Récit de la course : Marathon de Toulouse 2007, par Le_lombric

L'auteur : Le_lombric

La course : Marathon de Toulouse

Date : 28/10/2007

Lieu : Toulouse (Haute-Garonne)

Affichage : 1974 vues

Distance : 42.195km

Objectif : Pas d'objectif

11 commentaires

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Marathon de Toulouse : Le plus dur ne fut pas de le faire.

 

 

Attention c’est un long CR (oh oui ! Un très long CR).

 

Dimanche 28 octobre – 8h30 – AéroConstellation

Maintenant on y est ! Dans une heure le départ du 1er marathon de Toulouse sera donné, pour moi se sera le second.

 

Après une préparation un peu plus rigoureuse que pour Paris (bon à Paris, il y en a pas eux – Niouf, niouf). Et un volume d’entraînement qui correspond plus à un objectif marathon, me voilà sur la ligne de départ.

Pour les entraînements, je n’ai pas suivi de plan, l’objectif était simplement augmenter doucement le kilométrage hebdo et surtout ce faire plaisir. Donc TRES souple les semaines d’entraînement avec des imprévus assez régulièrement.

 

Je suis invité par l’Oréal sponsor officiel de la course (siouplait !), par le truchement (oh ! quel beau mot !) de mon grand frère (Jérôme), sympathique représentant de la marque « qui le vaut bien » auprès des capilliculteurs de la région Toulousaine. Bref, pour faire court, je m’occupe de rien, je n’ai qu’à courir.

Genre : La belle vie quoi ! Tu vois quoi ? Yep !

 

Mais pour en arriver là, ce fut pas simple. Oh non !

 

Eh oui, avec la grève d’Air France (joie), jusqu’au dernier moment je n’ai pas sus si j’allais pouvoir décoller et quitter Orly. J’arrive à Orly en fin de matinée pour mon vol à 13h50 et j’apprend que mon vol est sans doute maintenu ! Yes ! J’en profite pour me faire un repas de roi : Sandwich. Lequel, sera dégusté confortablement assis sur mon sac de sport (en gros je suis en boule par terre et je fais attention que personne ne me piétine – à ce moment je suis assez loin du concept de félicité ). Je passe en zone d’embarquement, ou la charmante petite fille devant moi rend son déjeuner du midi (bonheur). Sympas. Sa mère nous explique qu’elle a une petite gastro. « Ah ! Ah ! Vade Retro »

On finit par embarquer dans un avion ou (quel enchantement !) près du tiers des voyageurs est composé d’enfants non accompagné (dit UM). Arrrgggg ! Je vais mourir ! Des dizaines de trolls déchaînés dans un espace confiné ! Un goût de l’enfer !

Mon vol décolle finalement vers les 15h30-45.

 

Bref, après bien des incertitudes, je me pose enfin à Blagnac avec la tête comme une pastèque et l’estomac qui cherche encore comment il va faire passer le sandwich dans le reste de la tuyauterie ! Yes, je suis à fond !

Mon frangin est venu me chercher à l’Aéroport avec son boss (Bonjour)

 

Le soir Pasta-Party à l’hôtel avec les 14 coureurs estampillés l’Oréal. Un repas total pâtes : En entrée : ravioles au foie gras (Miam, Miam), le plat : pâtes aux crevettes (Re-Miam) et en dessert des lasagnes aux fruits rouges (Miam). Le tout sagement arrosé d’un seul verre de rosé (bon et un p’tit pastis en apéro). Bref, le repas qui va bien.

 

Dodo à 11h levé à 5h40. Grosse forme.

 

Mon frére Moi et Vinces (CLM) sous l'arche d'arrivé le matin au départ


Il est donc 8h30 et nous venons de descendre du bus, avec Vinces (sympathique coureur CLM) à l’AéroConstellation avec en toile de fond l’A380. Nous assistons au départ de la course relais.

 

Vinces (CLM) Erwan (CLM) et mon frère 


Un grand moment ! L’arche gonflable qui se dégonfle dans le compte à rebours final. Niouf ! Niouf. Et c’est avec 10 minutes de retard que les 250 1er relayeurs partent.

 

1ère impression de la journée : J’ai froid. Non j’ai TRES froid. J’ai les pieds comme deux glaçons, les bras comme des mister-freeze. Vivement que l’on parte sinon en dépit de ma couenne protectrice, je pense que je vais finir tout bleu.

 

Le Team L’Oréal se regroupe. Le troupeau est facilement identifiable dans la horde de bipède grâce à de « bô » T-shirt Blanc avec L’Oréal dans le dos.

Je retrouve l’Ourson et l’Agneau. L’Ourson a l’air en pleine bourre. A ce moment, je fais connaissance avec Agnès qui nous prend en photo tous les 3 et part rejoindre son cher et tendre. Elle à l’air un peu stressé la demoiselle par la course de son homme.

 

Je retourne vers mon frangin et le reste de l’équipe et nous nous plaçons dans le peloton. La pression monte.

Avec grand frère, nous avons le même objectif. Donc, j’ai décidé de resté scotché à ces pompes (j’adopte le style sangsue aujourd’hui). Je suis TRES content de courir avec lui.

 

Encore souriant au départ 

 

 Objectifs du jour :

-          Finir (sans bobo) en moins de 4h (fô être réalise mon garçon)

-          Courir le plus longtemps possible avec « grand frère »

-          Ne pas trop me faire pourrir par les 2 Zanimaux

-          Visiter la ville de Toulouse.

-          Prendre du plaisir.

 

9h30- plus moins – le départ est donné. C’est parti. On commence par un faux plat montant – parcours plat, parcours plat, j’t’en mettrai du parcours plat ! – et on redescendre sur le périf de Toulouse. Et à ce moment je me sens plus d’affinité avec une glace Mico qu’avec le reste des coureurs, je suis toujours bien congelé mais heureusement ça ne va pas durer.

 

Le peloton s’étale doucement. Mon cardio m’affole littéralement : entre 87% et 92% de ma FCM ! J’hallucine. Tout les 5 secondes de dis à mon frère : Je suis à X% ! Rapidement ça le gonfle (je vois pas pourquoi). Il finis par me dire : « On va dire que t’en parle plus sur les 10 prochains kilomètres d’accord ». Bon ok, je me tais, il se peut que je sois un peu lourd. Le reste de l’équipe l’Oréal nous a rapidement distancé et je suis maintenant à coté de mon frangin.

Le team L'oréal 

Sur la rocade, une voiture grise (R19, R21 ?) nous double en klaxonnant. Je crois reconnaître Agnès en passagère.

Je trouve que mon frangin tourne rapidement et régulièrement je lui dis : « mais on va pas trop vite ? » (C’est que j’ai peur exploser). Mais le grand frère sur ces kilos nous emmène dans la bonne cadence pour arriver sur les 4h. Pourtant, j’ai l’impression d’être en sur-régime alors que le cardio indique maintenant que je tourne à 78% de ma FCM (niouf, niouf)

J’ai déjà oublié les détails du parcours mais en revanche je me rappel juste d’un passage de 500m pas très agréable à coté d’une usine de recyclage. Mes narines délicates en seront pour leurs frais. (snif : Beurk !).

Au 1er ravito, je choppe une bouteille. Une gorgé et je sens l’eau glacée coulé dans mon frêle estomac (oui je suis une petite chose fragile). Je pourrai dire poétiquement que mon estomac se mets à faire du yo-yo avec mon trou de balle (désolé) mais je ne vais pas oser ici.

Oulà ça promet une suite grandiose ça.

 

Je retrouve l’Agneau vers le 5ème. Il me dit avoir laissé filer l’Ourson. En effet, je vois au loin la casquette rouge du Z’animal qui vole au dessus du peloton. L’Agneau nous dépose sur place et part le rejoindre.

 

Nous sommes rejoint par un Clown qui arrange la foule. Très sympas. Nous allons faire du yo-yo avec lui pendant un moment.

45’ de course j’avale un gel et mon estomac et le reste de mon système digestif me font savoir qu’ils ont pausé un préavis de grève (décidément…).

 

Lorsqu’il y a des spectateurs : On se mets à Crier : « Allez Bruno, Allez Jérôme ». Assez souvent on obtient de bons résultats : Notre fan club temporaire nous acclame.

 

On passe les 10, j’ai toujours l’impression d’être en sur-régime et l’estomac qui … enfin je ne vais pas m’étendre.

 

On rentre dans un parc, une longue ligne droite, que perso, j’ai trouvé agréable. Et là, j’ai vraiment très mal au ventre. Gros bobo. Ca va me tenir pendant 8 bornes (grosso-modo entre le 14 et 22ème. Jérôme lui aussi commence à avoir mal au ventre. Nous rejoignons un coureur avec des ballons vert (4h) nous allons nous mettre à sa hauteur et profiter de sa cadence. Il est HYPER à l’aise, pas une goutte de sueur, et une foulée... La semaine prochaine, il fait un semi et il nous avoue être très en dedans. Je veux bien le croire

On passe le semi en 1h56. Cool le tempo reste bon. Les jambes sont un peu moins légère mais elles tournent toujours.

On passe la Cité de l’Espace et on rentre à nouveau en ville.

 

Les kilomètres défilent et nous restons toujours l’un avec l’autre. Lors des pauses techniques l’un ralentit pour laisser à l’autre le temps de remonter. Bref, notre petite équipe marche plutôt bien.

 

On rentre dans Toulouse. Jérôme ne dis rien mais je sens qu’il faiblit. D’ailleurs à un ravito les ballons verts nous quittent.

A un moment, il lâche : « J’ai du mal à croire que l’on n’est plus que 11 bornes à faire ». Il semble qu’il a un p’tit coup de moins bien mais je ne dis rien. Il paye le manque de foncier lié à sa blessure (ah oui pendant sa prépa, il s’est arrêté 3 semaines à cause d’un périostite).

 

Au 30ème, j’accélère un peu, prend quelques mètres au grand frère et je me rend compte que qu’il ne suit pas. Je ralentis et le laisse revenir. Gros coup de moins bien pour lui.

Entre le 30ème et le 32ème, il va me dire plusieurs fois : « Si tu te sens bien vas-y ! Tu peux encore rentrer sous les 4h ». Au 32ème, j’accélère le cardio indique 82% tout vas bien. Les jambes sont plus lourdes mais elles tournent étonnamment bien. Mais je lâche Jérôme. Je suis partagé entre la volonté de rentrer sous les 4h et le sentiment de laisser mon frère tout seul dans cette fin de marathon qui promet d’être pour lui « compliqué ».

 

34ème, je rejoint un coureur. Il veut également rentrer sous les 4h, on va courir ensemble 5 kilomètre. Ca devient dur, mais je conserve le rythme.

D’ailleurs, je me dis : « Dans un p’tit kilomètre, il te restera 5 kilomètres à faire. Et c’est quoi 5 kilomètres ? C’est rien ! Et après plus que 2 kilomètres pour finir ! Bref tu es déjà arrivé. » Ca passe mieux dis comme cela.

J’arrive au Capitole, bon moment de la course qui passe trop rapidement.

 

Place du Capitole et la suite 

Au 38ème les jambes répondent toujours mais manifestent douloureusement. A nouveau de l’auto-motivation : A Paris, du 38 à la fin tu n’as pas marché alors tu ne t’arrête pas !

Au passage du 40ème, dans la monté du pont qui nous mène vers l’arrivé je reprend l’Agneau ! Je suis TRES surpris de le voir là. Je l’appel : L’Agneau, il se retourne ! Oulà il a pas l’air en forme l’animal… Plutôt, à la dérive même. Je l’encourage : Allez l’Agneau ! Il me répond qu’il à des crampes. Je suis à la fois désolé pour lui, mais d’un autre coté pour mon moral c’est plutôt bon (niark niark).

Lorsque j’ai passé le 40ème, je me suis rendu compte que pour rentrer sous les 4h, il va falloir booster. J’allonge encore un peu (hop hop). Sur les 2 derniers kilomètres, je double pas mal de monde (niark niark).

41ème, il ne reste plus rien. J’ai mal, le cœur s’affole, mais je suis au bout et les jambes tournent (houba, houba). Je termine au sprint en m’arrachant, une vrai rage. Je vois le temps officiel qui défile 3h59m46s, 47s, 48s, 49s, je suis à la lutte avec ces secondes et je passe la ligne d’arrivé en 3h59m50s en temps objectif et 3h58m34s en temps réel à ma montre. Je suis heureux tout simplement heureux (pour peux je danserai… euh non en fait).

Je récupère ma médaille et je retrouve l’Ourson qui est arrivé.

Très content d’avoir pourris le Lomb et l’agneau mais très en colère après ce dernier. Oulala ! Il est pas content ! A ce moment là j’ai du paraître assez froid à l’Ourson, mais je suis inquiet pour mon frangin donc je repart au bord de la piste. Je vois l’Agneau arriver, il grimace. Dur dur la fin pour lui. Je l’encourage par deux fois mais il ne m’entend pas. Ne voyant toujours pas mon frangin arriver je retourne dans la tente au stand l’Oréal, il n’est pas là, je retourne au bord de la piste. Mais je ne verrai pas mon frangin arriver. Snif. On se retrouvera au stand l’Oréal autour d’une mousse et d’une coupette de champ. (Slurp !)

 

 

Il est content pour moi, mais triste de s’être pris le mur. Je trouve qu’avec son manque d’entraînement, il ne s’en sort pas si mal. Les moins de 4h, ne seront qu’une formalité sur le prochain et je suis convaincu, il a largement les 3h45 sous la semelle.

 Bilan :

Les plus :

-          Heureux d’avoir fini en moins de 4h dans un état de fraîcheur qui m’a surpris

-          Heureux d’avoir couru avec mon frangin. Ces 32 kilomètres passés ensemble mon permis de bien finir et resterons un grand moment pour moi. Sans lui je pense que ma course aurait été bien différente

-          Le parcours du marathon est à améliorer (surtout sur la 1er partie)

-          L’organisation, pour une 1ere est top, rien à redire

-          Le beau T-shirt Mizuno

-          Content d’avoir vu Agnes, l’Ourson et l’Agneau,

Les moins :

-          J’aurai aimé finir avec mon frère,

-          le fait que les relayeurs partent avec 1h d’avance,

-          certains passage du parcours ;

-          l’eau glacée,

-          La médaille en plastique,

-          Les Toulousains qui dans leurs véhicules ne se sont pas toujours montrés très respectueux des coureurs.

 

Mais globalement, c’est un p’tit marathon qui vaut son pesant de « caouettes » ! Franchement, j’ai passé un week mémorable à plus d’un titre.

 

Bref, je le recommande.

  

Pour les courageux lecteurs, il y a la suite du marathon qui fût un GRAND moment ! Oh oui !

 

On quitte le stade de Toulouse direction l’Aéroport, mon frangin, Arnaud (un autre coureur L’Oréal) pour prendre des renseignements sur notre vol de 18h. Après 20 minutes de queue (mes pauvres gambettes), on apprend que l’on peut être remboursé. Pour les acheminements sur Paris en gros : Faut se débrouiller. On finit par trouver un train en partance pour Paris à Montauban via Bordeaux. On file à Montauban. Après 20 minutes de queue (mes pauvres gambettes) on est au guichet, il est 17h14, le train est à 17h27. Mais la fougue de la SNCF ajoutée avec une panne de lecteur de CB fait que je sors chercher mon grand frère pour qu’il emmène au distributeur le plus proche. Et là, il m’annonce en sauveur qu’il a son chéquier dans sa voiture. Il part tel Zorro en courant (Mouarf ! Faut voir la foulée à ce moment : Bozzo le clown essayant de se taper un 100m). Et finalement, nous pouvons embarquer à l’heure pile dans le train. Ouf.

Dans le train, Arnaud va vite sombrer dans un sommeil de plomb. Pendant, que je me sens de moins en moins vaillant. Arrivé à Bordeaux, tout est fermé même pas de quoi s’acheter un casse-croûte. On monte dans le TGV qui est bondé et je me retrouve assis (comprimé) à une place, les jambes repliées sous mon siège. Bonheur. Et je me sens de plus en plus mal : J’ai froid, j’ai un mal de tête pas croyable, et je me sens bizard. Un peu peur sur le coup. Il faut dire que mon dernier repas était le p’tit déj à 6h, que je n’ai pris que 5 gels pendant le marathon et rien de bien solide après. Donc, je suis bien sur la réserve là. Donc je file au wagon-bar pour y faire 30 minutes de queue (mes pauvres gambettes), et obtenir de quoi me refaire la cerise. 20 minutes après avoir mangé, j’irai bien mieux et je finirai par m’endormir.

On arrive à Montparnasse et je file prendre un taxi… 40minutes de queue (mes pauvres gambettes, c’est pas possible ils se sont donné le mot !!!!!!).

Minuit j’arrive au P5 et je récupère titine au parking. Encore 20 minutes de route et je suis chez moi. Enfin.

 

Vous l’aurez compris, en gros, le challenge sur ce week-end fut d’aller et revenir de Toulouse.

 

Merci de m’avoir décrypté jusque là ami lecteur.

 

Merci à mon frère pour cette fête Toulousaine et maintenant j’espère que le Marathon du Mont-Blanc nous pourrons le finir ensemble.

  

 Le_lomb_qui_compte_faire_peter_les_3h45_au_prochain_avec_l'Ourson_comme_poisson_pilote

11 commentaires

Commentaire de corto posté le 30-10-2007 à 15:41:00

Yeppp sa c'est du CR. Bravo à toi le verre de terre ;)
Content que ce soit bien passé. Il t'en a fallu du courage pour terminer dans ses conditions. C'est jamais agreable d'être stressé avant une course.

Encore un grand Bravo

Commentaire de agnès78 posté le 30-10-2007 à 15:52:00

très contente d'avoir enfin pu faire ta connaissance... Hum, oui, j'étais un peu stressée, je m'en excuse... Merci pour ce beau CR. Bravo pour le marathon en moins de 4 heures! Bonne récup, surtout pour les gambettes qui ont souffert du retour un peu rocambolesque en plus des 42 kils autour de la Ville Rose!
A très bientôt
bises
agnès

Commentaire de l'ourson posté le 30-10-2007 à 16:14:00

Bravo le Lombric pour cette course bien gérée malgrès des boyaux ki faisaient le yoyo semble-t-il... Merci pour la flute de Champagne sur le stand L'Oréal : NOUS LE VALIONS BIEN !!!
Au plaisir de te retrouver sur une course mais je ne te recommande pas un marathon à mes côtés... tu risquerais de te prendre un engeulo ;-)))

L'Ourson_pas_(encore)_prêt_pour_un_autre_marathon_à_2...

Commentaire de Yannael posté le 31-10-2007 à 08:20:00

Bravo pour ta course, et ce finish en moins de 4h. En te souhaitant qu'il n'y ait pas de grève pour ta prochaine course !

Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 31-10-2007 à 08:34:00

Bravo cher lumbricus terrestris pour tes moins de 4h. Vu ton âge, tu pourras faire moins de 3h30 rapidement avec l'entraînement adapté. Ton récit est plein d'humour et, si tu t'étais plus répandu sur tes problèmes intestinaux, tu aurais pu avoir droit au label GAZ TEAM KIKOUROU.
Amitiés du Lutin

Commentaire de NoNo l'esc@rgot posté le 31-10-2007 à 10:06:00

Bravo le Lomb pour ton épopée toulousaine, autant pendant
la course qu'avant et après. Ah ! pas facile le marathon !
Merci pour ce récit plein d'humour, j'ai bien ri, planquée
dans mon bureau... ;-) Je reviendrai maté les photos !!!

A bientôt sur une coursette - L'esc@rgot

Commentaire de moumie posté le 31-10-2007 à 19:54:00

ah quel plaisir de te lire
quand dans la semaine j'ai vu ton post, j'étais dégoutée pour toi et je me demandais si tu allais réussir à aller à Toulouse :-)

Je suis contente pour toi que tu aies pu courir avec ton frère et faire moins de 4h.

Bravo pour ton parcours de combattant aussi pour rentrer sur Paris :-)

Moumie

Commentaire de LtBlueb posté le 01-11-2007 à 22:12:00

Bravo le lombric ,

content pour toi en tout cas, pas évident avec tout le stress des grèves..., un peu tristounet pour ton frère (ca a du etre dur pour toi de le laisser comme ca) mais bon comme tu le dis avec une blessure en cours de prépa, il faiut une belle perf...

maintenant, il te reste à venir chatouiller l'ourson :wink:

A un de ces 4,
L'Blueb

Commentaire de bigout66 posté le 02-11-2007 à 22:30:00

Slt le lombric,

félicitation pour avoir fini sous les 4h même si c'est sans ton frangin...la prochaine fois.
En plus avec tes problèmes gastriques tu as d'autant plus de mérite.
Pour ce qui est de ton retour rocambolesque je dirai juste une chose : "non mais on a pas idée d'habiter à Paris !!!" lol

@+ ;-)

Commentaire de Pasqui posté le 06-11-2007 à 23:42:00

Bravo pour ce chrono sous les 4h et merci pour ce CR plein d'humour, j'ai bien ri!
Mais surtout JoYeuX ANNIVERSAIRE!! J'espère que tu as été gâté avec tout plein de cadeaux!
A+!

Commentaire de NTC posté le 23-11-2007 à 18:33:00

Avec un peu de retard, je lis ton CR. Encore bravo pour cette course ! Le Mont Blanc ont le fini ensemble pour sûr . Grand frère

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