo : on a eu tous les temps et du coup c'était vraiment l'aventure
arrivé au fort du saint eynard, sous une pluie battante, on se fait briefer par un bénévole un peu comme si on partait pour une épreuve de fort boyard :
vous allez rencontrer du vent, de la pluie et du froid ; attention, ça glisse après la porte en fer
-remplir ma poche avec de l'eau pétillante, et de façon générale les ravitos : je suis souvent lanterne rouge dans les courses auxquelles je participe et j'en subis souvent les conséquences. Mais là, fruits, saucisson, fromage, tuc etc même une cheminée, je n'avais jamais connu ça
-les bénévoles de tous âges tous plus souriants les uns que les autres.
-être sur le parcours de repli : je ne suis pas certain que sur le parcours originel je sois dans les temps.
je n'ai pas aimé :
-l'enchaînement descente col de vence, descente bastille par les lacets (pourquoi pas vers la fontaine au lion plutôt : symbolique du serpent et du dragon représentant l'Isère et le Drac) puis 3km de piste cyclable. J'ai vraiment eu l'impression que c'était fait pour dire "voilà, on vous a promis XX kilomètres, ben voilà on y arrive en ajoutant cette portion" sans intérêt.
bref, un très bon moment, un très bon souvenir